2018 – 11 titres – 40’06
Label : Born Bad Records
Style : Rock, Stoner, Garage…
Origine : France, Nouvelle Aquitaine, Bordeaux (33)
Date de sortie de l’album : 3 mars 2018
Notre avis :
par Mike S.
Bientot 10 ans déjà que J.C. Satàn affole les foules avec leur Rock garage surpuissant dopé à l’adrénaline. Et pour ce cinquième album, le groupe a revu l’alchimie qui conduit à l’enregistrement pour donner une nouvelle énergie aux onze compos de « Centaur Desire ». Sur un rythme effréné du début à la fin de l’album, J.C. Satàn nous entraine dans une danse infernale…
Si le premier titre I Won’t Come Back débute avec une certaine retenue sur une battle vocale presqu’amicale, qui lorgne sur la Rock anglais des années 90, le second titre, qui donne son titre à l’album, nous plonge la tête la première dans un tourbillon démoniaque, où tout se percute, les guitares, les claviers, les percussions et les voix. C’est de la folie pure. C’est de l’adrénaline concentrée dans un vacarme maitrisé, un chahut contenu, un vrai boucan d’enfer !
Bien qu’on ne soit pas dans l’univers sonique des Pixies, il y a dans le Rock Garage hybride des J.C. Satàn une certaine proximité dans la façon de voir les compositions comme des oeuvres d’art que l’on travaille, couleur par couleur. Rien n’y est mis au hasard. Tout est à sa place. Le faussement pop No Brain No Shame montre ce travail de construction, avec son air rêche et mélodieux à la fois, ses changements de rythme, plus proche des Posies ou des Neds Atomic Dusbins que de toute autre scène Rock Garage. Drink, Dope And Debauchery, le bien nommé, confirme cette impression en offrant une vision très bordelaise de la Brit Pop de Noel Gallagher à Pete Doherty !
Pour être tout à fait franc avec vous et avec le groupe, je n’avais jamais écouté d’album de J.C. Satan avant d’en arriver à ce cinquième opus. On m’en avait dit que du bien. On m’avait parlé des concerts de folie : « Tu vas t’en prendre plein la tête ! »… Mais à aucun moment, on ne m’avait dit combien le groupe parvenait à canaliser l’énergie de ses instruments et de ses cerveaux bouillonnants pour créer une musique plus proche du Paradis que de l’Enfer ! Avec des titres aussi épique que Communication ou The Road, j’y découvre un univers aux possibles sans limites, une sorte de « Minecraft » sonique, aux surprises infinies. Une seule envie quand on sort de ce volet numéro 5, c’est de découvrir vite les 4 autres ! Gloire à Satàn… JC Satàn !
Bandcamp / Facebook / Site officiel
Line up :
Arthur – Paula – Dorian – Gaspard – Romain
[hr color= »red »]
Tracklist :
01 I Won’t Come Back
02 Centaur Desire
03 Erika
04 No Brain No Shame
05 Communication
06 Complex Situation
07 Drink, Dope And Debauchery
08 The End
09 The Road
10 Lies
11 Libera
J.C. Satàn – Centaur Desire
2018 – 11 titres – 40’06
Label : Born Bad Records
Style : Rock, Stoner, Garage…
Origine : France, Nouvelle Aquitaine, Bordeaux (33)
Date de sortie de l’album : 3 mars 2018
Notre avis :
par Mike S.
Bientot 10 ans déjà que J.C. Satàn affole les foules avec leur Rock garage surpuissant dopé à l’adrénaline. Et pour ce cinquième album, le groupe a revu l’alchimie qui conduit à l’enregistrement pour donner une nouvelle énergie aux onze compos de « Centaur Desire ». Sur un rythme effréné du début à la fin de l’album, J.C. Satàn nous entraine dans une danse infernale…
Si le premier titre I Won’t Come Back débute avec une certaine retenue sur une battle vocale presqu’amicale, qui lorgne sur la Rock anglais des années 90, le second titre, qui donne son titre à l’album, nous plonge la tête la première dans un tourbillon démoniaque, où tout se percute, les guitares, les claviers, les percussions et les voix. C’est de la folie pure. C’est de l’adrénaline concentrée dans un vacarme maitrisé, un chahut contenu, un vrai boucan d’enfer !
Bien qu’on ne soit pas dans l’univers sonique des Pixies, il y a dans le Rock Garage hybride des J.C. Satàn une certaine proximité dans la façon de voir les compositions comme des oeuvres d’art que l’on travaille, couleur par couleur. Rien n’y est mis au hasard. Tout est à sa place. Le faussement pop No Brain No Shame montre ce travail de construction, avec son air rêche et mélodieux à la fois, ses changements de rythme, plus proche des Posies ou des Neds Atomic Dusbins que de toute autre scène Rock Garage. Drink, Dope And Debauchery, le bien nommé, confirme cette impression en offrant une vision très bordelaise de la Brit Pop de Noel Gallagher à Pete Doherty !
Pour être tout à fait franc avec vous et avec le groupe, je n’avais jamais écouté d’album de J.C. Satan avant d’en arriver à ce cinquième opus. On m’en avait dit que du bien. On m’avait parlé des concerts de folie : « Tu vas t’en prendre plein la tête ! »… Mais à aucun moment, on ne m’avait dit combien le groupe parvenait à canaliser l’énergie de ses instruments et de ses cerveaux bouillonnants pour créer une musique plus proche du Paradis que de l’Enfer ! Avec des titres aussi épique que Communication ou The Road, j’y découvre un univers aux possibles sans limites, une sorte de « Minecraft » sonique, aux surprises infinies. Une seule envie quand on sort de ce volet numéro 5, c’est de découvrir vite les 4 autres ! Gloire à Satàn… JC Satàn !
Bandcamp / Facebook / Site officiel
Line up :
Arthur – Paula – Dorian – Gaspard – Romain
[hr color= »red »]
Tracklist :
01 I Won’t Come Back
02 Centaur Desire
03 Erika
04 No Brain No Shame
05 Communication
06 Complex Situation
07 Drink, Dope And Debauchery
08 The End
09 The Road
10 Lies
11 Libera