2022 – 11 titres – 31’51
Label : Cardiophonie / Finalistes
Style : Chanson
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 11 février 2022
Notre avis :
Par Mike S.
« 1988, Chroniques d’un adieu » est le titre du quatrième album de Maud Lübeck dont on vous avait déjà parlé en 2018 avec l’album Divine. Album « concept », il dépeint en 11 tableaux l’histoire tourmentée d’une adolescente, en 1988.
Une histoire autobiographique. Cette histoire, elle la suit depuis la première chanson de son premier album, Mon amour en boîte. Et la chanteuse s’inspire de son propre journal de 1988 pour esquisser les sujets de ce nouvel opus. Une démarche originale qui garantit une forme de singularité et d’intimité dans les textes.
C’est la voix d’Irène Jacob qui introduit le disque et plante le décor de ce voyage dans le temps. Puis, un piano et des chœurs accompagnent la voix de Maud, sur Un jour sur terre, à la fois aérien et mélancolique. Chuchotés plus que chantés, les mots de Maud sont poétiques et attachant. Son univers rappelle toujours ceux de La Féline, avec ces mêmes émotions toujours à fleur de peau et cette fragilité qui perlent de ces textes et de ces musiques intimes.
D’autres autres invitées, Nicole Garcia et Clotilde Hesme, renforcent cette atmosphère cinématique si particulière, qu’on pouvait retrouver aussi sur le premier album de Vincent Delerm, par exemple.
C’est dans une lumière tamisée, ou dans l’obscurité totale, que ce nouvel album de Maud Lübeck révèlera l’exhaustivité de sa force émotionnelle et procurera une sensation de plénitude ou d’apaisement, pour peu qu’on veuille bien lâcher prise pendant cette grosse demi-heure de quasi méditation.
Site / Facebook
Line-up :
Maud Lübeck
Avec les voix d’Irène Jacob, de Clotilde Hesme et de Nicole Garcia
+
Basse/Sm20 : Thibault Frisoni
Violon : Christelle Lassort
Guitares : Martin Lefebvre
Batterie : Tatiana Mladenovitch
Violoncelle : Mathilde Sternat
Tracklist :
1. Ouverture (avec Irène Jacob) – 2’39
2. Un jour sur terre – 2’44
3. L’éternité – 3’03
4. Pourquoi – 2’21
5. Etait-ce toi (avec Clotilde Hesme) – 2’55
6. Mes lendemains – 2’56
7. En parallèle – 2’59
8. Non (avec Nicole Garcia) – 2’25
9. Aucune – 3’16
10. Au voleur – 3’03
11. 1988 – 2’30
Maud Lübeck – 1988, Chroniques d’un adieu
2022 – 11 titres – 31’51
Label : Cardiophonie / Finalistes
Style : Chanson
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 11 février 2022
Notre avis :
Par Mike S.
« 1988, Chroniques d’un adieu » est le titre du quatrième album de Maud Lübeck dont on vous avait déjà parlé en 2018 avec l’album Divine. Album « concept », il dépeint en 11 tableaux l’histoire tourmentée d’une adolescente, en 1988.
Une histoire autobiographique. Cette histoire, elle la suit depuis la première chanson de son premier album, Mon amour en boîte. Et la chanteuse s’inspire de son propre journal de 1988 pour esquisser les sujets de ce nouvel opus. Une démarche originale qui garantit une forme de singularité et d’intimité dans les textes.
C’est la voix d’Irène Jacob qui introduit le disque et plante le décor de ce voyage dans le temps. Puis, un piano et des chœurs accompagnent la voix de Maud, sur Un jour sur terre, à la fois aérien et mélancolique. Chuchotés plus que chantés, les mots de Maud sont poétiques et attachant. Son univers rappelle toujours ceux de La Féline, avec ces mêmes émotions toujours à fleur de peau et cette fragilité qui perlent de ces textes et de ces musiques intimes.
D’autres autres invitées, Nicole Garcia et Clotilde Hesme, renforcent cette atmosphère cinématique si particulière, qu’on pouvait retrouver aussi sur le premier album de Vincent Delerm, par exemple.
C’est dans une lumière tamisée, ou dans l’obscurité totale, que ce nouvel album de Maud Lübeck révèlera l’exhaustivité de sa force émotionnelle et procurera une sensation de plénitude ou d’apaisement, pour peu qu’on veuille bien lâcher prise pendant cette grosse demi-heure de quasi méditation.
Site / Facebook
Line-up :
Maud Lübeck
Avec les voix d’Irène Jacob, de Clotilde Hesme et de Nicole Garcia
+
Basse/Sm20 : Thibault Frisoni
Violon : Christelle Lassort
Guitares : Martin Lefebvre
Batterie : Tatiana Mladenovitch
Violoncelle : Mathilde Sternat
Tracklist :
1. Ouverture (avec Irène Jacob) – 2’39
2. Un jour sur terre – 2’44
3. L’éternité – 3’03
4. Pourquoi – 2’21
5. Etait-ce toi (avec Clotilde Hesme) – 2’55
6. Mes lendemains – 2’56
7. En parallèle – 2’59
8. Non (avec Nicole Garcia) – 2’25
9. Aucune – 3’16
10. Au voleur – 3’03
11. 1988 – 2’30