Date : 16 octobre 2020 Style : Chanson Lieu : L’Olympia, IDF, Paris (75)
Notre avis :
Par Stéphanie M.
18h30 Olympia scène mythique un vendredi soir d’octobre pas comme les autres. 2 concerts à la suite pour tenir compte des contraintes sanitaires… pour un concert complet initialement prévu au mois de Mai. Une drôle d’époque.
Alors pendant 1h30, je replonge avec Vincent Delerm dans mes souvenirs, le Prince de la Nostalgie, je ne compte plus nos années de chanson et de concerts communs, depuis la première partie de Julien Clerc au Bataclan. Le rideau s’ouvre sur une scène vide, Vincent entre sous une longue ovation de son public. Pas besoin de vous le décrire ? Jean et T-shirt Noir baskets blanches….
Une bande son raconte le cauchemar d’un artiste qui n’aurait pas préparé son concert. Puis Les techniciens installent le piano, le concert commence par Panorama, titre du dernier album. La soirée alterne les vidéos (des extraits de son film), les chansons anciennes, les récentes, l’humour, la dérision (marionnette ventriloque). C’est un moment rassurant, cocooning. On chante sur les mêmes textes qu’à chaque concert. C’est agréable, chaleureux comme en famille. Il y a de la créativité mais dans la continuité de ses centres d’intérêt. Le public est fan, le connait par cœur et trouve ce qu’il est venu chercher. Superbe bonus salle rallumée en attendant les consignes de sortie de la salle, il chante pour « tonton » Souchon qui monte le rejoindre sur la scène « la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie ».
Bilan : Plein d’émotions, une belle ambiance, des gens qui avaient très envie d’être là. Le public ne s’est pas gêné pour se lever pour une standing ovation, j’adhère ! Ce n’était pas un concert Rock où tu meurs d’envie de te lever, crier et danser, boire de la bière… donc pas trop de frustration de rester sagement assise… Après sur la mise en scène cela reste son style qui évolue peu, les mêmes chansons : quand j’ai relu ma chronique de 2014 la set list (des anciens titres) est la même, le piano, le Tshirt/pantalon/basket, cela me dérange parce que j’aime ce qui évolue mais pour certains c’est juste rassurant j’imagine, on sait ce que l’on va trouver. Il y a de l’imagination dans sa création de ce spectacle mais cela ne me surprend plus : c’est albin de la Simone qui fait la blague filmée, même Souchon en rappel c’est déjà lui que j’avais vu sur la tournée où il avait un invité différent chaque soir.
Place pour son concert suivant à terminer avant le couvre fou…
Vincent Delerm à L’Olympia – Paris (75)
VINCENT DELERM en concert
Date : 16 octobre 2020
Style : Chanson
Lieu : L’Olympia, IDF, Paris (75)
Notre avis :
Par Stéphanie M.
18h30 Olympia scène mythique un vendredi soir d’octobre pas comme les autres. 2 concerts à la suite pour tenir compte des contraintes sanitaires… pour un concert complet initialement prévu au mois de Mai. Une drôle d’époque.
Alors pendant 1h30, je replonge avec Vincent Delerm dans mes souvenirs, le Prince de la Nostalgie, je ne compte plus nos années de chanson et de concerts communs, depuis la première partie de Julien Clerc au Bataclan. Le rideau s’ouvre sur une scène vide, Vincent entre sous une longue ovation de son public. Pas besoin de vous le décrire ? Jean et T-shirt Noir baskets blanches….
Une bande son raconte le cauchemar d’un artiste qui n’aurait pas préparé son concert. Puis Les techniciens installent le piano, le concert commence par Panorama, titre du dernier album. La soirée alterne les vidéos (des extraits de son film), les chansons anciennes, les récentes, l’humour, la dérision (marionnette ventriloque). C’est un moment rassurant, cocooning. On chante sur les mêmes textes qu’à chaque concert. C’est agréable, chaleureux comme en famille. Il y a de la créativité mais dans la continuité de ses centres d’intérêt. Le public est fan, le connait par cœur et trouve ce qu’il est venu chercher. Superbe bonus salle rallumée en attendant les consignes de sortie de la salle, il chante pour « tonton » Souchon qui monte le rejoindre sur la scène « la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie ».
Bilan : Plein d’émotions, une belle ambiance, des gens qui avaient très envie d’être là. Le public ne s’est pas gêné pour se lever pour une standing ovation, j’adhère ! Ce n’était pas un concert Rock où tu meurs d’envie de te lever, crier et danser, boire de la bière… donc pas trop de frustration de rester sagement assise… Après sur la mise en scène cela reste son style qui évolue peu, les mêmes chansons : quand j’ai relu ma chronique de 2014 la set list (des anciens titres) est la même, le piano, le Tshirt/pantalon/basket, cela me dérange parce que j’aime ce qui évolue mais pour certains c’est juste rassurant j’imagine, on sait ce que l’on va trouver. Il y a de l’imagination dans sa création de ce spectacle mais cela ne me surprend plus : c’est albin de la Simone qui fait la blague filmée, même Souchon en rappel c’est déjà lui que j’avais vu sur la tournée où il avait un invité différent chaque soir.
Place pour son concert suivant à terminer avant le couvre fou…
Prochain concert ? hum compliqué…
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