2016 – 12 titres – 41’49
Label : ACWL / Believe
Style : Heavenly Pop Metal
Origine : France, Paris…
Date de sortie de l’album : 11 avril 2016
Notre avis :
par Mike S.
Rendez-vous à mi-chemin entre le paradis et le purgatoire avec ce cinquième album d’un groupe qui se décline en quatre lettres énigmatiques ACWL. Habitué à mêler ambiance éthérée et rythme métal, le groupe ACWL poursuit son travail, en marge des modes, en proposant un album au son toujours singulier, s’ouvrant plus que jamais aux atmosphères Heavenly Pop, mais parvenant une fois de plus à nous surprendre, en nous prenant à contrepied avec des incursions à la fois sombres et musclées.
Voilà 15 ans – ce n’est pas rien pour un groupe underground français – que l’on suit les avancées musicales et les explorations vocales du trio parisien. Déjà à l’époque, avec A l’absent (notre 6e article alors…), le groupe explorait le bien et le mal, sous toutes ses formes, avec des textes forts, des rythmes variés et des mélodies imparables. 5 albums plus tard, l’inspiration n’est pas même émoussée, elle est fraiche, les idées sont multiples, l’imagination sans fond et la créativité intacte.
On y découvre ainsi la voix sombre et guturale masculine de Jean qui vous conduit vers une fin inévitable (Whatever End), avant que Céline de sa voix soprano vienne élever le débat vers des cieux plus cléments (Oxc de l’étrange). Avant cela, le single, prochainement clipé, Et je lui souris (Adaptation d’un texte de Victor Hugo, extrait des Quatre Vents de l’Esprit), vous aura déjà convaincu de la beauté d’Internel, débutant sur des rives féériques avant d’entrer sur des terres plus rudes et volcaniques. Un jeu de chaud et froid permanent qui casse les codes et la routine.
Le groupe continue ainsi de mêler le moderne et l’ancien, le réel et la chimère, la lumière et l’obscurité, mais toujours dans une orchestration organique, d’une belle richesse colorées de mille teintes, (piano, mandoline, sanshin, sitar, bouzouki…), l’image du dernier titre, Au delà, qui finira de convaincre les plus sceptiques mais aussi les fans de Dead Can Dance qui n’aurait pas encore découvert le lien familial qui pourrait unir ces deux deux formations. Un voyage dans l’Astral, une poésie de tous les instants, ce dernier titre est magique !
Très heureux de pouvoir entendre à nouveau l’univers à la fois poétique et onirique de ce drôle de trio. Toujours sous le charme !
Facebook / Site officiel
Tracklist :
Ecoutez / Achetez
01 YUGAM
02 ET JE LUI SOURIS
03 E-MORTELLE
04 MON COEUR N’EST A PERSONNE
05 SERPENT DE TULLE
06 TO WHATEVER END
07 OXC DE L’ETRANGE
08 LE DEPART
09 INFINI INTERIEUR
10 LA PORTE ETROITE
11 QU’ELLE EST MOI
12 AU DELA
ACWL – Internel
2016 – 12 titres – 41’49
Label : ACWL / Believe
Style : Heavenly Pop Metal
Origine : France, Paris…
Date de sortie de l’album : 11 avril 2016
Notre avis :
par Mike S.
Rendez-vous à mi-chemin entre le paradis et le purgatoire avec ce cinquième album d’un groupe qui se décline en quatre lettres énigmatiques ACWL. Habitué à mêler ambiance éthérée et rythme métal, le groupe ACWL poursuit son travail, en marge des modes, en proposant un album au son toujours singulier, s’ouvrant plus que jamais aux atmosphères Heavenly Pop, mais parvenant une fois de plus à nous surprendre, en nous prenant à contrepied avec des incursions à la fois sombres et musclées.
Voilà 15 ans – ce n’est pas rien pour un groupe underground français – que l’on suit les avancées musicales et les explorations vocales du trio parisien. Déjà à l’époque, avec A l’absent (notre 6e article alors…), le groupe explorait le bien et le mal, sous toutes ses formes, avec des textes forts, des rythmes variés et des mélodies imparables. 5 albums plus tard, l’inspiration n’est pas même émoussée, elle est fraiche, les idées sont multiples, l’imagination sans fond et la créativité intacte.
On y découvre ainsi la voix sombre et guturale masculine de Jean qui vous conduit vers une fin inévitable (Whatever End), avant que Céline de sa voix soprano vienne élever le débat vers des cieux plus cléments (Oxc de l’étrange). Avant cela, le single, prochainement clipé, Et je lui souris (Adaptation d’un texte de Victor Hugo, extrait des Quatre Vents de l’Esprit), vous aura déjà convaincu de la beauté d’Internel, débutant sur des rives féériques avant d’entrer sur des terres plus rudes et volcaniques. Un jeu de chaud et froid permanent qui casse les codes et la routine.
Le groupe continue ainsi de mêler le moderne et l’ancien, le réel et la chimère, la lumière et l’obscurité, mais toujours dans une orchestration organique, d’une belle richesse colorées de mille teintes, (piano, mandoline, sanshin, sitar, bouzouki…), l’image du dernier titre, Au delà, qui finira de convaincre les plus sceptiques mais aussi les fans de Dead Can Dance qui n’aurait pas encore découvert le lien familial qui pourrait unir ces deux deux formations. Un voyage dans l’Astral, une poésie de tous les instants, ce dernier titre est magique !
Très heureux de pouvoir entendre à nouveau l’univers à la fois poétique et onirique de ce drôle de trio. Toujours sous le charme !
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Tracklist :
Ecoutez / Achetez
01 YUGAM
02 ET JE LUI SOURIS
03 E-MORTELLE
04 MON COEUR N’EST A PERSONNE
05 SERPENT DE TULLE
06 TO WHATEVER END
07 OXC DE L’ETRANGE
08 LE DEPART
09 INFINI INTERIEUR
10 LA PORTE ETROITE
11 QU’ELLE EST MOI
12 AU DELA