2016 – 7 titres – 37’00
Label : Freaksville Music
Style : Chanson, Ambiant
Origine : Belgique, Seraing
Date de sortie de l’album : 22 janvier 2016
Notre avis :
Que dire de plus après avoir prononcé les 4 mots du titre de cet album : Night music, love songs ! Tout y est, réduit à sa plus simple expression ! Le chanteur belge Benjamin Schoos livre dans ce mini album un florilège de textes dont le thème central est l’amour, mis en musique sur des ambiances planantes et hypnotiques. Une sorte de piège à fille pour soirée passionnée. Et quoi de mieux que de commencer un tel projet en l’introduisant par les 3 mots les plus directs, eux aussi, pour exprimer ce sentiment universel : I love you !
Miam Monster Miam est le pseudonyme sous lequel on connaissait mieux Benjamin Schoos jusqu’ici. Auteur, compositeur mais aussi arrangeur, producteur et illustrateur, cet homme multitâche, touche à tout, ne pouvait pas rester enfermé dans cette scène Rock indé made in Belgium. C’est pourquoi, depuis 5 ans, il a jeté le masque de Miam Monster Miam pour se montrer sous son vrai nom, tout en conservant ce plaisir de travailler le son, les ambiances, les orchestrations. Un travail peut-être encore plus compliqué, quand il s’agit de jouer sur les nuances.
Mais il y prend un vrai plaisir à mélanger les instruments, piano et violon sur Le maître du monde, par exemple. Mais aussi sur I love you, avec ce saxo qui vient langoureusement se lover sur la fin du titre, au milieu des claviers et des ambiances fiévreuses. Ce sont d’ailleurs les claviers et les parties électroniques qui maintiennent le lien, ténu, avec les anciennes productions de Benjamin.
Ce mini album, comme ses précédents EP et albums, sort sur son propre label Freaksville Record, lui permettant de garder cette liberté créative, sans se soucier de comment vendre sa production (un conseil avisé pour nos amis agriculteurs français ?). Il doit d’ailleurs avoir quelques secrets pour réussir à faire aboutir autant de projets, dans toutes les directions, jusqu’à la chanson Copycat qui a représenté la Belgique, en 2009, à Moscou au concours Eurovision (bien que la chanson n’ait pas fait recette). Il a aussi à son actif la création d’une webradio (Radio Rectangle, hommage non dissimulé au regretté Jacno).
Deux ans après Beau Futur, un long format aux accents Pop, dans la veine de Benjamin Biolay ou Dominique Dalcan, Benjamin Schoos revient avec ce mini album beaucoup plus intime. Un album mélodieux aux nuances délicates orchestrées de main de maître (du monde).
Facebook / Bandcamp
Tracklist :
1. I Love You 06:27
2. Une fille en or 04:46
3. Un parfum de nostalgie 04:49
4. Le maître du monde 03:42
5. Le grand paquebot va sombrer 05:54
6. N’enlève pas tout 05:44
7. Conducteur fantôme 06:16
Benjamin Schoos – Night music, love songs
2016 – 7 titres – 37’00
Label : Freaksville Music
Style : Chanson, Ambiant
Origine : Belgique, Seraing
Date de sortie de l’album : 22 janvier 2016
Notre avis :
Que dire de plus après avoir prononcé les 4 mots du titre de cet album : Night music, love songs ! Tout y est, réduit à sa plus simple expression ! Le chanteur belge Benjamin Schoos livre dans ce mini album un florilège de textes dont le thème central est l’amour, mis en musique sur des ambiances planantes et hypnotiques. Une sorte de piège à fille pour soirée passionnée. Et quoi de mieux que de commencer un tel projet en l’introduisant par les 3 mots les plus directs, eux aussi, pour exprimer ce sentiment universel : I love you !
Miam Monster Miam est le pseudonyme sous lequel on connaissait mieux Benjamin Schoos jusqu’ici. Auteur, compositeur mais aussi arrangeur, producteur et illustrateur, cet homme multitâche, touche à tout, ne pouvait pas rester enfermé dans cette scène Rock indé made in Belgium. C’est pourquoi, depuis 5 ans, il a jeté le masque de Miam Monster Miam pour se montrer sous son vrai nom, tout en conservant ce plaisir de travailler le son, les ambiances, les orchestrations. Un travail peut-être encore plus compliqué, quand il s’agit de jouer sur les nuances.
Mais il y prend un vrai plaisir à mélanger les instruments, piano et violon sur Le maître du monde, par exemple. Mais aussi sur I love you, avec ce saxo qui vient langoureusement se lover sur la fin du titre, au milieu des claviers et des ambiances fiévreuses. Ce sont d’ailleurs les claviers et les parties électroniques qui maintiennent le lien, ténu, avec les anciennes productions de Benjamin.
Ce mini album, comme ses précédents EP et albums, sort sur son propre label Freaksville Record, lui permettant de garder cette liberté créative, sans se soucier de comment vendre sa production (un conseil avisé pour nos amis agriculteurs français ?). Il doit d’ailleurs avoir quelques secrets pour réussir à faire aboutir autant de projets, dans toutes les directions, jusqu’à la chanson Copycat qui a représenté la Belgique, en 2009, à Moscou au concours Eurovision (bien que la chanson n’ait pas fait recette). Il a aussi à son actif la création d’une webradio (Radio Rectangle, hommage non dissimulé au regretté Jacno).
Deux ans après Beau Futur, un long format aux accents Pop, dans la veine de Benjamin Biolay ou Dominique Dalcan, Benjamin Schoos revient avec ce mini album beaucoup plus intime. Un album mélodieux aux nuances délicates orchestrées de main de maître (du monde).
Facebook / Bandcamp
Tracklist :
1. I Love You 06:27
2. Une fille en or 04:46
3. Un parfum de nostalgie 04:49
4. Le maître du monde 03:42
5. Le grand paquebot va sombrer 05:54
6. N’enlève pas tout 05:44
7. Conducteur fantôme 06:16
By Mike S. • Albums francais • Tags: Belgique, Benjamin Schoos