2015 – 12 titres Label : Elap Music Style : Rock Origine : France, Paris Date de sortie de l’album : Septembre 2015
Notre avis :
Par Mike S.
Line up : P.H. Welsh (Chant et guitare) — Luc Durand (Batterie et percussions) — Elie Gaulin (Guitare et chant) — Nathalie Durand (Basse et chant).
Un premier album baptisé A modern Tale (un conte moderne). Une belle pochette, sobre, en noir et blanc. Douze titres chantés en anglais, avec un petit accent français. Un style Rock, classique, dépouillé, qui s’accoquine parfois à la Folk et à la musique de Kat Onoma dans les années 80’s. Un thème : « le parcours d’un homme dans un univers urbain, entre rencontres, souvenirs, espoirs et renoncements ».
Et puis, un nom, OAKS. A l’origine, le groupe pensait s’appeler Only Alan Knows. A l’arrivée, ils ne gardent que les initiales OAKS, (Chênes en anglais).
Parmi les douze compos de cet album, il y a au hasard, Even if it ended, avec sa mélodie simple mais entêtante, sa voix légèrement nerveuse sur la fin du titre, et le jeu de guitares qui s’emportent, progressivement, au long des 3 minutes. Tout n’est que retenue, mesure, modération. Un premier clip, pour The Light of Day, avec des images en noir et blanc, élémentaires d’apparence, mais mettant habilement en valeur les mots de P.H. Welsh. Les mots s’affichent sur les images et Waiting For The Light a bientôt réussi à se glisser dans votre tête, pour y rester ancré pour un bon moment. Mercy Mercy, Instead…
A l’image de ces titres, les autres compositions sont construites de la même manière, très carrées, sans jamais aller dans l’extravagance ou le fantasque. Tout comme la production, réduite à sa plus simple expression, l’auditeur pouvant aisément entendre chacune des pistes. Le groupe aurait presque pu enregistrer le tout à l’ancienne, tous les instruments ensemble dans un studio.
Tout l’album respire ainsi la simplicité et la sincérité. Un son pur, brut, pour ne pas dire naturel. Pourquoi aller toujours chercher compliqué, quand, en faisant simple, on arrive à créer les mêmes émotions… Du bel ouvrage. Je ne m’en lasse pas !
1/ Love Factory
2/ One Hundred Songs
3/ For Once
4/ Even if it ended
5/ The light of day
6/ Bad influence
7/ Pictures in my mind
8/ Eternity and a day
9/ You’ll never stop me trying
10/ Shelter
11/ If I Can’t Fix It
12/ This is the end
Oaks – A modern Tale
2015 – 12 titres
Label : Elap Music
Style : Rock
Origine : France, Paris
Date de sortie de l’album : Septembre 2015
Notre avis :
Par Mike S.
Line up : P.H. Welsh (Chant et guitare) — Luc Durand (Batterie et percussions) — Elie Gaulin (Guitare et chant) — Nathalie Durand (Basse et chant).
Un premier album baptisé A modern Tale (un conte moderne). Une belle pochette, sobre, en noir et blanc. Douze titres chantés en anglais, avec un petit accent français. Un style Rock, classique, dépouillé, qui s’accoquine parfois à la Folk et à la musique de Kat Onoma dans les années 80’s. Un thème : « le parcours d’un homme dans un univers urbain, entre rencontres, souvenirs, espoirs et renoncements ».
Et puis, un nom, OAKS. A l’origine, le groupe pensait s’appeler Only Alan Knows. A l’arrivée, ils ne gardent que les initiales OAKS, (Chênes en anglais).
Parmi les douze compos de cet album, il y a au hasard, Even if it ended, avec sa mélodie simple mais entêtante, sa voix légèrement nerveuse sur la fin du titre, et le jeu de guitares qui s’emportent, progressivement, au long des 3 minutes. Tout n’est que retenue, mesure, modération. Un premier clip, pour The Light of Day, avec des images en noir et blanc, élémentaires d’apparence, mais mettant habilement en valeur les mots de P.H. Welsh. Les mots s’affichent sur les images et Waiting For The Light a bientôt réussi à se glisser dans votre tête, pour y rester ancré pour un bon moment. Mercy Mercy, Instead…
A l’image de ces titres, les autres compositions sont construites de la même manière, très carrées, sans jamais aller dans l’extravagance ou le fantasque. Tout comme la production, réduite à sa plus simple expression, l’auditeur pouvant aisément entendre chacune des pistes. Le groupe aurait presque pu enregistrer le tout à l’ancienne, tous les instruments ensemble dans un studio.
Tout l’album respire ainsi la simplicité et la sincérité. Un son pur, brut, pour ne pas dire naturel. Pourquoi aller toujours chercher compliqué, quand, en faisant simple, on arrive à créer les mêmes émotions… Du bel ouvrage. Je ne m’en lasse pas !
Facebook /Site officiel
Tracklist
1/ Love Factory
2/ One Hundred Songs
3/ For Once
4/ Even if it ended
5/ The light of day
6/ Bad influence
7/ Pictures in my mind
8/ Eternity and a day
9/ You’ll never stop me trying
10/ Shelter
11/ If I Can’t Fix It
12/ This is the end
Bonus : le teaser de l’album :