Les 15, 16 et 17 Septembre 2023 – Pagney Derrière Barine (54) /
Notre avis :
Les 100 Ans de Paulette ont été fêtés de la plus belle des manières avec 3 jours de concerts ! Toute l’équipe nous a concocté un joli moment avec des groupes amis. Paulette, telle une star, était présente sur le site durant ces 3 jours, se prêtant au jeu des photos. Environ 3 000 personnes ont foulé le site en contrebas du village de Pagney Derrière Barine dans une belle ambiance familiale. Une organisation cousue au fil blanc par la famille proche et une bonne cinquantaine de bénévoles, avec un chapiteau de 700 m² réservé à la scène et aux orchestres et une déco soignée. Des chalets (restauration, buvette, tatouage, vente de vinyles, …) surmontés d’un mur reproduisant une rue de Camden Street à Londres, graffée par Thibo avec le concours de Norbert et des anciens du Bruley Show. Une équipe de bénévoles assure l’intendance de la « popote ». Un beau moment dans un bel endroit !
VON BROWN
Les festivités sont lancées avec Von Brown. Mickaël, de son prénom, nous offre de jolies reprises. Seul avec sa guitare pour la grande partie du tour de chant, il voit le renfort d’une basse / batterie pour « The Wall » notamment. Une belle entrée en matière !
Les protagonistes prennent possession de la scène. Christian est tout de noir vêtu, chapeau noir vissé sur la tête. Les festivités sont lancées avec « Le Chien, La Poubelle Et La Rose » qui amène une première ovation. Le public est ravi de retrouver le groupe sur scène. L’émotion et la joie sont palpables. Les fans sont venus nombreux pour la dernière tournée du groupe. Aujourd’hui, c’est la fête, annonce le chanteur. Et nous voilà partis avec « Aujourd’hui C’Est La Fête Chez L’Apprenti Sorcier ». Christian se retrouve avec une chouette entre les mains, et le morceau offre de jolis changements de rythme. L’accueil est des plus chaleureux encore une fois. Merci !Bienvenus dans le monde de Paulette ! Le show se poursuit avec « Le Rêve Est À Rêver (Deuxième Service) ». Il y a quelques années, j’ai découvert un lieu magique, dans un petit patelin magique, un endroit tenu par une fée… Il s’agit bien évidemment de Paulette ! Les titres s’enchaînent : « Le Soir Du Diable », « Fou ! ». Le maître de cérémonie revêt une casquette de capitaine, use d’une canne, et une bouteille à la main pour « Capitaine Cœur De Miel ». Le groupe reçoit une nouvelle ovation. Cette fois, Christian porte un bonnet de Père Noël, une guirlande autour du cou et une boule de sapin dans la main pour « À L’Ombre Des Pictogrammes / La Colère Des Dieux ». Le public chante sur « Ces Gens-Là », reprise de Jacques Brel. Une ovation encore une fois. Merci ! Vous avez été merveilleux ! Merci beaucoup ! C’est pour Paulette ! Elle fait d’ailleurs son entrée en scène sur « Hymne À La Vie ». Elle apparaît dans sa marinière, épaulée par sa petite-fille Létizia. Après avoir reçu un bisou de Christian, elle lève le poing, saluant la foule avant d’envoyer des baisers au public venu nombreux ce soir et qui entonne un joyeux anniversaire ! Un moment riche en émotion !
Nous poursuivons la soirée avec le rock progressif d’Unitopia, supergroupe à géométrie variable. Pour cette exclusivité Française – c’est en effet la seule date en France ! – la formation est composée ce soir de l’Américain Chester Thompson à la batterie (qui a joué notamment avec Franck Zappa, Weather Report, Genesis…), de John Greenwood à la guitare (qui a joué avec Brian Ferry, Pretenders…), de l’Australien Sean Timms aux claviers, de Don Schiff au chapman stick (qui a joué avec Sheryl Crow, Pat Benatar), et de l’Australien Mark Trueack au chant. Unitopia s’efforce de puiser dans le cœur et l’âme de l’auditeur des sujets stimulants tels que la conscience environnementale, les bouleversements politiques et sociaux, le rythme effréné de la vie et des relations humaines, sous un jour positif et édifiant. Utilisant des thèmes progressifs comme cadre, le groupe nous propose un savant mélange du classique, du jazz, du heavy rock et du groove. Le chanteur est assis et déroule la setlist suivante : « The Garden », « Broken Heart », « Bittersweet », « The Stroke Of Midnight », « Mania », « Tesla », « The Great Reward ».
Prypiat est un groupe de deathcore formé en 2021 à Metz. Le nom de la formation a été choisi en référence à l’accident nucléaire de Tchernobyl survenu dans la ville Ukrainienne Prypiat qui se trouve à 3 km de la centrale nucléaire. Le thème principal du groupe est la reprise des droits de la nature. Influencé par des formations telles que Chelsea Grin, Thy Art Is Murder, Lorna Shore, Architect, Wage War… Prypiat sait nous faire vibrer avec sa musique à la fois puissante et mélancolique, en nous présentant l’album « A Lifeless World » qui compose son actif; joué dans sa quasi intégralité. Setlist : « Intro », « Прип’ять », « To The Ground », « Landscape Of Death », « Destroyed World », « Interlude », « Survival Instinct », « I Can’t Breath », « Mutation », « A Lifeless World ».
Créé en 2013, Not Scientists est composé d’anciens membres de Uncommonmenfrommars et No Guts No Glory, deux références de la scène punk Française qui n’ont cessé de parcourir le globe pendant de nombreuses années. La formation nous propose un savant mélange de power, de wave et de punk rock. Un ensemble tendu, mais aussi mélodique et sophistiqué. Les festivités sont lancées avec « Push ». Le groupe adresse ses premiers mots à la foule. Bonsoir tout le monde ! On s’appelle Not Scientists ! « Perfect World » est envoyé dans la foulée. L’accueil est des plus chaleureux. Merci !!! Le quatuor nous livre un set abouti et tout en énergie ! Les titres s’enchaînent : « Like Gods We Feast », « I’m Brainwashing You », « Heart Attack », « Paper Crown ». Une reprise de UK Subs nous est offerte avec « ÷8×5 ». Les artistes sont en phase avec le public. Une communion et une ambiance parfaite avec cet univers musical qui fait un bien fou à entendre ! La foule est invitée à chanter. Le show se poursuit avec « Submarine », « Orientation » et « Downfall ». Nous ne voyons pas le temps passer. « Shoplifter » et « Listen Up » nous amènent petit à petit à la fin du set. C’est avec « Secrets » et « Leave Stickers On Our Graves » que le tour de chant se termine. Le temps de saluer le public, de remercier les techniciens et Not Scientists quitte la scène sous une ovation. Une jolie prestation et un très beau moment !
Groupe emblématique de la scène indépendante Française depuis près de quinze ans, Le Peuple De L’herbe casse les barrières musicales entre électro, hip-hop, dub et énergie rock. Revendicatifs, mais subtiles, les Lyonnais sont de retour avec un sixième album explosif et entêtant. Envolées cuivrées, breakbeats puissants, basses lourdes, rythmiques d’aciers, paroles tranchantes, nappes sombres ou riffs nerveux sont les piliers de la musique azimutée du Peuple De L’herbe. Le groupe a encore eu l’occasion de nous le démontrer ce soir !
Al & The Bebops reprend avec énergie les répertoires des pionniers du rock’n’roll. L’ensemble proposé est rythmé, avec un son aux influences rockabilly et bebop des années 50 -60. Ce que Paulette a dû écouter dans sa jeunesse ! Les festivités sont lancées avec « Pretty Bad Blues » et « Rocket Ship ». D’emblée, l’ambiance est mise et le public se dandine. Guitares, batterie, contrebasse… Tous les ingrédients sont rassemblés pour un moment festif et rock’n’roll ! « Ring Of Fire » et « Tree Alley Cats » nous sont ensuite proposés. Le public est invité à chanter sur « Teenage Boogie », suivi de « Jumping Record ». Une chanson dédiée aux blondes et à ma femme, même si elle n’est pas blonde… « Long Blond Hair » est ainsi annoncé. Un petit blues avec « Babby Blue ». Les titres s’enchaînent : « Black Slack », « Cherry Mountain », « The House Of Rinis », « I’M Going Home ». C’est avec « Shirley Lee » que le set se termine. Une jolie prestation. Rythmée et dansante !
Le chanteur-guitariste prend possession de la scène et nous présente quelques extraits du nouvel album « Injoignable » sorti en mars dernier. L’ensemble est plutôt rock. Sur scène, Jo Dahan s’entoure de ses deux compagnons de route : Joseph Cartigny à la batterie et Tommy Haullard aux claviers. Le trio nous offre un beau moment. Du rock pur et dur, une guitare électrique frisant parfois la saturation et des textes évoquant les attentats de Charlie Hebdo, les amitiés guerrières, des sujets ésotériques… Un vrai plaisir sur scène avec celui qui a tenu la basse de la Mano Negra, la guitare rythmique des Wampas et celle de Gaëtan Roussel !
Le groupe est attendu avec impatience. L’excitation est palpable dans le public. Une petit intro annonce le début du show et les protagonistes débarquent sur scène. Le set est lancé avec « Criez ! ». D’emblée, la foule est en ébullition. La température monte encore d’un cran avec « Je » et « Rouge ». Les pogos et les slams ont fait leur apparition. Le tour de chant se poursuit avec « Les Petits Poings ». Les titres s’enchaînent avec la même énergie : « La Veste », « Déconnecte », « Plus Tu Me ». Il règne une bonne ambiance sous le chapiteau. Un reprise d’Alain Bashung nous est offerte avec « La Nuit Je Mens ». La communion avec le public est totale. Sur « Déconnecte », le groupe demande au public de filmer avec les smartphones. L’ensemble est énergique et dansant. La section basse / batterie est d’une efficacité redoutable. Le public saute régulièrement. Les guitaristes enchaînent les rythmiques et les solos avec une précision chirurgicale. La voix du chanteur est tantôt cristalline, tantôt rageuse. « L’Animal » nous amène petit à petit à la fin du set. C’est avec « Moi Être Roi » et « Kashmir » de Led Zeppelin que le tour de chant se termine. Un moment survolté et un public ravi !
C’est avec Raoul Petite que le Festival se termine. Nous n’aurons malheureusement pas pu assister à la représentation qui a été hors norme et qui a semble t-il offert un détournement de tous les styles musicaux, mixant rock, reggae, groove et électro sur des textes à l’image des concerts habituellement donnés : percutants, incisifs, hallucinants, loufoques, barock’n roll et surréalistes !
Chez Paulette /
Rock & Paulette Festival /
Les 15, 16 et 17 Septembre 2023 – Pagney Derrière Barine (54) /
Notre avis :
Les 100 Ans de Paulette ont été fêtés de la plus belle des manières avec 3 jours de concerts ! Toute l’équipe nous a concocté un joli moment avec des groupes amis. Paulette, telle une star, était présente sur le site durant ces 3 jours, se prêtant au jeu des photos. Environ 3 000 personnes ont foulé le site en contrebas du village de Pagney Derrière Barine dans une belle ambiance familiale. Une organisation cousue au fil blanc par la famille proche et une bonne cinquantaine de bénévoles, avec un chapiteau de 700 m² réservé à la scène et aux orchestres et une déco soignée. Des chalets (restauration, buvette, tatouage, vente de vinyles, …) surmontés d’un mur reproduisant une rue de Camden Street à Londres, graffée par Thibo avec le concours de Norbert et des anciens du Bruley Show. Une équipe de bénévoles assure l’intendance de la « popote ». Un beau moment dans un bel endroit !
VON BROWN
Les festivités sont lancées avec Von Brown. Mickaël, de son prénom, nous offre de jolies reprises. Seul avec sa guitare pour la grande partie du tour de chant, il voit le renfort d’une basse / batterie pour « The Wall » notamment. Une belle entrée en matière !
Von Brown : Facebook
Les photos de la soirée : ici.
ANGE
Les protagonistes prennent possession de la scène. Christian est tout de noir vêtu, chapeau noir vissé sur la tête. Les festivités sont lancées avec « Le Chien, La Poubelle Et La Rose » qui amène une première ovation. Le public est ravi de retrouver le groupe sur scène. L’émotion et la joie sont palpables. Les fans sont venus nombreux pour la dernière tournée du groupe. Aujourd’hui, c’est la fête, annonce le chanteur. Et nous voilà partis avec « Aujourd’hui C’Est La Fête Chez L’Apprenti Sorcier ». Christian se retrouve avec une chouette entre les mains, et le morceau offre de jolis changements de rythme. L’accueil est des plus chaleureux encore une fois. Merci ! Bienvenus dans le monde de Paulette ! Le show se poursuit avec « Le Rêve Est À Rêver (Deuxième Service) ». Il y a quelques années, j’ai découvert un lieu magique, dans un petit patelin magique, un endroit tenu par une fée… Il s’agit bien évidemment de Paulette ! Les titres s’enchaînent : « Le Soir Du Diable », « Fou ! ». Le maître de cérémonie revêt une casquette de capitaine, use d’une canne, et une bouteille à la main pour « Capitaine Cœur De Miel ». Le groupe reçoit une nouvelle ovation. Cette fois, Christian porte un bonnet de Père Noël, une guirlande autour du cou et une boule de sapin dans la main pour « À L’Ombre Des Pictogrammes / La Colère Des Dieux ». Le public chante sur « Ces Gens-Là », reprise de Jacques Brel. Une ovation encore une fois. Merci ! Vous avez été merveilleux ! Merci beaucoup ! C’est pour Paulette ! Elle fait d’ailleurs son entrée en scène sur « Hymne À La Vie ». Elle apparaît dans sa marinière, épaulée par sa petite-fille Létizia. Après avoir reçu un bisou de Christian, elle lève le poing, saluant la foule avant d’envoyer des baisers au public venu nombreux ce soir et qui entonne un joyeux anniversaire ! Un moment riche en émotion !
Ange : Facebook / Twitter / Site Officiel
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UNITOPIA
Nous poursuivons la soirée avec le rock progressif d’Unitopia, supergroupe à géométrie variable. Pour cette exclusivité Française – c’est en effet la seule date en France ! – la formation est composée ce soir de l’Américain Chester Thompson à la batterie (qui a joué notamment avec Franck Zappa, Weather Report, Genesis…), de John Greenwood à la guitare (qui a joué avec Brian Ferry, Pretenders…), de l’Australien Sean Timms aux claviers, de Don Schiff au chapman stick (qui a joué avec Sheryl Crow, Pat Benatar), et de l’Australien Mark Trueack au chant. Unitopia s’efforce de puiser dans le cœur et l’âme de l’auditeur des sujets stimulants tels que la conscience environnementale, les bouleversements politiques et sociaux, le rythme effréné de la vie et des relations humaines, sous un jour positif et édifiant. Utilisant des thèmes progressifs comme cadre, le groupe nous propose un savant mélange du classique, du jazz, du heavy rock et du groove. Le chanteur est assis et déroule la setlist suivante : « The Garden », « Broken Heart », « Bittersweet », « The Stroke Of Midnight », « Mania », « Tesla », « The Great Reward ».
Unitopia : Facebook / Instagram / Twitter / Youtube / Site Officiel
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PRYPIAT
Prypiat est un groupe de deathcore formé en 2021 à Metz. Le nom de la formation a été choisi en référence à l’accident nucléaire de Tchernobyl survenu dans la ville Ukrainienne Prypiat qui se trouve à 3 km de la centrale nucléaire. Le thème principal du groupe est la reprise des droits de la nature. Influencé par des formations telles que Chelsea Grin, Thy Art Is Murder, Lorna Shore, Architect, Wage War… Prypiat sait nous faire vibrer avec sa musique à la fois puissante et mélancolique, en nous présentant l’album « A Lifeless World » qui compose son actif; joué dans sa quasi intégralité. Setlist : « Intro », « Прип’ять », « To The Ground », « Landscape Of Death », « Destroyed World », « Interlude », « Survival Instinct », « I Can’t Breath », « Mutation », « A Lifeless World ».
Prypiat : Facebook / Instagram / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
NOT SCIENTISTS
Créé en 2013, Not Scientists est composé d’anciens membres de Uncommonmenfrommars et No Guts No Glory, deux références de la scène punk Française qui n’ont cessé de parcourir le globe pendant de nombreuses années. La formation nous propose un savant mélange de power, de wave et de punk rock. Un ensemble tendu, mais aussi mélodique et sophistiqué. Les festivités sont lancées avec « Push ». Le groupe adresse ses premiers mots à la foule. Bonsoir tout le monde ! On s’appelle Not Scientists ! « Perfect World » est envoyé dans la foulée. L’accueil est des plus chaleureux. Merci !!! Le quatuor nous livre un set abouti et tout en énergie ! Les titres s’enchaînent : « Like Gods We Feast », « I’m Brainwashing You », « Heart Attack », « Paper Crown ». Une reprise de UK Subs nous est offerte avec « ÷8×5 ». Les artistes sont en phase avec le public. Une communion et une ambiance parfaite avec cet univers musical qui fait un bien fou à entendre ! La foule est invitée à chanter. Le show se poursuit avec « Submarine », « Orientation » et « Downfall ». Nous ne voyons pas le temps passer. « Shoplifter » et « Listen Up » nous amènent petit à petit à la fin du set. C’est avec « Secrets » et « Leave Stickers On Our Graves » que le tour de chant se termine. Le temps de saluer le public, de remercier les techniciens et Not Scientists quitte la scène sous une ovation. Une jolie prestation et un très beau moment !
Not Scientists : Facebook / Instagram / Twitter / Youtube / Site Officiel
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LE PEUPLE DE L’HERBE
Groupe emblématique de la scène indépendante Française depuis près de quinze ans, Le Peuple De L’herbe casse les barrières musicales entre électro, hip-hop, dub et énergie rock. Revendicatifs, mais subtiles, les Lyonnais sont de retour avec un sixième album explosif et entêtant. Envolées cuivrées, breakbeats puissants, basses lourdes, rythmiques d’aciers, paroles tranchantes, nappes sombres ou riffs nerveux sont les piliers de la musique azimutée du Peuple De L’herbe. Le groupe a encore eu l’occasion de nous le démontrer ce soir !
Le Peuple De L’Herbe : Facebook / Instagram / Twitter / Youtube
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AL & THE BEBOPS
Al & The Bebops reprend avec énergie les répertoires des pionniers du rock’n’roll. L’ensemble proposé est rythmé, avec un son aux influences rockabilly et bebop des années 50 -60. Ce que Paulette a dû écouter dans sa jeunesse ! Les festivités sont lancées avec « Pretty Bad Blues » et « Rocket Ship ». D’emblée, l’ambiance est mise et le public se dandine. Guitares, batterie, contrebasse… Tous les ingrédients sont rassemblés pour un moment festif et rock’n’roll ! « Ring Of Fire » et « Tree Alley Cats » nous sont ensuite proposés. Le public est invité à chanter sur « Teenage Boogie », suivi de « Jumping Record ». Une chanson dédiée aux blondes et à ma femme, même si elle n’est pas blonde… « Long Blond Hair » est ainsi annoncé. Un petit blues avec « Babby Blue ». Les titres s’enchaînent : « Black Slack », « Cherry Mountain », « The House Of Rinis », « I’M Going Home ». C’est avec « Shirley Lee » que le set se termine. Une jolie prestation. Rythmée et dansante !
Al & The Bebops : Facebook / Instagram
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JO DAHAN
Le chanteur-guitariste prend possession de la scène et nous présente quelques extraits du nouvel album « Injoignable » sorti en mars dernier. L’ensemble est plutôt rock. Sur scène, Jo Dahan s’entoure de ses deux compagnons de route : Joseph Cartigny à la batterie et Tommy Haullard aux claviers. Le trio nous offre un beau moment. Du rock pur et dur, une guitare électrique frisant parfois la saturation et des textes évoquant les attentats de Charlie Hebdo, les amitiés guerrières, des sujets ésotériques… Un vrai plaisir sur scène avec celui qui a tenu la basse de la Mano Negra, la guitare rythmique des Wampas et celle de Gaëtan Roussel !
Jo Dahan : Facebook / Youtube
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CACHEMIRE
Le groupe est attendu avec impatience. L’excitation est palpable dans le public. Une petit intro annonce le début du show et les protagonistes débarquent sur scène. Le set est lancé avec « Criez ! ». D’emblée, la foule est en ébullition. La température monte encore d’un cran avec « Je » et « Rouge ». Les pogos et les slams ont fait leur apparition. Le tour de chant se poursuit avec « Les Petits Poings ». Les titres s’enchaînent avec la même énergie : « La Veste », « Déconnecte », « Plus Tu Me ». Il règne une bonne ambiance sous le chapiteau. Un reprise d’Alain Bashung nous est offerte avec « La Nuit Je Mens ». La communion avec le public est totale. Sur « Déconnecte », le groupe demande au public de filmer avec les smartphones. L’ensemble est énergique et dansant. La section basse / batterie est d’une efficacité redoutable. Le public saute régulièrement. Les guitaristes enchaînent les rythmiques et les solos avec une précision chirurgicale. La voix du chanteur est tantôt cristalline, tantôt rageuse. « L’Animal » nous amène petit à petit à la fin du set. C’est avec « Moi Être Roi » et « Kashmir » de Led Zeppelin que le tour de chant se termine. Un moment survolté et un public ravi !
Cachemire : Facebook / Instagram / Twitter / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
RAOUL PETITE
C’est avec Raoul Petite que le Festival se termine. Nous n’aurons malheureusement pas pu assister à la représentation qui a été hors norme et qui a semble t-il offert un détournement de tous les styles musicaux, mixant rock, reggae, groove et électro sur des textes à l’image des concerts habituellement donnés : percutants, incisifs, hallucinants, loufoques, barock’n roll et surréalistes !
Raoul Petite : Facebook / Instagram / Youtube / Site Officiel
Photos : Fabrice A.
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By Fabrice A. • Reportage Festival, Reportages • Tags: Al & The Bebops, Ange, Cachemire, Chez Paulette, Jo Dahan, Le Peuple De L'Herbe, Not Scientists, Pagney Derrière Barine, Prypiat, Raoul Petite, Rock & Paulette, Unitopia, Von Brown