Lisa Leblanc à la Maroquinerie
dans le cadre du Festival Aurores Montréal
Date : 07.12.2016
Lieu : IDF, Paris (75)
Style : Rock’,’Roll, Blues, Chanson
.Notre avis :
Par Annie Claire Hilga
Lisa Leblanc, une jeune chanteuse qui décoiffe.
Cette acadienne vient du Nouveau-Brunswick, elle a 26 ans et souffle une bourrasque de fraîcheur sur la scène chanson. Elle autoproclame son chant folk-trash, c’est encore plus que cela. C’est un cocktail explosif rock/country/soap-movie/blues.
Servie par une voix rauque et forte [rock ans folk], comme on prononce là-bas, elle raconte des histoires déchirantes, des histoires d’amour extrémistes, tel son blues acadien bien connu maintenant, Ma vie c’est de la mardre. Son énergie, la chanteuse la traduit en anglais pour son dernier album, avec guitare
électrique et banjo. Elle part à la conquête de l’Ouest, mais pas seulement, elle compte bien séduire le continent américain tout entier. Ayant fait plusieurs séjours en Louisiane, elle a participé à des ateliers de musique là-bas : Nashville, le blue grass, le banjo, le finger picking, elle a rapporté le goût de cette musique.
Sur scène, le band de Lisa Leblanc est constitué de Maxime Gosselin à la batterie, Jean-Philippe Hébert et Benoît Morier aux guitares.
En fait et surtout, Lisa Leblanc est une bête de scène, elle sourit en chantant, elle se déplace, elle se mêle au public. Sa vie est dans la foule, dans la société, dans le siècle. Son imprégnation agitée est un vrai bonheur, tant elle dégage une énergie juvénile de bon aloi, sincère et communicative.
Site officiel
Lire aussi les chroniques des albums :
– Lisa LeBlanc – Why You Wanna Leave, Runaway Queen (Tôt ou Tard)
– Lisa Leblanc – Eponyme (Tôt ou Tard)
Lisa Leblanc à la Maroquinerie
dans le cadre du Festival Aurores Montréal
Date : 07.12.2016
Lieu : IDF, Paris (75)
Style : Rock’,’Roll, Blues, Chanson
.Notre avis :
Par Annie Claire Hilga
Lisa Leblanc, une jeune chanteuse qui décoiffe.
Cette acadienne vient du Nouveau-Brunswick, elle a 26 ans et souffle une bourrasque de fraîcheur sur la scène chanson. Elle autoproclame son chant folk-trash, c’est encore plus que cela. C’est un cocktail explosif rock/country/soap-movie/blues.
Servie par une voix rauque et forte [rock ans folk], comme on prononce là-bas, elle raconte des histoires déchirantes, des histoires d’amour extrémistes, tel son blues acadien bien connu maintenant, Ma vie c’est de la mardre. Son énergie, la chanteuse la traduit en anglais pour son dernier album, avec guitare
électrique et banjo. Elle part à la conquête de l’Ouest, mais pas seulement, elle compte bien séduire le continent américain tout entier. Ayant fait plusieurs séjours en Louisiane, elle a participé à des ateliers de musique là-bas : Nashville, le blue grass, le banjo, le finger picking, elle a rapporté le goût de cette musique.
Sur scène, le band de Lisa Leblanc est constitué de Maxime Gosselin à la batterie, Jean-Philippe Hébert et Benoît Morier aux guitares.
En fait et surtout, Lisa Leblanc est une bête de scène, elle sourit en chantant, elle se déplace, elle se mêle au public. Sa vie est dans la foule, dans la société, dans le siècle. Son imprégnation agitée est un vrai bonheur, tant elle dégage une énergie juvénile de bon aloi, sincère et communicative.
Site officiel
Lire aussi les chroniques des albums :
– Lisa LeBlanc – Why You Wanna Leave, Runaway Queen (Tôt ou Tard)
– Lisa Leblanc – Eponyme (Tôt ou Tard)