En exclusivité, Le Hellfest accueillait en ses murs, et pour la première fois en Europe, Le Knotfest, avec une affiche des plus impressionnantes : Sabaton, Slipknot, Amon Amarth, Rob Zombie, Powerwolf, Papa Roach, Behemoth, Ministry, Amaranthe et Sick Of It All. Un grand moment, et une édition réussie !
SICK OF IT ALL
C’est avec Sick Of It All que nous débutons le festival. À notre arrivée, le groupe a déjà lancé les festivités, et c’est « That Crazy White Boy Shit » qui nous est proposé. Les applaudissements sont chaleureux, et Sick Of It All remercie la foule qui s’étoffe à vue d’oeil. Thank you very much ! Lou Koller annonce ensuite « My Life », extrait du premier album sorti en 1989 : « Blood Sweat And No Tears ». Le show se poursuit avec « Good Lookin’ Out » et « Uprising Nation ». Pete Koller et Craig Setari occupent bien l’espace en parcourant la scène de long en large. Pete est monté sur ressort, faisant des bonds incessants, tel un kangourou. « Bull’s Anthem » et « Scratch The Surface » nous amènent petit à petit à la fin du set qui se termine avec « Step Down ». Une belle entrée en matière pour lancer la journée !
Une intro musicale annonce le début du show. Le nom de la formation Suédoise s’affiche sur le back drop. Le batteur s’installe, et le reste de la formation arrive à son tour. Le set est lancé avec « Maximize », et des fumigènes sortent du sol. D’emblée, les chevelures virevoltent. « Digital World » est enchaîné, suivi de « Inferno », « Hunger » et « Amaranthine ». Elize Ryd fait chanter le public et lui fait régulièrement de beaux sourires. Les riffs sont puissants, et la foule est séduite par l’électro pop metal mélodique proposée par le groupe. L’énergie dégagée par le trio de chanteurs est efficace. « GG6 » et « Helix » viennent poursuivre le show. C’est avec « The Nexus » et « Drop Dead Cynical » que se set se termine. Une petite photo souvenir, et le groupe quitte la scène. La recette des Suédois a su plaire au plus grand nombre !
En guise de décor, un crâne d’oiseau avec ses ailes, et des têtes de mort sur le socle, le tout positionné devant le pied de micro. Le groupe se fait attendre, et le public se fait entendre. Les Américains finissent par arriver avec 10 minutes de retard sur le planning prévu. Le set est lancé avec « The Missing », et « Deity » est enchaîné dans la foulée. Al Jourgensen annonce la suivante. This song is called « Stigmata » ! Le chanteur se dote d’une guitare pour « Jesus Built My Hotrod », suivi de « Just One Fix ». Le public reconnaît « N.W.O. », et « Thieves » vient terminer le set. Le tour de chant nous a paru bien court, et nous en aurions bien repris quelques morceaux. Ministry nous a servi son metal indus avec des riffs efficaces et un ensemble percutant !
Une petite intro musicale, et la formation Polonaise arrive avec son black et death metal. Les protagonistes revêtent des masques noirs pour le début du show. Ces derniers sont rapidement enlevés, laissant apparaître leurs visages peints de blanc et de sang. Le groupe est acclamé par une foule immense. Le set est lancé avec « Wolves Ov Siberia », suivi de « Ora Pro Nobis Lucifer ». Des flammes gigantesques sortent du sol sur le devant de la scène. Elles dégagent une chaleur incroyable. Les titres s’enchaînent : « Bartzabel », « Ov Fire And The Void » et « Conquer All ». « Sabbath Mater » nous ramène à l’album « I Loved You at Your Darkest » sorti en 2018, et c’est avec « Blow Your Trumpets Gabriel » et « Chant For Eschaton 2000 » que le set se termine. En percussions s’il vous plaît ! Un set impressionnant de puissance !
Les Californiens prennent possession de la scène et lancent les festivités avec « Last Resort ». Les fans sont aux anges dès le départ ! Le public balance les bras sur « Blood Brothers », et le show se poursuit avec « Help », suivi de « Feel Like Home ». Le groupe saisit l’occasion de nous présenter quelques extraits du nouvel album « Who Do You Trust ? », dont le titre éponyme. Les morceaux s’enchaînent, parcourant la riche discographie du groupe : « Between Angels And Insects », « Elevate », « Not The Only One », « Scars ». Jacoby Shaddix n’hésite pas à venir au contact du public. « Born For Greatness » nous amène à la reprise de The Prodigy : « Firestarter ». Papa Roach fait s’agenouiller la foule. « Getting Away With Murder » nous amène petit à petit à la fin du show, et c’est avec « …To Be Loved » que le set se termine. Jacoby Shaddix remercie le public venu nombreux. Knotfest ! Thank you so much !!! Le groupe salue les fans avant de quitter la scène.
« Lupus Daemonis », en guise d’intro, annonce le début du show. Le visage grimé, les protagonistes débarquent sur scène sous les acclamations du public. Le set est lancé avec « Fire And Forgive ». Des flammes gigantesques sortent du sol. Attila Dorn se dote de lance-flammes pour un visuel incendiaire. Il adresse ses premiers mots au public. Bonsoir Knotfest ! Ça va mes amis ? Bienvenus à la seule et unique sainte messe du heavy metal ! Il bénit le public avec un encensoir. Le show se poursuit avec « Incense & Iron ». La foule chante. Merci beaucoup mes amis !!! Vous connaissez vous les paroles de Powerwolf ?!! La prochaine chanson s’appelle « Amen & Attack ». Les femmes, vous êtes là ?!! Vous êtes prêtes à pécher avec moi ?!! Les hommes, vous êtes là ?!! Vous êtes prêts à pécher avec moi ?!! « Demons Are A Girl’s Best Friend » est envoyé. Très magnifique !!! « Armata Strigoi » et « Blessed & Possessed » nous amènent petit à petit à la fin du show. C’est avec « Werewolves Of Armenia » et « We Drink Your Blood » que le set se termine. Mes amis !!! Vive La France !!! Un rideau de feux d’artifice vient clôturer le tout. C’était la sainte messe du heavy metal de Powerwolf !!!Merci beaucoup !!! Une petite photo, et le groupe quitte la scène après avoir salué la foule.
Des vidéos de Rob Zombie apparaissent sur le back drop. Une petite intro annonce le début du show, et le set est lancé avec « Meet The Creeper ». D’emblée, Rob Zombie capte l’attention. L’ensemble proposé est entraînant, psychédélique, énergique. « Superbeast » et « Living Dead Girl » viennent poursuivre le tour de chant. Sur « More Human Than Human » de White Zombie, le frontman n’hésite pas à venir au contact du public qu’il harangue. Are you awake ?!! Are you alive ?!! « In The Age Of The Consecrated Vampire We All Get High » est envoyé dans la foulée, suivi de « Dead City Radio And The New Gods Of Supertown ». Une reprise des Beatles nous est offerte avec « Helter Skelter », avant de continuer avec « Get Your Boots On ! That’s The End Of Rock And Roll », « Well, Everybody’s Fucking In A U.F.O. » et « House Of 1000 Corpses ». Après un joli solo de guitare, « Thunder Kiss ’65 » est enchaîné, suivi de la reprise des Ramones : « Blitzkrieg Bop ». C’est avec « Dragula » que le set se termine. Époustouflant !
Un énorme voile sur lequel apparaît le nom du nouvel album des Suédois masque la scène sur laquelle vont débarquer les protagonistes. Le voile finit par tomber, et le groupe de death metal mélodique est là. Les festivités sont lancées avec « The Pursuit Of Vikings ». Des flammes jaillissent de part et d’autre, et les chevelures virevoltent. « Deceiver Of The Gods » est envoyé dans la foulée. Johan Hegg adresse ses premiers mots à la foule. Et en français s’il vous plaît ! Bonsoir La France !!! Bonsoir Knotfest !!! Est-ce que ça va bien ?!! Le show se poursuit avec « First Kill », et 2 Vikings viennent livrer le combat pour « The Way Of Vikings ». Le public est invité à sauter sur « Crack The Sky », suivi de « Death In Fire. Nous sommes de retour au nouvel album avec « Shield Wall » et « Raven’s Flight » qui nous amènent petit à petit à la fin du show. C’est avec « Twilight Of The Thunder God » que le set se termine, sous les flammes et un rideau de feux d’artifice.
C’est bel et bien la grosse sensation de la journée, avec le show impressionnant de Slipknot. Le groupe Américain souffle cette année ses vingt ans avec la sortie du nouvel album « We Are Not Your Kind », prévue le 9 août. Il est très difficile d’approcher la scène tant la foule est dense. Un énorme voile, sur lequel le nom du groupe apparaît, masque la scène. Le voile finit par tomber, et dès les premières percussions, Slipknot renverse tout. Quelle puissance et quel visuel scénique ! Il y en a de tous les côtés. Tapis roulant, fûts suspendus… L’ensemble est impressionnant. Le set est lancé avec « People = Shit ». Corey Taylor harangue la foule. Do you want some more ?!! (sic) est envoyé dans la foulée. Les titres s’enchaînent et mettent tout le monde d’accord : « Get This », « Unsainted » et « Disasterpiece ». L’ensemble est survolté. Les pogos et des slams redoublent d’intensité. Ce show diabolique se poursuit avec « Before I Forget », « The Heretic Anthem » et « Psychosocial ». Quelle débauche d’énergie ! Corey Taylor, qui se dit fier d »être là ce soir pour le premier Knotfest en Europe, ne laisse aucun répit au public avec « The Devil In I », « Prosthetics » et « Vermilion ». C’est de la pure folie ! Le rythme est dément. Quelle claque les amis ! « Custer », « Sulfur », « All Out Life » et « Duality » viennent donner les derniers coups de grâce. C’est avec « Spit It Out » et « Surfacing » que le set se termine par un déchaînement de flammes. Quelle furie ! C’est impressionnant ! Slipknot nous littéralement scotchés !
Le plateau proposé par les Suédois de Sabaton nous présente une scène de guerre. Un char, des canons, des explosions, des flammes… Le batteur s’installe, et le reste du groupe arrive à son tour. Le set est lancé avec « Ghost Division », suivi de « Winged Hussars ». C’est un véritable son et lumière qui nous est offert, avec des fumigènes, des feux d’artifice, des vidéos… Le show se poursuit avec « Resist And Bite » et « Fields Of Verdun ». Même s’il n’a pas été facile de jouer juste après Slipknot qui a tout ravagé sur son passage, Sabaton a su tenir son rang en nous offrant son power metal pyrotechnique pour clôturer cette très belle soirée.
Knotfest
Clisson (44)
Le 20 Juin 2019
Notre avis :
En exclusivité, Le Hellfest accueillait en ses murs, et pour la première fois en Europe, Le Knotfest, avec une affiche des plus impressionnantes : Sabaton, Slipknot, Amon Amarth, Rob Zombie, Powerwolf, Papa Roach, Behemoth, Ministry, Amaranthe et Sick Of It All. Un grand moment, et une édition réussie !
SICK OF IT ALL
C’est avec Sick Of It All que nous débutons le festival. À notre arrivée, le groupe a déjà lancé les festivités, et c’est « That Crazy White Boy Shit » qui nous est proposé. Les applaudissements sont chaleureux, et Sick Of It All remercie la foule qui s’étoffe à vue d’oeil. Thank you very much ! Lou Koller annonce ensuite « My Life », extrait du premier album sorti en 1989 : « Blood Sweat And No Tears ». Le show se poursuit avec « Good Lookin’ Out » et « Uprising Nation ». Pete Koller et Craig Setari occupent bien l’espace en parcourant la scène de long en large. Pete est monté sur ressort, faisant des bonds incessants, tel un kangourou. « Bull’s Anthem » et « Scratch The Surface » nous amènent petit à petit à la fin du set qui se termine avec « Step Down ». Une belle entrée en matière pour lancer la journée !
Les photos : ici.
AMARANTHE
Une intro musicale annonce le début du show. Le nom de la formation Suédoise s’affiche sur le back drop. Le batteur s’installe, et le reste de la formation arrive à son tour. Le set est lancé avec « Maximize », et des fumigènes sortent du sol. D’emblée, les chevelures virevoltent. « Digital World » est enchaîné, suivi de « Inferno », « Hunger » et « Amaranthine ». Elize Ryd fait chanter le public et lui fait régulièrement de beaux sourires. Les riffs sont puissants, et la foule est séduite par l’électro pop metal mélodique proposée par le groupe. L’énergie dégagée par le trio de chanteurs est efficace. « GG6 » et « Helix » viennent poursuivre le show. C’est avec « The Nexus » et « Drop Dead Cynical » que se set se termine. Une petite photo souvenir, et le groupe quitte la scène. La recette des Suédois a su plaire au plus grand nombre !
Les photos : ici.
MINISTRY
En guise de décor, un crâne d’oiseau avec ses ailes, et des têtes de mort sur le socle, le tout positionné devant le pied de micro. Le groupe se fait attendre, et le public se fait entendre. Les Américains finissent par arriver avec 10 minutes de retard sur le planning prévu. Le set est lancé avec « The Missing », et « Deity » est enchaîné dans la foulée. Al Jourgensen annonce la suivante. This song is called « Stigmata » ! Le chanteur se dote d’une guitare pour « Jesus Built My Hotrod », suivi de « Just One Fix ». Le public reconnaît « N.W.O. », et « Thieves » vient terminer le set. Le tour de chant nous a paru bien court, et nous en aurions bien repris quelques morceaux. Ministry nous a servi son metal indus avec des riffs efficaces et un ensemble percutant !
Les photos : ici.
BEHEMOTH
Une petite intro musicale, et la formation Polonaise arrive avec son black et death metal. Les protagonistes revêtent des masques noirs pour le début du show. Ces derniers sont rapidement enlevés, laissant apparaître leurs visages peints de blanc et de sang. Le groupe est acclamé par une foule immense. Le set est lancé avec « Wolves Ov Siberia », suivi de « Ora Pro Nobis Lucifer ». Des flammes gigantesques sortent du sol sur le devant de la scène. Elles dégagent une chaleur incroyable. Les titres s’enchaînent : « Bartzabel », « Ov Fire And The Void » et « Conquer All ». « Sabbath Mater » nous ramène à l’album « I Loved You at Your Darkest » sorti en 2018, et c’est avec « Blow Your Trumpets Gabriel » et « Chant For Eschaton 2000 » que le set se termine. En percussions s’il vous plaît ! Un set impressionnant de puissance !
Les photos : ici.
PAPA ROACH
Les Californiens prennent possession de la scène et lancent les festivités avec « Last Resort ». Les fans sont aux anges dès le départ ! Le public balance les bras sur « Blood Brothers », et le show se poursuit avec « Help », suivi de « Feel Like Home ». Le groupe saisit l’occasion de nous présenter quelques extraits du nouvel album « Who Do You Trust ? », dont le titre éponyme. Les morceaux s’enchaînent, parcourant la riche discographie du groupe : « Between Angels And Insects », « Elevate », « Not The Only One », « Scars ». Jacoby Shaddix n’hésite pas à venir au contact du public. « Born For Greatness » nous amène à la reprise de The Prodigy : « Firestarter ». Papa Roach fait s’agenouiller la foule. « Getting Away With Murder » nous amène petit à petit à la fin du show, et c’est avec « …To Be Loved » que le set se termine. Jacoby Shaddix remercie le public venu nombreux. Knotfest ! Thank you so much !!! Le groupe salue les fans avant de quitter la scène.
Les photos : ici.
POWERWOLF
« Lupus Daemonis », en guise d’intro, annonce le début du show. Le visage grimé, les protagonistes débarquent sur scène sous les acclamations du public. Le set est lancé avec « Fire And Forgive ». Des flammes gigantesques sortent du sol. Attila Dorn se dote de lance-flammes pour un visuel incendiaire. Il adresse ses premiers mots au public. Bonsoir Knotfest ! Ça va mes amis ? Bienvenus à la seule et unique sainte messe du heavy metal ! Il bénit le public avec un encensoir. Le show se poursuit avec « Incense & Iron ». La foule chante. Merci beaucoup mes amis !!! Vous connaissez vous les paroles de Powerwolf ?!! La prochaine chanson s’appelle « Amen & Attack ». Les femmes, vous êtes là ?!! Vous êtes prêtes à pécher avec moi ?!! Les hommes, vous êtes là ?!! Vous êtes prêts à pécher avec moi ?!! « Demons Are A Girl’s Best Friend » est envoyé. Très magnifique !!! « Armata Strigoi » et « Blessed & Possessed » nous amènent petit à petit à la fin du show. C’est avec « Werewolves Of Armenia » et « We Drink Your Blood » que le set se termine. Mes amis !!! Vive La France !!! Un rideau de feux d’artifice vient clôturer le tout. C’était la sainte messe du heavy metal de Powerwolf !!! Merci beaucoup !!! Une petite photo, et le groupe quitte la scène après avoir salué la foule.
Les photos : ici.
ROB ZOMBIE
Des vidéos de Rob Zombie apparaissent sur le back drop. Une petite intro annonce le début du show, et le set est lancé avec « Meet The Creeper ». D’emblée, Rob Zombie capte l’attention. L’ensemble proposé est entraînant, psychédélique, énergique. « Superbeast » et « Living Dead Girl » viennent poursuivre le tour de chant. Sur « More Human Than Human » de White Zombie, le frontman n’hésite pas à venir au contact du public qu’il harangue. Are you awake ?!! Are you alive ?!! « In The Age Of The Consecrated Vampire We All Get High » est envoyé dans la foulée, suivi de « Dead City Radio And The New Gods Of Supertown ». Une reprise des Beatles nous est offerte avec « Helter Skelter », avant de continuer avec « Get Your Boots On ! That’s The End Of Rock And Roll », « Well, Everybody’s Fucking In A U.F.O. » et « House Of 1000 Corpses ». Après un joli solo de guitare, « Thunder Kiss ’65 » est enchaîné, suivi de la reprise des Ramones : « Blitzkrieg Bop ». C’est avec « Dragula » que le set se termine. Époustouflant !
Les photos : ici.
AMON AMARTH
Un énorme voile sur lequel apparaît le nom du nouvel album des Suédois masque la scène sur laquelle vont débarquer les protagonistes. Le voile finit par tomber, et le groupe de death metal mélodique est là. Les festivités sont lancées avec « The Pursuit Of Vikings ». Des flammes jaillissent de part et d’autre, et les chevelures virevoltent. « Deceiver Of The Gods » est envoyé dans la foulée. Johan Hegg adresse ses premiers mots à la foule. Et en français s’il vous plaît ! Bonsoir La France !!! Bonsoir Knotfest !!! Est-ce que ça va bien ?!! Le show se poursuit avec « First Kill », et 2 Vikings viennent livrer le combat pour « The Way Of Vikings ». Le public est invité à sauter sur « Crack The Sky », suivi de « Death In Fire. Nous sommes de retour au nouvel album avec « Shield Wall » et « Raven’s Flight » qui nous amènent petit à petit à la fin du show. C’est avec « Twilight Of The Thunder God » que le set se termine, sous les flammes et un rideau de feux d’artifice.
Les photos : ici.
SLIPKNOT
C’est bel et bien la grosse sensation de la journée, avec le show impressionnant de Slipknot. Le groupe Américain souffle cette année ses vingt ans avec la sortie du nouvel album « We Are Not Your Kind », prévue le 9 août. Il est très difficile d’approcher la scène tant la foule est dense. Un énorme voile, sur lequel le nom du groupe apparaît, masque la scène. Le voile finit par tomber, et dès les premières percussions, Slipknot renverse tout. Quelle puissance et quel visuel scénique ! Il y en a de tous les côtés. Tapis roulant, fûts suspendus… L’ensemble est impressionnant. Le set est lancé avec « People = Shit ». Corey Taylor harangue la foule. Do you want some more ?!! (sic) est envoyé dans la foulée. Les titres s’enchaînent et mettent tout le monde d’accord : « Get This », « Unsainted » et « Disasterpiece ». L’ensemble est survolté. Les pogos et des slams redoublent d’intensité. Ce show diabolique se poursuit avec « Before I Forget », « The Heretic Anthem » et « Psychosocial ». Quelle débauche d’énergie ! Corey Taylor, qui se dit fier d »être là ce soir pour le premier Knotfest en Europe, ne laisse aucun répit au public avec « The Devil In I », « Prosthetics » et « Vermilion ». C’est de la pure folie ! Le rythme est dément. Quelle claque les amis ! « Custer », « Sulfur », « All Out Life » et « Duality » viennent donner les derniers coups de grâce. C’est avec « Spit It Out » et « Surfacing » que le set se termine par un déchaînement de flammes. Quelle furie ! C’est impressionnant ! Slipknot nous littéralement scotchés !
Les photos : ici.
SABATON
Le plateau proposé par les Suédois de Sabaton nous présente une scène de guerre. Un char, des canons, des explosions, des flammes… Le batteur s’installe, et le reste du groupe arrive à son tour. Le set est lancé avec « Ghost Division », suivi de « Winged Hussars ». C’est un véritable son et lumière qui nous est offert, avec des fumigènes, des feux d’artifice, des vidéos… Le show se poursuit avec « Resist And Bite » et « Fields Of Verdun ». Même s’il n’a pas été facile de jouer juste après Slipknot qui a tout ravagé sur son passage, Sabaton a su tenir son rang en nous offrant son power metal pyrotechnique pour clôturer cette très belle soirée.
Les photos : ici.
Knotfest : Facebook / Instagram / Twitter / Site Officiel
Photos : Fabrice A.
By Fabrice A. • Reportage Festival, Reportages • Tags: Amaranthe, Amon Amarth, Behemoth, Clisson, Knotfest, Ministry, Papa Roach, Powerwolf, Rob Zombie, Sabaton, Sick Of It All, Slipknot