Le Zénith /
Muse + One Ok Rock /
Le 06 Juillet 2023 – Nancy (54) /
Notre avis :
Nous avions rendez-vous ce jeudi soir au Zénith du Grand Nancy pour un concert époustouflant. Celui de Muse ! Le groupe nous a offert un véritable son et lumière avec une setlist en forme de best-of. Un bel équilibre entre les anciens et les nouveaux titres pour un show énergique de quasiment 2 heures. One Ok Rock assurait la première partie.
ONE OK ROCK
Originaire de Tokyo, le groupe est formé en 2005 et compte déjà 10 albums studio à son actif. Un petit aperçu d’une trentaine de minutes nous est présenté ce soir. Les festivités sont lancées avec « Save Yourself », extrait de « Luxury Disease » sorti en 2022. La formation Japonaise nous offre du rock énergique et efficace. « Deeper Deeper » et « Taking Off » sont envoyés dans la foulée. La première, extraite de l’album « Jinsei Kakete Boku Wa » sorti en 2013, est interprétée en anglais et en japonais. La seconde est issue de l’album « Ambitions » paru en 2017. Le public apprécie et le fait savoir par ses applaudissements. L’ambiance est là, avec les riffs entraînants de la guitare de Toru Yamashita. One Ok Rock nous présente 4 autres titres du nouvel album : « Neon », que le public reprend en choeur, le très énergique « Vandalize », « Renegades », un tantinet plus calme, et « Prove ». « We Are » nous amène petit à petit à la fin du set. C’est avec « Your Tears Are Mine » que le set se termine. Une jolie ballade qui fait balancer les bras du public. One Ok Rock remercie Muse de leur avoir permis d’être ce soir et quitte la scène sous les applaudissements.
One Ok Rock : Facebook / Instagram / Twitter / Tik Tok / Youtube / Site Officiel
MUSE
L’amphithéâtre commence à faire du bruit et lance une ola. Le public claque des mains. L’excitation est palpable dans l’enceinte. Les fans trépignent, applaudissent, acclament le groupe. Une petite intro musicale annonce le début du show. Le Zénith raisonne de plus belle. Une vidéo est diffusée sur les écrans géants. Nous pouvons y voir des statues à l’image de Matthew (Bellamy), de Dominic (Howard) et de Christopher (Wolstenholme). Des personnes aux visages masqués s’attellent à les détruire. Les statues s’effondrent dans le sable, tirées par cette foule vêtue de noir. Les protagonistes débarquent sur scène avec des capuches, visages dissimulés par des masques, et intégralement vêtus de noir. Les festivités sont lancées avec « Will Of The People ». Sur le fond de la scène, un emblème portant les lettres « WOTP » s’embrase. Avec la magie des effets spéciaux, les images diffusées sur les écrans donnent l’impression que les masques, les vêtements et les instruments des musiciens prennent feu. Des flammes jaillissent du sol. Le ton est donné dès le départ. Le groupe met la barre très haute. Un lancement tonitruant qui met l’amphithéâtre en ébullition. L’enchaînement est fait avec « Hysteria » et le trio tombe le masque. La foule offre une ovation et crie de plus belle. Chanteur et bassiste se succèdent sur le devant de la scène, ainsi que sur l’avancée de plusieurs dizaines de mètres qui chemine au milieu de la fosse.
Les protagonistes occupent bien la scène, navigant régulièrement et n’hésitant pas à aller au plus près du public. Le groupe poursuit avec la bande son « Drill Sergeant » qui annonce « Psycho ». L’intensité monte encore d’un cran. Ça joue fort et nous sommes surpris par la puissance du son ! Il est vrai que Muse nous offre sur scène des sonorités bien plus rock que sur les albums. Après une belle ovation et un bonsoir Nancy, nous voilà partis avec « Thought Contagion » et « Won’t Stand Down ». Le décor se transforme complètement. Un énorme buste, un masque géant et un bras gigantesque trônent désormais sur le plateau. Le masque, concept du nouvel album, est un écran 3D. La main, quant à elle, est un projecteur de faisceaux lumineux. Le bruit des canons à confettis et serpentins crée la surprise sur « Compliance », enflammant un public déjà bien chaud. Un bref interlude, et Muse poursuit avec « Time Is Running Out », un de leur plus gros hits, chanté en chœur avec les 24 000 personnes présentes ce soir. Matthew revêt sa plus belle veste à paillettes et une guitare en accord avec sa tenue pour « You Make Me Feel Like It’s Halloween ». Christopher s’amuse avec sa double basse à écran tactile sur « Madness ». « We Are Fucking Fucked » est envoyé dans la foulée. Le décor change encore, marquant un nouveau temps fort du concert. Des miroirs volent au dessus de la scène, lançant des faisceaux lumineux vers le public.
Dominic se retrouve sur le devant de la scène, seul, pour lancer « The 2nd Law : Isolated System ». Il est rejoint par ses acolytes pour nous offrir une très belle performance instrumentale. Le show se poursuit avec « Supermassive Black Hole » qui met encore plus en émoi le public. C’est de la folie dans la fosse et les tribunes. La foule est debout, chante et danse. « Plug In Baby » finit de travail pour une frénésie générale. Un titre instrumental de Matthew Bellamy nous est ensuite proposé : « Behold, The Glove ». Le maître de cérémonie joue d’un instrument électronique à écran tactile positionné autour de son avant-bras. L’enchaînement est fait avec « Uprising », « Prelude » et « Starlight ». Le public connaît ces titres par cœur et chante à tue tête. Voici arrivée l’heure du traditionnel rappel. Le décor change encore une fois, avec désormais un énorme monstre qui domine la scène. Le retour est fait avec « Kill Or Be Killed » et « Knights Of Cydonia ». Les paroles sont diffusées sur les écrans géants et le public reprend en choeur. Un joli moment de communion avec les paroles « You and I must fight for our rights, You and I must fight to survive » qui défilent pour terminer ce tour de chant. Un rendez-vous réussi qui a mis tout le monde d’accord ! Un show spectaculaire. Musclé, intense et plutôt nerveux. Un spectacle qui restera sans aucun doute dans les mémoires ! Grandiose !
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Photos : Fabrice A.
#Live / #Report / #LiveReport / #Review / #LiveReview / #Photos / #Pictures.
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Le 06 Juillet 2023 – Nancy (54) /
Notre avis :
Nous avions rendez-vous ce jeudi soir au Zénith du Grand Nancy pour un concert époustouflant. Celui de Muse ! Le groupe nous a offert un véritable son et lumière avec une setlist en forme de best-of. Un bel équilibre entre les anciens et les nouveaux titres pour un show énergique de quasiment 2 heures. One Ok Rock assurait la première partie.
ONE OK ROCK
Originaire de Tokyo, le groupe est formé en 2005 et compte déjà 10 albums studio à son actif. Un petit aperçu d’une trentaine de minutes nous est présenté ce soir. Les festivités sont lancées avec « Save Yourself », extrait de « Luxury Disease » sorti en 2022. La formation Japonaise nous offre du rock énergique et efficace. « Deeper Deeper » et « Taking Off » sont envoyés dans la foulée. La première, extraite de l’album « Jinsei Kakete Boku Wa » sorti en 2013, est interprétée en anglais et en japonais. La seconde est issue de l’album « Ambitions » paru en 2017. Le public apprécie et le fait savoir par ses applaudissements. L’ambiance est là, avec les riffs entraînants de la guitare de Toru Yamashita. One Ok Rock nous présente 4 autres titres du nouvel album : « Neon », que le public reprend en choeur, le très énergique « Vandalize », « Renegades », un tantinet plus calme, et « Prove ». « We Are » nous amène petit à petit à la fin du set. C’est avec « Your Tears Are Mine » que le set se termine. Une jolie ballade qui fait balancer les bras du public. One Ok Rock remercie Muse de leur avoir permis d’être ce soir et quitte la scène sous les applaudissements.
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MUSE
L’amphithéâtre commence à faire du bruit et lance une ola. Le public claque des mains. L’excitation est palpable dans l’enceinte. Les fans trépignent, applaudissent, acclament le groupe. Une petite intro musicale annonce le début du show. Le Zénith raisonne de plus belle. Une vidéo est diffusée sur les écrans géants. Nous pouvons y voir des statues à l’image de Matthew (Bellamy), de Dominic (Howard) et de Christopher (Wolstenholme). Des personnes aux visages masqués s’attellent à les détruire. Les statues s’effondrent dans le sable, tirées par cette foule vêtue de noir. Les protagonistes débarquent sur scène avec des capuches, visages dissimulés par des masques, et intégralement vêtus de noir. Les festivités sont lancées avec « Will Of The People ». Sur le fond de la scène, un emblème portant les lettres « WOTP » s’embrase. Avec la magie des effets spéciaux, les images diffusées sur les écrans donnent l’impression que les masques, les vêtements et les instruments des musiciens prennent feu. Des flammes jaillissent du sol. Le ton est donné dès le départ. Le groupe met la barre très haute. Un lancement tonitruant qui met l’amphithéâtre en ébullition. L’enchaînement est fait avec « Hysteria » et le trio tombe le masque. La foule offre une ovation et crie de plus belle. Chanteur et bassiste se succèdent sur le devant de la scène, ainsi que sur l’avancée de plusieurs dizaines de mètres qui chemine au milieu de la fosse.
Les protagonistes occupent bien la scène, navigant régulièrement et n’hésitant pas à aller au plus près du public. Le groupe poursuit avec la bande son « Drill Sergeant » qui annonce « Psycho ». L’intensité monte encore d’un cran. Ça joue fort et nous sommes surpris par la puissance du son ! Il est vrai que Muse nous offre sur scène des sonorités bien plus rock que sur les albums. Après une belle ovation et un bonsoir Nancy, nous voilà partis avec « Thought Contagion » et « Won’t Stand Down ». Le décor se transforme complètement. Un énorme buste, un masque géant et un bras gigantesque trônent désormais sur le plateau. Le masque, concept du nouvel album, est un écran 3D. La main, quant à elle, est un projecteur de faisceaux lumineux. Le bruit des canons à confettis et serpentins crée la surprise sur « Compliance », enflammant un public déjà bien chaud. Un bref interlude, et Muse poursuit avec « Time Is Running Out », un de leur plus gros hits, chanté en chœur avec les 24 000 personnes présentes ce soir. Matthew revêt sa plus belle veste à paillettes et une guitare en accord avec sa tenue pour « You Make Me Feel Like It’s Halloween ». Christopher s’amuse avec sa double basse à écran tactile sur « Madness ». « We Are Fucking Fucked » est envoyé dans la foulée. Le décor change encore, marquant un nouveau temps fort du concert. Des miroirs volent au dessus de la scène, lançant des faisceaux lumineux vers le public.
Dominic se retrouve sur le devant de la scène, seul, pour lancer « The 2nd Law : Isolated System ». Il est rejoint par ses acolytes pour nous offrir une très belle performance instrumentale. Le show se poursuit avec « Supermassive Black Hole » qui met encore plus en émoi le public. C’est de la folie dans la fosse et les tribunes. La foule est debout, chante et danse. « Plug In Baby » finit de travail pour une frénésie générale. Un titre instrumental de Matthew Bellamy nous est ensuite proposé : « Behold, The Glove ». Le maître de cérémonie joue d’un instrument électronique à écran tactile positionné autour de son avant-bras. L’enchaînement est fait avec « Uprising », « Prelude » et « Starlight ». Le public connaît ces titres par cœur et chante à tue tête. Voici arrivée l’heure du traditionnel rappel. Le décor change encore une fois, avec désormais un énorme monstre qui domine la scène. Le retour est fait avec « Kill Or Be Killed » et « Knights Of Cydonia ». Les paroles sont diffusées sur les écrans géants et le public reprend en choeur. Un joli moment de communion avec les paroles « You and I must fight for our rights, You and I must fight to survive » qui défilent pour terminer ce tour de chant. Un rendez-vous réussi qui a mis tout le monde d’accord ! Un show spectaculaire. Musclé, intense et plutôt nerveux. Un spectacle qui restera sans aucun doute dans les mémoires ! Grandiose !
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Photos : Fabrice A.
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By Fabrice A. • Reportage Concert, Reportages • Tags: Le Zénith de Nancy, Le Zénith Du Grand Nancy, Muse, Nancy, One Ok Rock