Les Artefacts
Le 25 Juin 2016
Le Zénith de Strasbourg (67)
Notre avis :
Le Festival Des Artefacts proposait samedi une journée orientée vers le rock et le metal. Au programme : Volbeat, The Hives, Skunk Anansie, et pas mal de reprises avec Apocalyptica et Steve’N’Seagulls.
STEVE’N’SEAGULLS
Originaires de Finlande, les 5 trublions de Steve’N’Seagulls s’amusent à réinterpréter les classiques du rock et du metal. Le set est lancé avec « Wishmaster » de Nightwish, et les Guns N’ Roses sont mis à l’honneur avec « Paradise City ». Nous avons droit à une petite séquence Iron Maiden avec « The Trooper » et « Aces High ». Le banjo, l’accordéon et la contrebasse sont largement présents durant ce set de reprises très originales. L’ensemble est plutôt pointu, et le show se poursuit avec « Black Dog » de Led Zeppelin. Thank you very much ! It’s nice to be here ! Steve’N’Seagulls nous fait alors le plaisir de reprendre « Ich will » de Rammstein. Metallica est également de la partie avec « Seek & Destroy » et « Nothing Else Matter », interprété par Hermann dans une version un peu reggae.
La salle est ravie et claque des mains. Nous avons droit ensuite à une reprise plutôt rythmée de « You Shook Me All Night Long » d’AC/DC. Après des applaudissements nourris et des remerciements, c’est « Over The Hills And Far Away » de Gary Moore qui est lancé. Une ovation suit. Les musiciens sont présentés avant d’enchaîner avec « Thunderstruck » qui termine sur une belle démonstration de batterie. « Born To Be Wild » vient clôturer le set avec l’appui d’une flûte traversière. Une belle entrée en matière, avec une salle qui chante, et une très belle ambiance. Steve’N’Seagulls prendra une petite photo pour immortaliser ce moment.
Steve’N’Seagulls : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
APOCALYPTICA
Puis c’est au tour d’Apocalyptica de prendre possession de la scène. Originaire de Finlande également, la formation évolue dans le metal symphonique, avec 3 violoncelles et 1 batterie. L’essentiel du set repose sur des morceaux en version instrumentale. Il y a dans ce set des compositions originales et des reprises. Les hostilités sont lancées avec « Reign Of Fear », et Apocalyptica enchaîne avec « Refuse/Resist » de Sepultura. Are you ready ? « Grace » est ensuite proposé, avec des chevelures qui tournoient durant tout le concert. Are you ready to sing with us ? Nous avons alors « I’m Not Jesus ». Franky Perez rejoint le groupe pour apporter sa voix. The next song is called « House Of Chains ».
Le show se poursuit avec « Perttu Doodle », et nous revenons à l’instrumental avec « Master Of Puppets » de Metallica. La salle claque des mains, et une ovation suit. Are you ready for metal ? « Inquisition Symphony » de Sepultura est envoyé, suivi de « Bittersweet » et « Riot Lights ». Nous continuons avec « Shadowmaker », amenant des applaudissements nourris. Nous arrivons petit à petit à la fin du show avec « I Don’t Care » , « Seek & Destroy » de Metallica et « Hall Of The Mountain King » de Edvard Grieg. Du metal symphonique, efficace et original.
Apocalyptica : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
SKUNK ANANSIE
Le temps de changer le plateau, et Skunk Anansie débarque sur scène. Le set est lancé sous les stroboscopes avec « Tear The Place Up ». Skin revêt une tenue des plus excentriques conçue par Diliborio, complétée par une casquette et des lunettes de soleil. « I Believed In You » est alors enchaîné, suivi de « That Sinking Feeling ». Le set repose sur un beau visuel composé de projections vidéo quasi permanente. Skin n’hésite pas à se faire porter par la foule durant ce set. « Because Of You » vient poursuivre le show, suivi de « God Loves Only You ». Le public est alors invité à danser et à claquer des mains sur « Twisted ». Après des applaudissements nourris, Skin se dote d’une guitare pour « My Ugly Boy ».
« Weak » est enchaîné, et Skin se fait porter une nouvelle fois par le public, debout sur la foule. Sur « Hedonism (Just Because You Feel Good) », le public a les bras en l’air. Thank you ! C’est une ambiance disco que nous avons ensuite avec « Love Someone Else », extrait du nouvel album. Se dotant une nouvelle fois d’une guitare, Skin lance « Beauty Is Your Curse », avec une projection de photos d’artistes disparus. « The Skank Heads (Get Off Me) » vient poursuivre ce show explosif. Sans temps mort, « Charlie Big Potato » est propulsé, suivi de « Little Baby Swastikkka » qui vient clôturer le set. Thank you so much ! Le Zénith claque des mains et tente un rappel. Mais en vain. Un grand moment, mais un peu court à notre goût…
Skunk Anansie : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
THE HIVES
Puis c’est au tour de The Hives de venir faire le show. Les lumières s’éteignent. Le nom du groupe s’affiche sur le fond de la scène. Une petite intro musicale annonce le spectacle. C’est le batteur qui lance les hostilités. Les protagonistes débarquent en costume mi-noir, mi-blanc, une chaussure noire et une chaussure blanche. Le set est lancé avec « Come On ! ». Howlin’ Pelle Almqvist, qui est au chant, est plutôt bavard et communique régulièrement avec le public. Merci beaucoup mes amis français ! Nous continuons avec « Try It Again » et « Hate To Say I Told You So ». Howlin’ Pelle Almqvist grimpe sur la batterie et parcourt régulièrement la scène de long en large.
« Midnight Shifter » est ensuite propulsé, toujours sur ce même rythme très intense. Le public a les bras en l’air sur « Abra Cadaver », « Die, All Right ! ». Thank you so much ! Merci beaucoup ! Le show se poursuit avec « Go Right Ahead » et « Bigger Hole To Fill ». Ladies and gentlemen ! Thank you very much ! We are The Hives ! La salle est en transe pour « I’m Alive » et « Walk Idiot Walk ». Quel rythme encore une fois ! « Won’t Be Long » amène un tourbillon dans la foule, et une ovation s’en suit. « Main Offender » nous amène tout doucement à la fin du show. La salle a les bras en l’air. The Hives a fait asseoir le public avant que celui-ci se relève énergiquement. « Tick Tick Boom » vient clôturer ce set grandiose !
The Hives : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
VOLBEAT
D’emblée, la salle claque des mains pour accueillir la formation danoise, et une petite intro musicale annonce le début du show. C’est « Born To Raise Hell » de Motörhead qui sert de prélude. Le public chante déjà, et au vu du nombre de t-shirts de Volbeat portés dans la salle, il n’y a aucun doute : les fans sont bien là ! Le set est lancé avec « The Devil’s Bleeding Crown », extrait du nouvel album Seal The Deal. Puis nous avons droit à un enchaînement avec « Heaven Nor Hell », « A Warrior’s Call » et la reprise de Dusty Springfield : « I Only Want To Be With You ». Les fans sont aux anges ! Ça claque encore des mains pour « Sad Man’s Tongue », « Lola Montez » et « Hallelujah Goat ». Le public chante sur « Let It Burn » qui amène également des applaudissements nourris. Une ovation suit. Michael Poulsen, qui est au chant, n’hésite pas à communiquer avec la salle. Ce dernier indique qu’il se protège les oreilles pour ne pas perdre une partie de son ouïe, comme AC/DC… Il enlève ses protections afin d’entendre le public crier de toutes ses forces.
Le groupe enchaîne alors avec « The Lonesome Rider » et « For Evigt ». Les poings sont levés pour « Dead But Rising », et c’est sans temps mort que « 16 Dollars » est envoyé, suivi de « Goodbye Forever ». Le public reconnaît « Fallen » dès les premières notes. « Doc Holliday » commence avec une belle démonstration de guitares, et nous arrivons déjà à l’heure du rappel. Le retour se fait avec « Still Counting », un peu reggae, et « Seal The Deal ». « Maybellene I Hofteholder » est lancé à la guitare sèche. Après avoir présenté les musiciens, c’est « The Mirror And The Ripper » qui vient clôturer le set. Thank you so much for your support ! Volbeat distribuera des médiators et des baguettes pour finir cette belle soirée, avec des fans comblés.
Volbeat : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
Photos : Dimitri D.
Les Artefacts
Le 25 Juin 2016
Le Zénith de Strasbourg (67)
Notre avis :
Le Festival Des Artefacts proposait samedi une journée orientée vers le rock et le metal. Au programme : Volbeat, The Hives, Skunk Anansie, et pas mal de reprises avec Apocalyptica et Steve’N’Seagulls.
STEVE’N’SEAGULLS
Originaires de Finlande, les 5 trublions de Steve’N’Seagulls s’amusent à réinterpréter les classiques du rock et du metal. Le set est lancé avec « Wishmaster » de Nightwish, et les Guns N’ Roses sont mis à l’honneur avec « Paradise City ». Nous avons droit à une petite séquence Iron Maiden avec « The Trooper » et « Aces High ». Le banjo, l’accordéon et la contrebasse sont largement présents durant ce set de reprises très originales. L’ensemble est plutôt pointu, et le show se poursuit avec « Black Dog » de Led Zeppelin. Thank you very much ! It’s nice to be here ! Steve’N’Seagulls nous fait alors le plaisir de reprendre « Ich will » de Rammstein. Metallica est également de la partie avec « Seek & Destroy » et « Nothing Else Matter », interprété par Hermann dans une version un peu reggae.
La salle est ravie et claque des mains. Nous avons droit ensuite à une reprise plutôt rythmée de « You Shook Me All Night Long » d’AC/DC. Après des applaudissements nourris et des remerciements, c’est « Over The Hills And Far Away » de Gary Moore qui est lancé. Une ovation suit. Les musiciens sont présentés avant d’enchaîner avec « Thunderstruck » qui termine sur une belle démonstration de batterie. « Born To Be Wild » vient clôturer le set avec l’appui d’une flûte traversière. Une belle entrée en matière, avec une salle qui chante, et une très belle ambiance. Steve’N’Seagulls prendra une petite photo pour immortaliser ce moment.
Steve’N’Seagulls : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
APOCALYPTICA
Puis c’est au tour d’Apocalyptica de prendre possession de la scène. Originaire de Finlande également, la formation évolue dans le metal symphonique, avec 3 violoncelles et 1 batterie. L’essentiel du set repose sur des morceaux en version instrumentale. Il y a dans ce set des compositions originales et des reprises. Les hostilités sont lancées avec « Reign Of Fear », et Apocalyptica enchaîne avec « Refuse/Resist » de Sepultura. Are you ready ? « Grace » est ensuite proposé, avec des chevelures qui tournoient durant tout le concert. Are you ready to sing with us ? Nous avons alors « I’m Not Jesus ». Franky Perez rejoint le groupe pour apporter sa voix. The next song is called « House Of Chains ».
Le show se poursuit avec « Perttu Doodle », et nous revenons à l’instrumental avec « Master Of Puppets » de Metallica. La salle claque des mains, et une ovation suit. Are you ready for metal ? « Inquisition Symphony » de Sepultura est envoyé, suivi de « Bittersweet » et « Riot Lights ». Nous continuons avec « Shadowmaker », amenant des applaudissements nourris. Nous arrivons petit à petit à la fin du show avec « I Don’t Care » , « Seek & Destroy » de Metallica et « Hall Of The Mountain King » de Edvard Grieg. Du metal symphonique, efficace et original.
Apocalyptica : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
SKUNK ANANSIE
Le temps de changer le plateau, et Skunk Anansie débarque sur scène. Le set est lancé sous les stroboscopes avec « Tear The Place Up ». Skin revêt une tenue des plus excentriques conçue par Diliborio, complétée par une casquette et des lunettes de soleil. « I Believed In You » est alors enchaîné, suivi de « That Sinking Feeling ». Le set repose sur un beau visuel composé de projections vidéo quasi permanente. Skin n’hésite pas à se faire porter par la foule durant ce set. « Because Of You » vient poursuivre le show, suivi de « God Loves Only You ». Le public est alors invité à danser et à claquer des mains sur « Twisted ». Après des applaudissements nourris, Skin se dote d’une guitare pour « My Ugly Boy ».
« Weak » est enchaîné, et Skin se fait porter une nouvelle fois par le public, debout sur la foule. Sur « Hedonism (Just Because You Feel Good) », le public a les bras en l’air. Thank you ! C’est une ambiance disco que nous avons ensuite avec « Love Someone Else », extrait du nouvel album. Se dotant une nouvelle fois d’une guitare, Skin lance « Beauty Is Your Curse », avec une projection de photos d’artistes disparus. « The Skank Heads (Get Off Me) » vient poursuivre ce show explosif. Sans temps mort, « Charlie Big Potato » est propulsé, suivi de « Little Baby Swastikkka » qui vient clôturer le set. Thank you so much ! Le Zénith claque des mains et tente un rappel. Mais en vain. Un grand moment, mais un peu court à notre goût…
Skunk Anansie : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
THE HIVES
Puis c’est au tour de The Hives de venir faire le show. Les lumières s’éteignent. Le nom du groupe s’affiche sur le fond de la scène. Une petite intro musicale annonce le spectacle. C’est le batteur qui lance les hostilités. Les protagonistes débarquent en costume mi-noir, mi-blanc, une chaussure noire et une chaussure blanche. Le set est lancé avec « Come On ! ». Howlin’ Pelle Almqvist, qui est au chant, est plutôt bavard et communique régulièrement avec le public. Merci beaucoup mes amis français ! Nous continuons avec « Try It Again » et « Hate To Say I Told You So ». Howlin’ Pelle Almqvist grimpe sur la batterie et parcourt régulièrement la scène de long en large.
« Midnight Shifter » est ensuite propulsé, toujours sur ce même rythme très intense. Le public a les bras en l’air sur « Abra Cadaver », « Die, All Right ! ». Thank you so much ! Merci beaucoup ! Le show se poursuit avec « Go Right Ahead » et « Bigger Hole To Fill ». Ladies and gentlemen ! Thank you very much ! We are The Hives ! La salle est en transe pour « I’m Alive » et « Walk Idiot Walk ». Quel rythme encore une fois ! « Won’t Be Long » amène un tourbillon dans la foule, et une ovation s’en suit. « Main Offender » nous amène tout doucement à la fin du show. La salle a les bras en l’air. The Hives a fait asseoir le public avant que celui-ci se relève énergiquement. « Tick Tick Boom » vient clôturer ce set grandiose !
The Hives : Facebook / Twitter / Site Officiel
Les photos : ici.
VOLBEAT
D’emblée, la salle claque des mains pour accueillir la formation danoise, et une petite intro musicale annonce le début du show. C’est « Born To Raise Hell » de Motörhead qui sert de prélude. Le public chante déjà, et au vu du nombre de t-shirts de Volbeat portés dans la salle, il n’y a aucun doute : les fans sont bien là ! Le set est lancé avec « The Devil’s Bleeding Crown », extrait du nouvel album Seal The Deal. Puis nous avons droit à un enchaînement avec « Heaven Nor Hell », « A Warrior’s Call » et la reprise de Dusty Springfield : « I Only Want To Be With You ». Les fans sont aux anges ! Ça claque encore des mains pour « Sad Man’s Tongue », « Lola Montez » et « Hallelujah Goat ». Le public chante sur « Let It Burn » qui amène également des applaudissements nourris. Une ovation suit. Michael Poulsen, qui est au chant, n’hésite pas à communiquer avec la salle. Ce dernier indique qu’il se protège les oreilles pour ne pas perdre une partie de son ouïe, comme AC/DC… Il enlève ses protections afin d’entendre le public crier de toutes ses forces.
Le groupe enchaîne alors avec « The Lonesome Rider » et « For Evigt ». Les poings sont levés pour « Dead But Rising », et c’est sans temps mort que « 16 Dollars » est envoyé, suivi de « Goodbye Forever ». Le public reconnaît « Fallen » dès les premières notes. « Doc Holliday » commence avec une belle démonstration de guitares, et nous arrivons déjà à l’heure du rappel. Le retour se fait avec « Still Counting », un peu reggae, et « Seal The Deal ». « Maybellene I Hofteholder » est lancé à la guitare sèche. Après avoir présenté les musiciens, c’est « The Mirror And The Ripper » qui vient clôturer le set. Thank you so much for your support ! Volbeat distribuera des médiators et des baguettes pour finir cette belle soirée, avec des fans comblés.
Volbeat : Facebook / Twitter / Site Officiel
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Photos : Dimitri D.
By Fabrice A. • Reportage Festival, Reportages