La Rockhal /
Black Stone Cherry + Ayron Jones /
Le 03 Novembre 2024 – Esch Sur Alzette (Lux) /
.
La Rockhal a accueilli une soirée mémorable sous le signe du rock avec deux performances exceptionnelles. Black Stone Cherry, véritables maîtres du rock sudiste, ont enflammé la scène avec leur énergie contagieuse et leurs riffs puissants. En première partie, Ayron Jones a captivé le public grâce à son mélange unique de rock, soul et blues moderne. Une rencontre musicale intense qui a réuni des fans passionnés autour d’un show remarquable.
AYRON JONES
À 20 heures, les lumières s’éteignent, et le silence se fait dans la foule. Le groupe entre en scène, et dès les premières notes, on comprend qu’on va vivre un moment intense. La soirée débute avec une intro instrumentale puissante, qui laisse présager l’énergie brute qui va suivre. Le set s’ouvre avec « Boys From The Puget Sound » et « On Two Feet I Stand », des morceaux qui posent les bases d’un univers sans concession, où le rock n’a pas de limites. Très vite, le public est happé par la présence scénique d’Ayron Jones, une véritable force de la nature. Sa voix rocailleuse, légèrement éraillée, monte sans peine dans les aigus, transperçant la salle avec une émotion viscérale. Chaque mot, chaque note semble venir des tripes, et le public le ressent profondément. Tyrone Lovelace, le bassiste, fait vibrer la scène avec son jeu de scène déchaîné. Véritable pile électrique, il occupe tout l’espace avec une attitude rock’n’roll à couper le souffle. Son énergie est contagieuse, et chaque mouvement amplifie l’intensité du show. De son côté, Matthew Jacquette, à la guitare, ne perd jamais son sourire et joue avec un plaisir visible, ce qui ajoute une dimension conviviale au spectacle. Et que dire de Kenneth Thorton à la batterie ? Avec sa carrure imposante, il martèle les fûts comme un damné, envoyant des beats lourds et puissants, une vraie machine de guerre.
Le concert prend son envol avec des morceaux comme « Supercharged » et « Take Your Time », des titres qui rappellent combien Ayron Jones maîtrise l’art de fusionner des influences diverses en un style qui lui est propre. Le point culminant est atteint avec « Filthy » et « Take Me Away », deux brûlots où sa guitare explose littéralement. Son jeu de guitare est tranchant, précis, presque agressif, et l’audience en redemande. La salle est en transe, emportée par ce mélange de blues saturé, de rock incisif et de soul intense. Puis vient un moment de grâce avec une reprise inattendue : « Purple Rain » de Prince. Un silence respectueux envahit la salle avant que les premières notes ne résonnent. Ayron Jones réussit à s’approprier ce classique avec une sincérité désarmante, rendant hommage à l’icône tout en insufflant une touche personnelle. La performance est aussi émouvante que magistrale. Enfin, les derniers morceaux, « Blood In The Water » et « Mercy », achèvent de conquérir le public. Ces chansons marquent par leurs riffs heavy et leur énergie brute, offrant un final explosif. Lorsque les dernières notes retentissent, le public est en effervescence, rappelant le groupe avec des applaudissements et des cris de joie. En conclusion, Ayron Jones et son groupe ont livré ce soir une performance d’une intensité rare, un vrai moment de communion entre l’artiste et ses fans. Un concert mémorable, avec des musiciens qui se donnent sans compter et un frontman qui brise toutes les barrières musicales pour offrir un rock aussi brut qu’authentique.
Ayron Jones : Facebook / Instagram / Twitter / TikTok / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
BLACK STONE CHERRY
La salle vibre d’impatience ce dimanche soir, tandis qu’une foule dense et exaltée se presse pour assister au retour très attendu de Black Stone Cherry. Le quatuor originaire du Kentucky, promettant une soirée explosive, a tenu parole, livrant une prestation magistrale empreinte de puissance, d’émotion et d’une énergie brute.
Un début tonitruant
C’est sous les premières notes de « Hells Bells » d’AC/DC que les festivités commencent, le public hurlant dès le célèbre carillon. Une mise en bouche parfaite qui électrise l’atmosphère et pose les bases d’un concert mémorable.
Une setlist taillée pour conquérir
Black Stone Cherry entame le set avec « Me And Mary Jane », et dès les premiers riffs, La Rockhal est submergée par une vague d’enthousiasme. Le titre, un classique du groupe, donne le ton : la soirée sera un mélange de morceaux incontournables et de nouveautés captivantes.
Le rythme gagne en puissance avec « Burnin’ » et « Again », avant que « Out Of Pocket », extrait du dernier album « Screamin’ At The Sky », ne vienne démontrer leur capacité à évoluer tout en restant fidèles à leurs racines.
Le groove bluesy de « Blind Man » et l’intensité de « Nervous » font monter la température d’un cran, tandis que « Like I Roll » et « Hell And High Water » apportent des moments d’un rock plus mélodique, parfait pour faire chanter toute la salle.
Une communion avec le public
L’interaction entre le groupe et le public est l’un des points forts de la soirée. Chris Robertson, charismatique leader et chanteur, ne manque pas de remercier les fans pour leur fidélité, créant une véritable connexion lors de titres comme « Cheaper To Drink Alone » et « In My Blood », interprétés avec une émotion palpable.
Lorsque « When The Pain Comes » résonne, l’ambiance devient plus introspective, la voix de Robertson touchant les âmes dans un silence quasi religieux. Puis, retour à l’énergie pure avec « Screamin’ At The Sky », pièce maîtresse de leur nouvelle ère, avant que « Blame It On The Boom Boom » et « White Trash Millionaire » ne fassent trembler les murs.
Un final épique
Le climax du concert arrive avec « Lonely Train », un véritable hymne qui voit la foule sauter à l’unisson, criant chaque parole comme si sa vie en dépendait.
Pour le rappel, le groupe choisit « Peace Is Free », un moment suspendu dans le temps. Les lumières tamisées et les voix unies de la foule clôturent la soirée dans une émotion collective rare, un instant de grâce qui restera gravé dans les mémoires.
Conclusion
Black Stone Cherry a une fois de plus prouvé pourquoi ils figurent parmi les grands noms du rock contemporain. Leur performance à La Rockhal était un savant mélange de puissance, de virtuosité et d’authenticité. Une soirée où chaque note, chaque riff, chaque mot chanté a résonné avec le cœur des fans. Une expérience inoubliable pour tous ceux qui étaient présents.
Setlist complète :
« Hells Bells » (intro)
« Me And Mary Jane »
« Burnin’ »
« Again »
« Out Of Pocket »
« Blind Man »
« Nervous »
« Like I Roll »
« Hell And High Water »
« Cheaper To Drink Alone »
« In My Blood »
« When The Pain Comes »
« Screamin’ At The Sky »
« Blame It On The Boom Boom »
« White Trash Millionaire »
« Lonely Train »
Rappel :
« Peace Is Free »
Black Stone Cherry : Facebook / Instagram / Twitter / TikTok / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
Photos : Fabrice A.
#Live / #Report / #LiveReport / #Review / #LiveReview / #Photos / #Pictures
La Rockhal /
Black Stone Cherry + Ayron Jones /
Le 03 Novembre 2024 – Esch Sur Alzette (Lux) /
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La Rockhal a accueilli une soirée mémorable sous le signe du rock avec deux performances exceptionnelles. Black Stone Cherry, véritables maîtres du rock sudiste, ont enflammé la scène avec leur énergie contagieuse et leurs riffs puissants. En première partie, Ayron Jones a captivé le public grâce à son mélange unique de rock, soul et blues moderne. Une rencontre musicale intense qui a réuni des fans passionnés autour d’un show remarquable.
AYRON JONES
À 20 heures, les lumières s’éteignent, et le silence se fait dans la foule. Le groupe entre en scène, et dès les premières notes, on comprend qu’on va vivre un moment intense. La soirée débute avec une intro instrumentale puissante, qui laisse présager l’énergie brute qui va suivre. Le set s’ouvre avec « Boys From The Puget Sound » et « On Two Feet I Stand », des morceaux qui posent les bases d’un univers sans concession, où le rock n’a pas de limites. Très vite, le public est happé par la présence scénique d’Ayron Jones, une véritable force de la nature. Sa voix rocailleuse, légèrement éraillée, monte sans peine dans les aigus, transperçant la salle avec une émotion viscérale. Chaque mot, chaque note semble venir des tripes, et le public le ressent profondément. Tyrone Lovelace, le bassiste, fait vibrer la scène avec son jeu de scène déchaîné. Véritable pile électrique, il occupe tout l’espace avec une attitude rock’n’roll à couper le souffle. Son énergie est contagieuse, et chaque mouvement amplifie l’intensité du show. De son côté, Matthew Jacquette, à la guitare, ne perd jamais son sourire et joue avec un plaisir visible, ce qui ajoute une dimension conviviale au spectacle. Et que dire de Kenneth Thorton à la batterie ? Avec sa carrure imposante, il martèle les fûts comme un damné, envoyant des beats lourds et puissants, une vraie machine de guerre.
Le concert prend son envol avec des morceaux comme « Supercharged » et « Take Your Time », des titres qui rappellent combien Ayron Jones maîtrise l’art de fusionner des influences diverses en un style qui lui est propre. Le point culminant est atteint avec « Filthy » et « Take Me Away », deux brûlots où sa guitare explose littéralement. Son jeu de guitare est tranchant, précis, presque agressif, et l’audience en redemande. La salle est en transe, emportée par ce mélange de blues saturé, de rock incisif et de soul intense. Puis vient un moment de grâce avec une reprise inattendue : « Purple Rain » de Prince. Un silence respectueux envahit la salle avant que les premières notes ne résonnent. Ayron Jones réussit à s’approprier ce classique avec une sincérité désarmante, rendant hommage à l’icône tout en insufflant une touche personnelle. La performance est aussi émouvante que magistrale. Enfin, les derniers morceaux, « Blood In The Water » et « Mercy », achèvent de conquérir le public. Ces chansons marquent par leurs riffs heavy et leur énergie brute, offrant un final explosif. Lorsque les dernières notes retentissent, le public est en effervescence, rappelant le groupe avec des applaudissements et des cris de joie. En conclusion, Ayron Jones et son groupe ont livré ce soir une performance d’une intensité rare, un vrai moment de communion entre l’artiste et ses fans. Un concert mémorable, avec des musiciens qui se donnent sans compter et un frontman qui brise toutes les barrières musicales pour offrir un rock aussi brut qu’authentique.
Ayron Jones : Facebook / Instagram / Twitter / TikTok / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
BLACK STONE CHERRY
La salle vibre d’impatience ce dimanche soir, tandis qu’une foule dense et exaltée se presse pour assister au retour très attendu de Black Stone Cherry. Le quatuor originaire du Kentucky, promettant une soirée explosive, a tenu parole, livrant une prestation magistrale empreinte de puissance, d’émotion et d’une énergie brute.
Un début tonitruant
C’est sous les premières notes de « Hells Bells » d’AC/DC que les festivités commencent, le public hurlant dès le célèbre carillon. Une mise en bouche parfaite qui électrise l’atmosphère et pose les bases d’un concert mémorable.
Une setlist taillée pour conquérir
Black Stone Cherry entame le set avec « Me And Mary Jane », et dès les premiers riffs, La Rockhal est submergée par une vague d’enthousiasme. Le titre, un classique du groupe, donne le ton : la soirée sera un mélange de morceaux incontournables et de nouveautés captivantes.
Le rythme gagne en puissance avec « Burnin’ » et « Again », avant que « Out Of Pocket », extrait du dernier album « Screamin’ At The Sky », ne vienne démontrer leur capacité à évoluer tout en restant fidèles à leurs racines.
Le groove bluesy de « Blind Man » et l’intensité de « Nervous » font monter la température d’un cran, tandis que « Like I Roll » et « Hell And High Water » apportent des moments d’un rock plus mélodique, parfait pour faire chanter toute la salle.
Une communion avec le public
L’interaction entre le groupe et le public est l’un des points forts de la soirée. Chris Robertson, charismatique leader et chanteur, ne manque pas de remercier les fans pour leur fidélité, créant une véritable connexion lors de titres comme « Cheaper To Drink Alone » et « In My Blood », interprétés avec une émotion palpable.
Lorsque « When The Pain Comes » résonne, l’ambiance devient plus introspective, la voix de Robertson touchant les âmes dans un silence quasi religieux. Puis, retour à l’énergie pure avec « Screamin’ At The Sky », pièce maîtresse de leur nouvelle ère, avant que « Blame It On The Boom Boom » et « White Trash Millionaire » ne fassent trembler les murs.
Un final épique
Le climax du concert arrive avec « Lonely Train », un véritable hymne qui voit la foule sauter à l’unisson, criant chaque parole comme si sa vie en dépendait.
Pour le rappel, le groupe choisit « Peace Is Free », un moment suspendu dans le temps. Les lumières tamisées et les voix unies de la foule clôturent la soirée dans une émotion collective rare, un instant de grâce qui restera gravé dans les mémoires.
Conclusion
Black Stone Cherry a une fois de plus prouvé pourquoi ils figurent parmi les grands noms du rock contemporain. Leur performance à La Rockhal était un savant mélange de puissance, de virtuosité et d’authenticité. Une soirée où chaque note, chaque riff, chaque mot chanté a résonné avec le cœur des fans. Une expérience inoubliable pour tous ceux qui étaient présents.
Setlist complète :
« Hells Bells » (intro)
« Me And Mary Jane »
« Burnin’ »
« Again »
« Out Of Pocket »
« Blind Man »
« Nervous »
« Like I Roll »
« Hell And High Water »
« Cheaper To Drink Alone »
« In My Blood »
« When The Pain Comes »
« Screamin’ At The Sky »
« Blame It On The Boom Boom »
« White Trash Millionaire »
« Lonely Train »
Rappel :
« Peace Is Free »
Black Stone Cherry : Facebook / Instagram / Twitter / TikTok / Youtube / Site Officiel
Les photos de la soirée : ici.
Photos : Fabrice A.
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By Fabrice A. • Reportage Concert, Reportages • Tags: Ayron Jones, Black Stone Cherry, Esch sur Alzette, La Rockhal, Luxembourg, Rockhal