2015 – 13 titres – 58 mn Label : Verycords Style : Electro Pop Origine : France, Paris Date de sortie : 25 mai 2015
Notre avis :
Par Mike S.
L’un des fondateurs d’Indochine, Dominik Nicolas, revient sur le devant de la scène avec un premier album ! 20 ans après avoir quitté le groupe avec lequel il avait composé des titres inoubliables comme L’aventurier, 3e Sexe, Punishment Park, Trois nuits par semaine, Tes yeux noirs, Canary Bay… le voici qui rempile en solo, avec un premier album baptiséLa Beauté De L’Idée.
A 56 ans, Nikolas nous surprend en réapparaissant ainsi, avec une douzaine de chansons Pop Rock, qui rappellent indéniablement sa patte au sein d’Indochine. Le son de guitare, surtout, avec des accords qui sont comme autant de madeleines de Proust. Et même la voix et la façon de chanter de Dominik est aussi proche de celle d’un certain Nicolas Sirkis (L’Amour, Underground…). Il suffit pour cela de se référer à l’album solo de Nicolas Sirkis sorti en 1992.
Au delà de la proximité avec les fantômes de son passé, le revenant sort un album plus qu’honorable, qui conserve l’esprit des 80’s, avec des chansons faciles à retenir, des refrains fédérateurs dignes de Canary Bay, des accords simples et quelques bidouillages electro vintage (je n’ai pas dit ringard ! si ?). Qu’importe, les fans des 80’s ne s’arrêtent pas à ça après avoir écouté Partenaire Particulier, Telephone, Niagara ou Rita Mitsouko ! Alors s’il y a du moins bon (Une fois encore, Instagram), il y a aussi de l’excellent (A ne pas croire, La Balançoire, Une ville sans néons…).
Compositeur et musicien, Nikolas laisse, pour les paroles, le champs libre à Noël Matteï (membre de Madinkà, le groupe de l’ex à Nicolas…) avec qui il avait travaillé, en 2013, sur un EP solo de ce dernier, ainsi que sur le tribute à Daniel Darc. Et il y a cette reprise enfin, Sous quelle étoile suis-je né de Michel Polnareff.
Si Dominik Nicolas a choisi le titre Underground pour servir de single et de clip, ma préférence va pour Une ville sans néons et A ne pas croire : les accords, les sons, la dynamique, les textes… Deux nouveaux tubes pour toute une génération d’Indofans ! Dans la veine de Jacno, Sirkis, Darc et Daho, Dominik Nicolas nous fait apprécier sa voix, pour la première fois, en sortant de l’ombre pesante du leader d’Indochine !
Dominik Nicolas – La Beauté De L’Idée
2015 – 13 titres – 58 mn
Label : Verycords
Style : Electro Pop
Origine : France, Paris
Date de sortie : 25 mai 2015
Notre avis :
Par Mike S.
L’un des fondateurs d’Indochine, Dominik Nicolas, revient sur le devant de la scène avec un premier album ! 20 ans après avoir quitté le groupe avec lequel il avait composé des titres inoubliables comme L’aventurier, 3e Sexe, Punishment Park, Trois nuits par semaine, Tes yeux noirs, Canary Bay… le voici qui rempile en solo, avec un premier album baptisé La Beauté De L’Idée.
A 56 ans, Nikolas nous surprend en réapparaissant ainsi, avec une douzaine de chansons Pop Rock, qui rappellent indéniablement sa patte au sein d’Indochine. Le son de guitare, surtout, avec des accords qui sont comme autant de madeleines de Proust. Et même la voix et la façon de chanter de Dominik est aussi proche de celle d’un certain Nicolas Sirkis (L’Amour, Underground…). Il suffit pour cela de se référer à l’album solo de Nicolas Sirkis sorti en 1992.
Au delà de la proximité avec les fantômes de son passé, le revenant sort un album plus qu’honorable, qui conserve l’esprit des 80’s, avec des chansons faciles à retenir, des refrains fédérateurs dignes de Canary Bay, des accords simples et quelques bidouillages electro vintage (je n’ai pas dit ringard ! si ?). Qu’importe, les fans des 80’s ne s’arrêtent pas à ça après avoir écouté Partenaire Particulier, Telephone, Niagara ou Rita Mitsouko ! Alors s’il y a du moins bon (Une fois encore, Instagram), il y a aussi de l’excellent (A ne pas croire, La Balançoire, Une ville sans néons…).
Compositeur et musicien, Nikolas laisse, pour les paroles, le champs libre à Noël Matteï (membre de Madinkà, le groupe de l’ex à Nicolas…) avec qui il avait travaillé, en 2013, sur un EP solo de ce dernier, ainsi que sur le tribute à Daniel Darc. Et il y a cette reprise enfin, Sous quelle étoile suis-je né de Michel Polnareff.
Si Dominik Nicolas a choisi le titre Underground pour servir de single et de clip, ma préférence va pour Une ville sans néons et A ne pas croire : les accords, les sons, la dynamique, les textes… Deux nouveaux tubes pour toute une génération d’Indofans ! Dans la veine de Jacno, Sirkis, Darc et Daho, Dominik Nicolas nous fait apprécier sa voix, pour la première fois, en sortant de l’ombre pesante du leader d’Indochine !
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