2015 – 9 titres
Style : Electro Rock / Trip Hop
Label : N.Ö.H. Prod. / Black Stamp Music / La Baleine
Sortie : 6/01/2015
Notre avis :
Originaire de Toulouse, le groupe BUDAPEST évolue dans les eaux troubles et envoûtantes du Trip Hop, genre auquel le quintette fait régulièrement des infidélités, s’infiltrant dans la grisante électricité du Rock et même parfois dans la moiteur acoustique du Folk.
L’album débute sur des riffs de guitares pleins de vibratos, laissant apparaitre rapidement une voix masculine, celle d’Olivier, légèrement grave et sombre, presque froide (The Roaming Souls). La voix chaude de Gaëlle vient vite faire l’équilibre de la partie vocale, pour créer une belle harmonie. Le titre monte en puissance, en tension, rappelant à cet instant, des titres de la discographie d’Archive.
Alcaline est le premier album du groupe, qui s’était jusqu’ici entrainer sur un premier EP (Grenade), en 2011. C’est en 2013 que le groupe passe la vitesse supérieur en sortant un clip, White Flag, que l’on retrouve sur ce premier album, en tout fin du disque, avec son refrain dès plus entêtant. Les images, tournées au ralenti, évoquent l’Amérique et ses contradictions, dans une ambiance schisophrénique, digne de Twin Peaks.
Elles collent parfaitement à la musique de Budapest, qui est très impressionniste. Il suffit de fermer les yeux et de se laisser bercer, transporter, et de choisir sa propre destination. Les nuances sont souvent discrètes : les orchestrations sont parfois foisonnantes, mais peuvent aussi être sobres et laisser le champs libre aux voix (Fall By The Way Side).
Avec ce premier album, Budapest nous offre une expérience sensorielle, et un prétexte au vagabondage. Lâchez prise ! Laissez votre esprit vous conduire là où bon lui semble, là où la musique de Budapest le conduira !
Soundcloud
Budapest – Alcaline
2015 – 9 titres
Style : Electro Rock / Trip Hop
Label : N.Ö.H. Prod. / Black Stamp Music / La Baleine
Sortie : 6/01/2015
Notre avis :
Originaire de Toulouse, le groupe BUDAPEST évolue dans les eaux troubles et envoûtantes du Trip Hop, genre auquel le quintette fait régulièrement des infidélités, s’infiltrant dans la grisante électricité du Rock et même parfois dans la moiteur acoustique du Folk.
L’album débute sur des riffs de guitares pleins de vibratos, laissant apparaitre rapidement une voix masculine, celle d’Olivier, légèrement grave et sombre, presque froide (The Roaming Souls). La voix chaude de Gaëlle vient vite faire l’équilibre de la partie vocale, pour créer une belle harmonie. Le titre monte en puissance, en tension, rappelant à cet instant, des titres de la discographie d’Archive.
Alcaline est le premier album du groupe, qui s’était jusqu’ici entrainer sur un premier EP (Grenade), en 2011. C’est en 2013 que le groupe passe la vitesse supérieur en sortant un clip, White Flag, que l’on retrouve sur ce premier album, en tout fin du disque, avec son refrain dès plus entêtant. Les images, tournées au ralenti, évoquent l’Amérique et ses contradictions, dans une ambiance schisophrénique, digne de Twin Peaks.
Elles collent parfaitement à la musique de Budapest, qui est très impressionniste. Il suffit de fermer les yeux et de se laisser bercer, transporter, et de choisir sa propre destination. Les nuances sont souvent discrètes : les orchestrations sont parfois foisonnantes, mais peuvent aussi être sobres et laisser le champs libre aux voix (Fall By The Way Side).
Avec ce premier album, Budapest nous offre une expérience sensorielle, et un prétexte au vagabondage. Lâchez prise ! Laissez votre esprit vous conduire là où bon lui semble, là où la musique de Budapest le conduira !
Soundcloud
By Mike S. • Albums francais • Tags: Budapest