2008 – 13 titres –
Style : Bricolage Pop
Origine : Saintes, France
Label : Z&Zoé Records
[hr color= »red »]
Bricolage pop, Noisy Folk nous annonce-t-on pour présenter Fandor… Il ne m’en faut pas tant pour avoir envie de découvrir ce nouveau Beck venu de Bordeaux !
Et puis, non, rien à voir avec Beck, si ce n’est effectivement le travail de bidouillage du son, que cet homme orchestre s’amuse à inventer tout au long de cet album.
En fait, Fandor, sur L’Enfance de l’art, nous mets des petites histoires de la vie en musique. Fandor nous donne l’impression de nous faire partager ses souvenirs, son enfance et ses impressions. La Route bleue ou Malabar ont ce petit goût de nostalgie acidulée si difficile à créer, à mettre en musique, et pourtant si bien réussi, à la maniere d’un Mickey 3D, d’un Guillaume Cantillon ou encore d’un Jéronimo… D’autres titres, tels que L’homme de paille, nous plongent d’un coup net dans un état dépressif, sur fond de guitares électriques plaintives. « Je ne suis plus rien du tout… ».
Et puis, entre deux titres trop sérieux, Fandor se lâche (Cats and Dogs, Tres peu pour moi, Calamity J), à grand renfort de synthé vintage, de textes drôles ou ironiques, que l’on pourrait prêter alors à Diabologum, première époque, aux Statics ou encore à Jérome Minière… Des références plutôt convenables, non ?
L’enfance de l’art nous fait découvrir un chanteur et un composition étonnant, qui avait jusque là choisi de rester dans l’ombre de sa basse au sein de Lemon Curd… Retour à la lumière avec cette musique de chambre, et cet album qui nous livre l’un des meilleurs instants de la chanson française, depuis Sylvain Vanot.
Facebook / Soundcloup
Fandor – L’enfance de l’art
2008 – 13 titres –
Style : Bricolage Pop
Origine : Saintes, France
Label : Z&Zoé Records
[hr color= »red »]
Bricolage pop, Noisy Folk nous annonce-t-on pour présenter Fandor… Il ne m’en faut pas tant pour avoir envie de découvrir ce nouveau Beck venu de Bordeaux !
Et puis, non, rien à voir avec Beck, si ce n’est effectivement le travail de bidouillage du son, que cet homme orchestre s’amuse à inventer tout au long de cet album.
En fait, Fandor, sur L’Enfance de l’art, nous mets des petites histoires de la vie en musique. Fandor nous donne l’impression de nous faire partager ses souvenirs, son enfance et ses impressions. La Route bleue ou Malabar ont ce petit goût de nostalgie acidulée si difficile à créer, à mettre en musique, et pourtant si bien réussi, à la maniere d’un Mickey 3D, d’un Guillaume Cantillon ou encore d’un Jéronimo… D’autres titres, tels que L’homme de paille, nous plongent d’un coup net dans un état dépressif, sur fond de guitares électriques plaintives. « Je ne suis plus rien du tout… ».
Et puis, entre deux titres trop sérieux, Fandor se lâche (Cats and Dogs, Tres peu pour moi, Calamity J), à grand renfort de synthé vintage, de textes drôles ou ironiques, que l’on pourrait prêter alors à Diabologum, première époque, aux Statics ou encore à Jérome Minière… Des références plutôt convenables, non ?
L’enfance de l’art nous fait découvrir un chanteur et un composition étonnant, qui avait jusque là choisi de rester dans l’ombre de sa basse au sein de Lemon Curd… Retour à la lumière avec cette musique de chambre, et cet album qui nous livre l’un des meilleurs instants de la chanson française, depuis Sylvain Vanot.
Facebook / Soundcloup