2018 – 6 titres – 22’30
Label : Autoprod
Style : Synth Pop, Rock, Electro
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 3 juin 2018
Notre avis : [star rating= »4″ max= »5″]
Par Manon B.
Après son premier EP « Through The Crack » très réussie néanmoins un peu réservé, le 2 ème de la trilogie arrive le 3 juin : écoute en avant-première de « Songs of Lights and Darkness ». Une musique électro industrielle, tantôt blanche, tantôt noire, et à la première écoute, je regarde le nom de l’artiste pour être sûre de ne pas me tromper : Non je n’écoute pas Depeche Mode mais les influences anglo-saxonnes sont bien là !
We Are The Line à la particularité d’écrire un album sous forme d’EP, et cette trilogie est comme une histoire à suivre, à vivre, à découvrir. Sa mélodie à fleur de l’âme, avec un son épuré, et à la voix pénétrante arrive progressivement à travers des phases d’instruments synthétiques et de sons électro. Une superbe Introduction, nommée Shining Edge reprise, ouvre ce second opus, Elle ouvre en douceur, la lumière de l’album, puis survient le côté sombre, on a très envie d’en savoir plus !
Le deuxième titre est tout de suite plus grisonnant Man Of Disfortune, ou l’homme du malheur. On y ressent avant même les paroles, le sentiment de peur, de ne pas oser. La partie instrumentale crée vraiment une ambiance particulière. Peut-être en référence à son nom de scène :« We Are The Line ». Car pour rappel, ce n’est qu’une seule personne aux manettes, qui espère formé un « nous » avec un public conquis.
On passe ensuite à Darkness Above, la voix apparaît tout de suite, sombre et déformée, comme si l’homme se transforme en esprit noire ou un monstre. Toujours ce son électro industriel pour poser une ambiance, celle-ci me fait penser à la série Dark ou Stranger Things avec le son électro / synthé des années 80/90 pour illustrer des ambiances étranges. Pareil pour An Hymn for them all, très robotique et des sons sortis de synthé’, sans paroles, on imagine alors des robots essayant de faire passer un message.
Toutes ces notes industriels, ce son électro puissant, et cette voix envoûtante font de ce deuxième opus une merveille à l’écoute. On ressent tout le travail de l’artiste, les sentiments qu’il a voulu transmettre, résolument sombre. La deuxième partie de son travail est donc passionnante et on à hâte d’écouter le prochain ! Un live peut-être bientôt ?
On remarquera encore une fois que les Français aiment chanter en Anglais. Et que c’est très réussi !
TRACKLIST :
- Intro (Shinning Edge Reprise)
- Man of Misfortune
- Darknes Above
- An Hymn for them all
- Untold Story
- Undone
Facebook / Site officiel
We Are The Line – Songs of Lights and Darkness EP
2018 – 6 titres – 22’30
Label : Autoprod
Style : Synth Pop, Rock, Electro
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 3 juin 2018
Notre avis : [star rating= »4″ max= »5″]
Par Manon B.
Après son premier EP « Through The Crack » très réussie néanmoins un peu réservé, le 2 ème de la trilogie arrive le 3 juin : écoute en avant-première de « Songs of Lights and Darkness ». Une musique électro industrielle, tantôt blanche, tantôt noire, et à la première écoute, je regarde le nom de l’artiste pour être sûre de ne pas me tromper : Non je n’écoute pas Depeche Mode mais les influences anglo-saxonnes sont bien là !
We Are The Line à la particularité d’écrire un album sous forme d’EP, et cette trilogie est comme une histoire à suivre, à vivre, à découvrir. Sa mélodie à fleur de l’âme, avec un son épuré, et à la voix pénétrante arrive progressivement à travers des phases d’instruments synthétiques et de sons électro. Une superbe Introduction, nommée Shining Edge reprise, ouvre ce second opus, Elle ouvre en douceur, la lumière de l’album, puis survient le côté sombre, on a très envie d’en savoir plus !
Le deuxième titre est tout de suite plus grisonnant Man Of Disfortune, ou l’homme du malheur. On y ressent avant même les paroles, le sentiment de peur, de ne pas oser. La partie instrumentale crée vraiment une ambiance particulière. Peut-être en référence à son nom de scène :« We Are The Line ». Car pour rappel, ce n’est qu’une seule personne aux manettes, qui espère formé un « nous » avec un public conquis.
On passe ensuite à Darkness Above, la voix apparaît tout de suite, sombre et déformée, comme si l’homme se transforme en esprit noire ou un monstre. Toujours ce son électro industriel pour poser une ambiance, celle-ci me fait penser à la série Dark ou Stranger Things avec le son électro / synthé des années 80/90 pour illustrer des ambiances étranges. Pareil pour An Hymn for them all, très robotique et des sons sortis de synthé’, sans paroles, on imagine alors des robots essayant de faire passer un message.
Toutes ces notes industriels, ce son électro puissant, et cette voix envoûtante font de ce deuxième opus une merveille à l’écoute. On ressent tout le travail de l’artiste, les sentiments qu’il a voulu transmettre, résolument sombre. La deuxième partie de son travail est donc passionnante et on à hâte d’écouter le prochain ! Un live peut-être bientôt ?
On remarquera encore une fois que les Français aiment chanter en Anglais. Et que c’est très réussi !
TRACKLIST :
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