KLINK CLOCK…
…duo sauvage et grunge !
2018 – 11 titres
Style : Rock
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 12 octobre 2018
Rencontre avec Aurélien, guitariste, luthier, et membre du duo sauvage et grunge Klink Clock, ce groupe parisien qui émerge, fais parler d’eux et qui et sortira son 1er album « Accidents » le 12 Octobre prochain. Après 3 EP et de solides références live (Rock en Seine, Solidays, premières parties d’Indochine, Trust…) ils sautent le pas et nous avons voulu en savoir plus sur ce nouvel album et le duo en lui même !
Comment décris-tu ton groupe ?
Un duo Rock mixte, Jennie au chant et moi (Aurélien) à la guitare on est tous les 2 devants sur scène, c’est vraiment quelque chose d’important pour nous car les batteurs sont souvent à l’arrière de la scène, nous voulions être mis en lumière tous les 2. Avant nous étions 4…
Tu ne penses pas revenir à cette composition ?
Non pas vraiment car nos compatriotes sont souvent en tournée, on a jamais réussi à caler des moments ensemble. Franck, notre ancien batteur est venu sur 1 ou 2 dates, c’était top de le revoir. Pour le moment nous restons sur notre noyau dur. Plus tard nous aimerions faire des concerts uniques, avec des musiciens qui viendraient se greffer, on verra ça en 2019 !
Quels sont les retours du nouvel album ?
Nous n’avons que des bons retours ! En ce moment on fait des quizz-guitaristes pour promouvoir l’album, si ils ont accepté c’est parce qu’ils ont adorés ce que nous faisons. Les préventes se passent très bien, des magazines parlent de nous , notre attaché de presse travaille là-dessus en ce moment d’ailleurs, tout se passe bien ! L’album est bien accueillit on est super motivé !
Comment avez-vous travaillé sur cet album ?
On avait écrit beaucoup de titres, nous n’en avons gardé que 11. C’est vrai qu’avec nos boites respective (Fantôme pour Jennie, et Aura’guitare pour Aurélien) on se voit pas souvent avec Jennie, mais pour travailler ces morceaux on n’hésite pas à écrire nos idées, mettre sur un dictaphone, on a aucun soucis pour s’organiser et garder nos mélodies. Parfois on arrive qu’avec des textes, faut bosser la mélodie, ou alors l’inverse. Dans notre cas nous aimons nous couper du monde, on met les téléphone en mode avion, et là on peut bosser sans prise de tête extérieure, sans horloge… D’ailleurs c’est pour ça qu’on s’appelle Klinck Clock, si tu arrives pas à perdre la notion du temps, te perdre en toi-même pour bosser et chercher ce qu’il y a à prendre, ça ne peut pas fonctionner. Comme une horloge déréglé, tant qu’on peut on adore travailler comme ça, on commence à travailler un morceau, on ne sait pas à quel heure ça va finir mais on s’en fiche !
Pourquoi « Accidents » ?
Justement ça va avec notre façon de travailler, il se passe toujours quelque chose, on ne sait jamais comment et quand ça va arriver, comme par accident ça débarque. On essaye aussi de surprendre les gens, sur certains morceaux ya de l’orgue, du piano, des choses que l’on a pas l’habitude d’utiliser pour nos morceaux. Nous avons essayé le chant en Français sur cet album, nous voulions pratiquer notre langue maternelle et s’en amuser, tenter sans se forcer. On est content de nous sur 2/3 titres, nous en avions fait plus mais nous n’aimions pas le résultat. La langue française est dure à chanter, assez haché. On va essayer suivant les retours d’en faire de plus en plus. Et surtout c’est plus plaisant pour un public français, d’entendre du français. Le public comprend tout de suite les paroles, le message. Pour nous c’est important de voir les réactions face aux paroles de nos chansons. En plus pour le moment nous sommes en France donc on va essayer de se faire plaisir.
Tu me parles de surprendre le public, que penses-tu de cette mode « rap/électro » toi qui joue du rock ?
Cette musique urbaine ne me choque pas personnellement, mais c’est vrai que le rock devient une musique de « niche ». Certains disent que tout a déjà été fait dans le rock, je ne suis pas d’accord du tout sur ce point de vue. Nous voulions nous surprendre nous-même, tenter des choses. Nous avons eu plusieurs essais.
Vous avez donc testé en live certaines musiques du nouvel album ??
Pas toutes, mais la moitié environ, ça permet d’écrémer, par exemple quand on a joué en live on s’est rendu compte que ça ne fonctionnait pas trop avec l’esprit, l’entité du nouvel album. On a préféré les retirer de l’album, mais les garder pour certains sets de live, en faire des exclus.
Pourquoi du noir et du blanc sur l’album, sur vos costumes de scène… ?
C’est notre essentiel, notre mood du moment, et comme on aime bien jouer sur les contrastes noir et blanc on a décider d’y aller à fond ! On travaille avec Nicolas Demare sur nos clips, nos images en noir et blanc et on s’est dit que c’est ce que l’on aime, reflète ce que l’on est donc on se lance à fond dedans. Les contrastes sont des choses sur lesquelles nous aimons jouer : Notre pochette, dans nos morceaux, les styles de musiques qu’il y a dans cet album… Le noir et blanc est plus fort que la couleur, c’est fin, précis, puissant : ça ne rends pas la même chose, comme en photo. Tout est dans le contraste ! Pour les costumes nous travaillons avec une marque Berlinoise Fade Out, qui récupère du jean, ils font de l’upcycling et en font donc autre chose, c’était important pour nous de collaborer avec eux car ca rentre dans notre éthique et nos valeur, on est très content d’avoir ce partenariat pour la tournée.
Comment s’est déroulé la tournée avec Trust ? Ça vous à permis de gagner en notoriété ?
Je connais bien Nono de Trust car je suis son backlineur. Nous avons jouer avec eux au Transbordeur, notamment, nous avions fait la 1ère partie et à la fin de leur concert ils nous ont invités sur scène pour jouer un morceau avec eux « demande à ton père, demande à ta mère », Jennie au chant, moi guitare,c’était super cool. Une superbe expérience ! Il y a une bonne équipe, une bonne entente, l’album est super….C’était le pied de partir en tournée avec eux, par rapport à nos tournées précédente où par exemple nous dormions dans des hôtels pourris, là on avait un super tour bus, et l’équipe de technicien nous ont bien accueillit, je pense que c’est du à mon ancienneté chez eux aussi ! C’est un peu une colonie de vacances et on voit pas ça sur toutes les tournées.
Et oui nous avons surement gagné en notoriété, on avait un public différent, qui ne nous attendais pas, on était là pour chauffer la salle pour que Trust arrive sereinement ensuite. Leur public est très large, des enfants jusqu’à papi et mamie qui revivent leur jeunesse. J’adore voir les petites filles en admiration devant Jennie, qui la voit après le concert pour essayer de se mettre à la batterie, je trouve ça top ! A la fin de la tournée, nous n’avions plus de merch’ tellement les gens ont appréciés ! Bonne nouvelle pour l’album à venir donc.
Aurélien est également luthier et fondateur de la marque Aura. Cette superbe Telemaster qu’il a créée sera gagnée par l’un des acheteurs du disque du groupe, façon ticket d’or !
Cliquez ici pour accéder au concours : https://klinkclock.bandcamp.com/releases
Tous les titres sont écrits, composés et interprétés par Klink Clock.
Jennie Burke : batterie / chant / OP-1
Aurélien Turbant : guitare / basse / chant / piano
Mixage : Aaron Bastinelli
Mastering : La Source
Photos : Nicolas Demare a.k.a. Nidimages
Artwork : Klink Clock
Manager : Vincent Portois
Toutes les informations sur le groupe et futurs dates de concerts ici
KLINK CLOCK…
…duo sauvage et grunge !
2018 – 11 titres
Style : Rock
Origine : France, IDF, Paris (75)
Date de sortie de l’album : 12 octobre 2018
Rencontre avec Aurélien, guitariste, luthier, et membre du duo sauvage et grunge Klink Clock, ce groupe parisien qui émerge, fais parler d’eux et qui et sortira son 1er album « Accidents » le 12 Octobre prochain. Après 3 EP et de solides références live (Rock en Seine, Solidays, premières parties d’Indochine, Trust…) ils sautent le pas et nous avons voulu en savoir plus sur ce nouvel album et le duo en lui même !
Comment décris-tu ton groupe ?
Un duo Rock mixte, Jennie au chant et moi (Aurélien) à la guitare on est tous les 2 devants sur scène, c’est vraiment quelque chose d’important pour nous car les batteurs sont souvent à l’arrière de la scène, nous voulions être mis en lumière tous les 2. Avant nous étions 4…
Tu ne penses pas revenir à cette composition ?
Non pas vraiment car nos compatriotes sont souvent en tournée, on a jamais réussi à caler des moments ensemble. Franck, notre ancien batteur est venu sur 1 ou 2 dates, c’était top de le revoir. Pour le moment nous restons sur notre noyau dur. Plus tard nous aimerions faire des concerts uniques, avec des musiciens qui viendraient se greffer, on verra ça en 2019 !
Quels sont les retours du nouvel album ?
Nous n’avons que des bons retours ! En ce moment on fait des quizz-guitaristes pour promouvoir l’album, si ils ont accepté c’est parce qu’ils ont adorés ce que nous faisons. Les préventes se passent très bien, des magazines parlent de nous , notre attaché de presse travaille là-dessus en ce moment d’ailleurs, tout se passe bien ! L’album est bien accueillit on est super motivé !
Comment avez-vous travaillé sur cet album ?
On avait écrit beaucoup de titres, nous n’en avons gardé que 11. C’est vrai qu’avec nos boites respective (Fantôme pour Jennie, et Aura’guitare pour Aurélien) on se voit pas souvent avec Jennie, mais pour travailler ces morceaux on n’hésite pas à écrire nos idées, mettre sur un dictaphone, on a aucun soucis pour s’organiser et garder nos mélodies. Parfois on arrive qu’avec des textes, faut bosser la mélodie, ou alors l’inverse. Dans notre cas nous aimons nous couper du monde, on met les téléphone en mode avion, et là on peut bosser sans prise de tête extérieure, sans horloge… D’ailleurs c’est pour ça qu’on s’appelle Klinck Clock, si tu arrives pas à perdre la notion du temps, te perdre en toi-même pour bosser et chercher ce qu’il y a à prendre, ça ne peut pas fonctionner. Comme une horloge déréglé, tant qu’on peut on adore travailler comme ça, on commence à travailler un morceau, on ne sait pas à quel heure ça va finir mais on s’en fiche !
Pourquoi « Accidents » ?
Justement ça va avec notre façon de travailler, il se passe toujours quelque chose, on ne sait jamais comment et quand ça va arriver, comme par accident ça débarque. On essaye aussi de surprendre les gens, sur certains morceaux ya de l’orgue, du piano, des choses que l’on a pas l’habitude d’utiliser pour nos morceaux. Nous avons essayé le chant en Français sur cet album, nous voulions pratiquer notre langue maternelle et s’en amuser, tenter sans se forcer. On est content de nous sur 2/3 titres, nous en avions fait plus mais nous n’aimions pas le résultat. La langue française est dure à chanter, assez haché. On va essayer suivant les retours d’en faire de plus en plus. Et surtout c’est plus plaisant pour un public français, d’entendre du français. Le public comprend tout de suite les paroles, le message. Pour nous c’est important de voir les réactions face aux paroles de nos chansons. En plus pour le moment nous sommes en France donc on va essayer de se faire plaisir.
Tu me parles de surprendre le public, que penses-tu de cette mode « rap/électro » toi qui joue du rock ?
Cette musique urbaine ne me choque pas personnellement, mais c’est vrai que le rock devient une musique de « niche ». Certains disent que tout a déjà été fait dans le rock, je ne suis pas d’accord du tout sur ce point de vue. Nous voulions nous surprendre nous-même, tenter des choses. Nous avons eu plusieurs essais.
Vous avez donc testé en live certaines musiques du nouvel album ??
Pas toutes, mais la moitié environ, ça permet d’écrémer, par exemple quand on a joué en live on s’est rendu compte que ça ne fonctionnait pas trop avec l’esprit, l’entité du nouvel album. On a préféré les retirer de l’album, mais les garder pour certains sets de live, en faire des exclus.
Pourquoi du noir et du blanc sur l’album, sur vos costumes de scène… ?
C’est notre essentiel, notre mood du moment, et comme on aime bien jouer sur les contrastes noir et blanc on a décider d’y aller à fond ! On travaille avec Nicolas Demare sur nos clips, nos images en noir et blanc et on s’est dit que c’est ce que l’on aime, reflète ce que l’on est donc on se lance à fond dedans. Les contrastes sont des choses sur lesquelles nous aimons jouer : Notre pochette, dans nos morceaux, les styles de musiques qu’il y a dans cet album… Le noir et blanc est plus fort que la couleur, c’est fin, précis, puissant : ça ne rends pas la même chose, comme en photo. Tout est dans le contraste ! Pour les costumes nous travaillons avec une marque Berlinoise Fade Out, qui récupère du jean, ils font de l’upcycling et en font donc autre chose, c’était important pour nous de collaborer avec eux car ca rentre dans notre éthique et nos valeur, on est très content d’avoir ce partenariat pour la tournée.
Comment s’est déroulé la tournée avec Trust ? Ça vous à permis de gagner en notoriété ?
Je connais bien Nono de Trust car je suis son backlineur. Nous avons jouer avec eux au Transbordeur, notamment, nous avions fait la 1ère partie et à la fin de leur concert ils nous ont invités sur scène pour jouer un morceau avec eux « demande à ton père, demande à ta mère », Jennie au chant, moi guitare,c’était super cool. Une superbe expérience ! Il y a une bonne équipe, une bonne entente, l’album est super….C’était le pied de partir en tournée avec eux, par rapport à nos tournées précédente où par exemple nous dormions dans des hôtels pourris, là on avait un super tour bus, et l’équipe de technicien nous ont bien accueillit, je pense que c’est du à mon ancienneté chez eux aussi ! C’est un peu une colonie de vacances et on voit pas ça sur toutes les tournées.
Et oui nous avons surement gagné en notoriété, on avait un public différent, qui ne nous attendais pas, on était là pour chauffer la salle pour que Trust arrive sereinement ensuite. Leur public est très large, des enfants jusqu’à papi et mamie qui revivent leur jeunesse. J’adore voir les petites filles en admiration devant Jennie, qui la voit après le concert pour essayer de se mettre à la batterie, je trouve ça top ! A la fin de la tournée, nous n’avions plus de merch’ tellement les gens ont appréciés ! Bonne nouvelle pour l’album à venir donc.
Aurélien est également luthier et fondateur de la marque Aura. Cette superbe Telemaster qu’il a créée sera gagnée par l’un des acheteurs du disque du groupe, façon ticket d’or !
Cliquez ici pour accéder au concours : https://klinkclock.bandcamp.com/releases
Tous les titres sont écrits, composés et interprétés par Klink Clock.
Jennie Burke : batterie / chant / OP-1
Aurélien Turbant : guitare / basse / chant / piano
Mixage : Aaron Bastinelli
Mastering : La Source
Photos : Nicolas Demare a.k.a. Nidimages
Artwork : Klink Clock
Manager : Vincent Portois
Toutes les informations sur le groupe et futurs dates de concerts ici