Société de production : Apple Corp / White Horse Pictures / Imagine Entertainment Genre : Documentaire Origine : Royaume Uni / USA
Musique originale : The Beatles / Ric Markmann, Dan Pinnella et Chris Wagner
Date de sortie : 15 septembre 2016 .
Notre avis :
Par Kevin S.
Un film documentaire qui retrace la Beatlemania en nous replongeant au cœur des années 60 .
Le documentaire en lui même ne nous apprend étrangement pas grand chose que ce que nous savions déjà (du moins ceux qui se sont intéressés à l’histoire du groupe). Malgré tout, il y a suffisamment d’images d’archives d’une grande beauté, de témoignages passionnants (Whoopyi Goldberg par exemple) et une telle déclaration d’amour à ce groupe pour rendre ce documentaire incroyablement beau.
Le film retrace l’histoire des Beatles de 1962 à 1966 (à peu près ), la fin étant un peu vite expédiée (au vue de leur changement de look, d’attitude et leur volonté de casser leur image de jeunes premiers). C’est très intéressant de voir la magie de la célébrité à leurs débuts, ce côté » fans hystériques » qui tombent dans les pommes, qui crient leurs noms, qui les suivent dans la rue et puis le côté angoissant de la chose : les accidents, pas mal de violences, la foule en délire qui peut partir très loin. Leur volonté de cesser tout ça est très courageux de leur part et cette force de changer radicalement (musicalement et vestimentairement parlant est assez osée) .
La Beatlemania aura duré réellement environ cinq ans et c’est incroyable comme un groupe qui eu un tel succès en si peu de temps soit toujours autant dans les mémoires. Pour les plus anciens qui ont connus ces années, ils se replongeront avec enthousiasme dans leurs souvenirs. Quant aux autres générations, c’est avec un malin plaisir qu’ils découvriront la folie des années 60. Les 30 minutes de concert au Shea Stadium restauré en 4K sont absolument époustouflants (on a l’impression que ça a été tourné hier tant l’image est nette, notamment le public qu’on imagine acteur dans un film et non un véritable public dans un stade) .
Un joli retour en arrière pour tous les passionnés de ces années fantastiques.
The Beatles – Eight Days A Week – The Touring years
Réalisateur : Ron Haward
Société de production : Apple Corp / White Horse Pictures / Imagine Entertainment
Genre : Documentaire
Origine : Royaume Uni / USA
Musique originale : The Beatles / Ric Markmann, Dan Pinnella et Chris Wagner
Date de sortie : 15 septembre 2016
.
Notre avis :
Par Kevin S.
Un film documentaire qui retrace la Beatlemania en nous replongeant au cœur des années 60 .
Le documentaire en lui même ne nous apprend étrangement pas grand chose que ce que nous savions déjà (du moins ceux qui se sont intéressés à l’histoire du groupe). Malgré tout, il y a suffisamment d’images d’archives d’une grande beauté, de témoignages passionnants (Whoopyi Goldberg par exemple) et une telle déclaration d’amour à ce groupe pour rendre ce documentaire incroyablement beau.
Le film retrace l’histoire des Beatles de 1962 à 1966 (à peu près ), la fin étant un peu vite expédiée (au vue de leur changement de look, d’attitude et leur volonté de casser leur image de jeunes premiers). C’est très intéressant de voir la magie de la célébrité à leurs débuts, ce côté » fans hystériques » qui tombent dans les pommes, qui crient leurs noms, qui les suivent dans la rue et puis le côté angoissant de la chose : les accidents, pas mal de violences, la foule en délire qui peut partir très loin. Leur volonté de cesser tout ça est très courageux de leur part et cette force de changer radicalement (musicalement et vestimentairement parlant est assez osée) .
La Beatlemania aura duré réellement environ cinq ans et c’est incroyable comme un groupe qui eu un tel succès en si peu de temps soit toujours autant dans les mémoires. Pour les plus anciens qui ont connus ces années, ils se replongeront avec enthousiasme dans leurs souvenirs. Quant aux autres générations, c’est avec un malin plaisir qu’ils découvriront la folie des années 60. Les 30 minutes de concert au Shea Stadium restauré en 4K sont absolument époustouflants (on a l’impression que ça a été tourné hier tant l’image est nette, notamment le public qu’on imagine acteur dans un film et non un véritable public dans un stade) .
Un joli retour en arrière pour tous les passionnés de ces années fantastiques.