2018 – 9 titres Label : Autoproduction Style : Pop indie Origine : France / Allemagne, Berlin Date de sortie de l’album : 2 mars 2018
Notre avis : [star rating= »2.5″ max= »5″]
Par Mike S.
Quatuor Guitare Basse Batterie, le groupe berlinois emmené par un français, Luc André, se distingue vite des autres projets musicaux par cette esprit Pop naif, enluminé par une ligne de clarinette qui fait toute la différence et une voix détachée et impersonnel, qui rappelle les albums des Objets ou de Via Romance, dans les années 90.
C’est l’histoire d’un gars qui part vivre à Berlin avec ses carnets de notes et ses fichiers démo dans sa valise. Nous le retrouvons quelques années plus tard, avec trois amis et un album autoproduit qui se distingue de tout ce qui peut se faire actuellement sur la planète Rock. Pourtant le projet de départ était simplement de concilier les rythmes vif de la scène Rock de Franz Ferdinand ou des Strokes et la délicatesse de la Pop à la française.
C’est sans doute grâce à cette plongée dans le milieu artistique de la scène berlinoise que la magie s’est opérée. Luc André, en confrontant son projet à la vision de ses collègues musiciens, en est venu à faire muter son projet, pour lui donner un aspect hybride et original. Autant les textes légers sur des sujets sérieux, que l’orchestration mêlant modernité et tradition, apporte à cet album l’audace et le caractère que la voix n’a pas. Surtout quand Luc se lance en anglais, avec son accent très frenchy.
Un album donc intéressant à bien des égards, qui nous apporte un peu de fraîcheur par son originalité, mais aussi de la nostalgie par les fantômes du passé que le groupe convoque à chacun de ses clins d’oeil, Smiths, Diabologum – premiere époque – Melville ou Ignatus.
Un Âne Gonflable – éponyme
2018 – 9 titres
Label : Autoproduction
Style : Pop indie
Origine : France / Allemagne, Berlin
Date de sortie de l’album : 2 mars 2018
Notre avis : [star rating= »2.5″ max= »5″]
Par Mike S.
Quatuor Guitare Basse Batterie, le groupe berlinois emmené par un français, Luc André, se distingue vite des autres projets musicaux par cette esprit Pop naif, enluminé par une ligne de clarinette qui fait toute la différence et une voix détachée et impersonnel, qui rappelle les albums des Objets ou de Via Romance, dans les années 90.
C’est l’histoire d’un gars qui part vivre à Berlin avec ses carnets de notes et ses fichiers démo dans sa valise. Nous le retrouvons quelques années plus tard, avec trois amis et un album autoproduit qui se distingue de tout ce qui peut se faire actuellement sur la planète Rock. Pourtant le projet de départ était simplement de concilier les rythmes vif de la scène Rock de Franz Ferdinand ou des Strokes et la délicatesse de la Pop à la française.
C’est sans doute grâce à cette plongée dans le milieu artistique de la scène berlinoise que la magie s’est opérée. Luc André, en confrontant son projet à la vision de ses collègues musiciens, en est venu à faire muter son projet, pour lui donner un aspect hybride et original. Autant les textes légers sur des sujets sérieux, que l’orchestration mêlant modernité et tradition, apporte à cet album l’audace et le caractère que la voix n’a pas. Surtout quand Luc se lance en anglais, avec son accent très frenchy.
Un album donc intéressant à bien des égards, qui nous apporte un peu de fraîcheur par son originalité, mais aussi de la nostalgie par les fantômes du passé que le groupe convoque à chacun de ses clins d’oeil, Smiths, Diabologum – premiere époque – Melville ou Ignatus.
A explorer avec attention
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Line-up :
Luc ANDRE – voix, guitare, clarinette
Peter RAHE – basse
Dan KATZ – batterie
Tobias HANEL – guitare
Tracklist :
1. Strawberry Sunday
2. 12 Hours
3. Stupid Kids
4. Pingpong Bar
5. Miss Lulu
6. Langueurs du dimanche
7. Coralie
8. Feeling like Hank Moody
9. La Presqu’île
10. Tropiques