LIVRE – 40 pages – 22.90 euros
Style : Jeunesse
Editions : Editions Margot
Sortie : 20 octobre 2021
Notre avis :
par Mike S
Livre-disque écrit, composé et interprété par Thomas Fersen et illustré par Benoît Debecker, « Saute la puce » est une petite histoire contée et chantée, qui ravira petits et grands !
Instrument déjà mis au cœur de certains de ses spectacles, le ukulélé va révéler sa véritable histoire, avec l’humour que l’on connait déjà à l’artiste. Pour l’occasion, Thomas Fersen est allé piocher dans son répertoire, pour réorchestrer quelques un de ses « classiques », auxquels il adjoint quelques inédits.
Quant au second protagoniste de cette nouvelle aventure, Benoît Debecker est auteur et dessinateur, et travaille principalement dans l’édition et la presse jeunesse. Ses dessins sont simples et stylés, ils ont une patine particulière qui rejoint parfaitement l’univers suranné des chansons de Thomas Fersen. Les deux se sont bien trouvés !
A mettre dans la liste de cadeaux pour Noël, on prend un peu d’avance !
Le Synopsis : Manuel, José et Augusto, tous trois ébénistes à Madère, fabriquaient des meubles de toutes sortes et, il faut bien l’dire, des cercueils. Seulement voilà… ils n’avaient plus de boulot. Non pas que l’on ne cassait plus sa pipe à Madère, ni que l’on n’avait plus besoin d’une chaise pour y poser son derrière, mais c’était la famine sur l’île. Les gens n’avaient plus rien. Ils crevaient la dalle, il faut bien l’dire. Aussi, en entendant ce nom appétissant d’« îles Sandwich », ils tendirent de larges oreilles, promptes à saisir une parole croustillante, faute de mieux. Dans leurs têtes dansaient des jambon-beurre, des saucisson-à-l’ail et des pâté-cornichons. Épais comme des cure-dents, ils n’avaient plus le choix : il fallait partir. Le métier de travailleur de la canne, c’était raide, il faut bien l’dire. À la nuit tombée, jouer de leur instrument auprès d’un feu leur rappelait le pays et leur réchauffait le cœur. Le son qui en sortait semait l’émerveillement autour d’eux, et allait même jusqu’à susciter, chez les plus méfiants, une peur primitive tant il est étrange, en effet, qu’un bout de bois se mette à chanter.
Thomas Fersen et Benoît Debecker – Saute la puce
LIVRE – 40 pages – 22.90 euros
Style : Jeunesse
Editions : Editions Margot
Sortie : 20 octobre 2021
Notre avis :
par Mike S
Livre-disque écrit, composé et interprété par Thomas Fersen et illustré par Benoît Debecker, « Saute la puce » est une petite histoire contée et chantée, qui ravira petits et grands !
Instrument déjà mis au cœur de certains de ses spectacles, le ukulélé va révéler sa véritable histoire, avec l’humour que l’on connait déjà à l’artiste. Pour l’occasion, Thomas Fersen est allé piocher dans son répertoire, pour réorchestrer quelques un de ses « classiques », auxquels il adjoint quelques inédits.
Quant au second protagoniste de cette nouvelle aventure, Benoît Debecker est auteur et dessinateur, et travaille principalement dans l’édition et la presse jeunesse. Ses dessins sont simples et stylés, ils ont une patine particulière qui rejoint parfaitement l’univers suranné des chansons de Thomas Fersen. Les deux se sont bien trouvés !
A mettre dans la liste de cadeaux pour Noël, on prend un peu d’avance !
Le Synopsis : Manuel, José et Augusto, tous trois ébénistes à Madère, fabriquaient des meubles de toutes sortes et, il faut bien l’dire, des cercueils. Seulement voilà… ils n’avaient plus de boulot. Non pas que l’on ne cassait plus sa pipe à Madère, ni que l’on n’avait plus besoin d’une chaise pour y poser son derrière, mais c’était la famine sur l’île. Les gens n’avaient plus rien. Ils crevaient la dalle, il faut bien l’dire. Aussi, en entendant ce nom appétissant d’« îles Sandwich », ils tendirent de larges oreilles, promptes à saisir une parole croustillante, faute de mieux. Dans leurs têtes dansaient des jambon-beurre, des saucisson-à-l’ail et des pâté-cornichons. Épais comme des cure-dents, ils n’avaient plus le choix : il fallait partir. Le métier de travailleur de la canne, c’était raide, il faut bien l’dire. À la nuit tombée, jouer de leur instrument auprès d’un feu leur rappelait le pays et leur réchauffait le cœur. Le son qui en sortait semait l’émerveillement autour d’eux, et allait même jusqu’à susciter, chez les plus méfiants, une peur primitive tant il est étrange, en effet, qu’un bout de bois se mette à chanter.