2016 – 17 titres – 51’50 Label : Adone Style : Rock délire Origine : France, Picardie, Amiens Date de sortie : 14 octobre 2016
Notre avis :
par Mike S.
Plus de 200.000 albums vendus, plus de 1200 concerts et un million de spectateurs conquis et maintenant un 8e album pour poursuivre l’aventure des Fatals Picards après 18 années d’existence. Jamais fatigués, toujours prêts à déraper, à sortir quelques bons mots sur des rythmes Rock et parfois Mambo ! La recette est bonne, changeons rien et repartons pour 17 nouveaux tubes sidérants !
Je me souviens encore du 1er album, Navet Maria (2001). Déjà à l’époque, le groupe savait où il voulait aller, c’est à dire n’importe où, pourvu qu’on puisse rigoler un peu en route ! Suivi quelques années plus tard, de Droit de veto et de son inoubliable Goldorak est mort ! Depuis, le groupe a évolué, certains sont partis, d’autres sont arrivés, mais toujours, l’Humour et le Rock ont continué à servir de traits d’union à leurs albums.
Il n’y avait donc aucune raison que le Country Club des Fatals Picards y fasse exception. Et ce n’était encore moins possible avec ce premier single A la vie à l’Armor qui ravira les fans et même les Bretons (clip ci-dessus), dont l’étendard flotte par vents et marées, sur tous les Festivals de France et même au delà ! Un premier titre totalement désopilant qui ouvre la voie à une multitude d’autres titres, aussi drôles et décapants les uns que les autres. A commencer par ce manifeste anti-Tribute aux chanteurs pas morts…. Jean-Jacques Goldman se retournerait dans sa tombe s’il était mort…. (Le chanteur de variété). Et comment mieux appuyer un tel engagement qu’en se prêtant soi-même au jeu de la cover, mais d’un groupe mort, cette fois, avec L‘amour à la plage (Niagara) dans une version Punk. Le groupe nous achève avec Fils de P…. en imaginant la vie rêvée du fils de Vladimir Poutine, marchant ainsi sur les plate-bandes du Soviet Suprême.
Vraiment, on rit de bon coeur tout au long de ce nouvel album de nos picards préférés (comment ça ce sont les seuls ?). Après 8 albums, on ne se lasse toujours pas de cette impertinence et cette folie sans limite. Et mieux encore, c’est en live que le groupe est le meilleur. Et ça tombe bien, car on les laisse sortir de Picardie pour quelques nouvelles dates que vous ne pouvez manquer !
Les Fatals Picards – Country Club
2016 – 17 titres – 51’50
Label : Adone
Style : Rock délire
Origine : France, Picardie, Amiens
Date de sortie : 14 octobre 2016
Notre avis :
par Mike S.
Plus de 200.000 albums vendus, plus de 1200 concerts et un million de spectateurs conquis et maintenant un 8e album pour poursuivre l’aventure des Fatals Picards après 18 années d’existence. Jamais fatigués, toujours prêts à déraper, à sortir quelques bons mots sur des rythmes Rock et parfois Mambo ! La recette est bonne, changeons rien et repartons pour 17 nouveaux tubes sidérants !
Je me souviens encore du 1er album, Navet Maria (2001). Déjà à l’époque, le groupe savait où il voulait aller, c’est à dire n’importe où, pourvu qu’on puisse rigoler un peu en route ! Suivi quelques années plus tard, de Droit de veto et de son inoubliable Goldorak est mort ! Depuis, le groupe a évolué, certains sont partis, d’autres sont arrivés, mais toujours, l’Humour et le Rock ont continué à servir de traits d’union à leurs albums.
Il n’y avait donc aucune raison que le Country Club des Fatals Picards y fasse exception. Et ce n’était encore moins possible avec ce premier single A la vie à l’Armor qui ravira les fans et même les Bretons (clip ci-dessus), dont l’étendard flotte par vents et marées, sur tous les Festivals de France et même au delà ! Un premier titre totalement désopilant qui ouvre la voie à une multitude d’autres titres, aussi drôles et décapants les uns que les autres. A commencer par ce manifeste anti-Tribute aux chanteurs pas morts…. Jean-Jacques Goldman se retournerait dans sa tombe s’il était mort…. (Le chanteur de variété). Et comment mieux appuyer un tel engagement qu’en se prêtant soi-même au jeu de la cover, mais d’un groupe mort, cette fois, avec L‘amour à la plage (Niagara) dans une version Punk. Le groupe nous achève avec Fils de P…. en imaginant la vie rêvée du fils de Vladimir Poutine, marchant ainsi sur les plate-bandes du Soviet Suprême.
Vraiment, on rit de bon coeur tout au long de ce nouvel album de nos picards préférés (comment ça ce sont les seuls ?). Après 8 albums, on ne se lasse toujours pas de cette impertinence et cette folie sans limite. Et mieux encore, c’est en live que le groupe est le meilleur. Et ça tombe bien, car on les laisse sortir de Picardie pour quelques nouvelles dates que vous ne pouvez manquer !
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