2017 – 12 titres – 43’09 Label : Un plan Simple / Sony Music Style : Electro, Pop Origine : GB, Londres / France, Paris Date de sortie de l’album : 7 juillet 2017
Notre avis : [star rating= »3″ max= »5″]
Par Mike S.
Après 10 années passées au sein de The Servant, Dan Black avait choisi en 2007 de poursuivre sa route en solo, en venant vivre à Paris. Une démarche souvent à haut risque, mais qui a réussi autant au chanteur, avec son premier album sorti en 2009 auréolé de succès avec U + Me =, qu’au producteur et réalisateur (Louane, Kelis, Adam Naas). Le voici de retour avec un second album aux allures electro pop très prononcées.
L’album est un assemblage de multiples singles, accompagné de featuring à chaque carrefour. L’album avait été annoncé par le single Headphones qui n’était pas sans rappeler ses premiers titres avec The Servant. Mais avec Farewell, accompagné de Kelis, on entre dans une toute autre dimension. Le single a un son énorme et un refrain naif et entêtant, au point d’en devenir énervant assez rapidement sans doute. Mais, à la manière de Coldplay, Dan Black concocte des titres universels capables d’être joués autant dans les clubs, les salles de concert, les stades ou tout simplement dans votre salon. C’est indéniable, ce gars-là a du génie.
C’est avec un autre tube potentiel que le chanteur introduit son album, Wash away. Un titre épuré, simple et naïf, une fois encore, avec beat terrible et un refrain qui vous reste pendant des jours. Et il va en être de même avec Space Invaders, le titre qui suit immédiatement : un rythme binaire, quelques notes trafiquées qui appuient le rythme, et la voix de Dan Black, à peine plus naturelle, une fois passée par quelques filtres synthétiques, pour un résultat post-moderne, entre martial et martien.
Aux premieres écoutes, on se demande bien ce qui a pû passer par la tête de Dan Black pour créer un son aussi fou et déstabilisant, simple et racoleur. Et puis, quelques semaines plus tard, vous découvrez toute la puissance de feu de ces singles et l’homogénéité d’un tel album qui ressemblait à un patchwork, prétexte à faire venir quelques invités. Dans la bio, on nous parlait de puzzle digital… Maintenant, c’est évident !
Mais attention, cet album est dangereux, il aura vite fait de vous emporter dans son sillage aux allures de cyclone. Il est extrêmement addictif !
Dan Black – Do not revenge
2017 – 12 titres – 43’09
Label : Un plan Simple / Sony Music
Style : Electro, Pop
Origine : GB, Londres / France, Paris
Date de sortie de l’album : 7 juillet 2017
Notre avis : [star rating= »3″ max= »5″]
Par Mike S.
Après 10 années passées au sein de The Servant, Dan Black avait choisi en 2007 de poursuivre sa route en solo, en venant vivre à Paris. Une démarche souvent à haut risque, mais qui a réussi autant au chanteur, avec son premier album sorti en 2009 auréolé de succès avec U + Me =, qu’au producteur et réalisateur (Louane, Kelis, Adam Naas). Le voici de retour avec un second album aux allures electro pop très prononcées.
L’album est un assemblage de multiples singles, accompagné de featuring à chaque carrefour. L’album avait été annoncé par le single Headphones qui n’était pas sans rappeler ses premiers titres avec The Servant. Mais avec Farewell, accompagné de Kelis, on entre dans une toute autre dimension. Le single a un son énorme et un refrain naif et entêtant, au point d’en devenir énervant assez rapidement sans doute. Mais, à la manière de Coldplay, Dan Black concocte des titres universels capables d’être joués autant dans les clubs, les salles de concert, les stades ou tout simplement dans votre salon. C’est indéniable, ce gars-là a du génie.
C’est avec un autre tube potentiel que le chanteur introduit son album, Wash away. Un titre épuré, simple et naïf, une fois encore, avec beat terrible et un refrain qui vous reste pendant des jours. Et il va en être de même avec Space Invaders, le titre qui suit immédiatement : un rythme binaire, quelques notes trafiquées qui appuient le rythme, et la voix de Dan Black, à peine plus naturelle, une fois passée par quelques filtres synthétiques, pour un résultat post-moderne, entre martial et martien.
Aux premieres écoutes, on se demande bien ce qui a pû passer par la tête de Dan Black pour créer un son aussi fou et déstabilisant, simple et racoleur. Et puis, quelques semaines plus tard, vous découvrez toute la puissance de feu de ces singles et l’homogénéité d’un tel album qui ressemblait à un patchwork, prétexte à faire venir quelques invités. Dans la bio, on nous parlait de puzzle digital… Maintenant, c’est évident !
Mais attention, cet album est dangereux, il aura vite fait de vous emporter dans son sillage aux allures de cyclone. Il est extrêmement addictif !
Site officiel / Facebook
Line-up : Dan Black
Tracklist :
1- Wash Away – 03:46
2- Space Invaders – 03:19
3- Blow – 03:38
4- Farewell (+Kelis) – 03:31
5- So – 04:41
6- Headphones – 03:22
7- We Drift On (+Imogen Heap) – 03:48
8- Ur the 1 – 03:26
9- Plastic Heart – 03:45
10- Polar Bears – 03:15
11- Ballad of Player 1Up – 03:19
12- Zoo – 03:37