Rencontre avec FAYGO
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Par Manon B.
Rencontre avec quelques membres du groupe FAYGO, des Rennais qui ont eu l’immense honneur d’ouvrir le festival No Logo BZH vendredi 10 Août ! Un gros coup de cœur de la part de toute l’équipe pour leur live, et ils nous l’ont confirmés lors de cette rencontre.
Faygo, d’où vous vient ce nom de scène ?
Ce nom vient d’un dialecte Sranan tongo, du Suriname qui est une ancienne colonie néerlandaise, qui veut dire « Salut, comment vas-tu ? ». Donc là-bas tous les papiers officiels sont dans la langue de l’ancienne colonie, qui est la langue officielle, mais il y a aussi ce dialecte. Et quand j’étais sur place j’ai écrit une chanson qui s’appelait Faygo. Quelques années plus tard c’est devenu le nom du groupe. J’ai trouvé ça cool !
Comment vous êtes vous rencontrés ?
Nous sommes 7 actuellement, le groupe a commencé à 5 et petit à petit on ajoute des musiciens et du corps à notre musique. François vient tout juste de nous rejoindre depuis 1 semaine, en tant qu’ingé’ son, il a eu un jour pour répéter et apprendre les musiques que nous avons joués ce soir.
See G guitare, chanteur lead et chœur, Marcello à la batterie et chœur, Mister Roots voix leads chœur et guitare, y’a aussi Twan au clavier, Cody Jahrett à la basse. Pour les derniers arrivés ce n’est que des rencontres par du bouche à oreille, grâce aux réseaux sociaux.
Le reggae, c’était votre style de musique ?
J’écoute du reggae depuis tout petit, pour moi c’était naturel de jouer de cette musique. C’est dans celle-ci que je me sent le mieux. J’ai vécu en Afrique et quand je suis rentré en France, l’état d’esprit si différent de ces deux pays m’ont choqués et je me devais de véhiculer les valeurs de cette musique. J’ai eu besoin d’extérioriser cette sensation bizarre.
On écoute de tout et on s’inspire de différents styles musicaux comme le jazz, le folk, le blues, la musique classique et d’autres artistes reggae comme The Abyssinians, The Congos, Groundation, The Banyans, Bob Marley…..
Le métissage des musiques est important. Pour nous c’est la musique qu’on adore jouer sur scène !
Quel est votre ressenti quant à cet ouverture de festival ?
C’est une sensation inimaginable, nous sommes honorés d’être programmés ici, avec des artistes que l’on connaît et qu’on écoute depuis longtemps. C’est une continuité pour nous, ça fais 5 ans que nous existons, nous vons fait du chemin, et on a beaucoup travaillé, c’est notre récompense.
En plus nous étions festivaliers ou bénévoles de plusieurs festival, dont No Logo BZH et beaucoup de nos potes nous ont dit : « chiche de jouer au No Logo BZH la prochaine fois ? » Nous ne les avons pas cru et finalement, nous sommes là ! C’est un rêve de gamin qui s’est réalisé !
Nous sommes dans des conditions optimum, le son est super, on mange bien, le staff est super cool, nous avons été reçus comme des rois ici, alors que demander de plus ?
Vous préparez un second album, vous pouvez nous en dire plus ?
On ne sait pas encore combien de titres il y aura sur ce deuxième album mais pour le moment on en a 14, nous avons joués 5 nouveaux morceaux sur scène. Peut-être nous en mettrons plus, ou moins, on verra cet hiver quand on passera à l’enregistrement, et au mixage.
On ne peux pas non plus avancer de date car nous sommes en pleine phase de financement, d’ailleurs nous avons lancer un financement participatif en ligne, car il y a toujours une étape importante dans la vie de chaque groupe : le financement d’un album, autoproduit, sans argent extérieur.
Le premier (Harvest-2015) à été financé par nos soins, par notre travail, nos concerts. Nous avons envie de travailler plus, sur un son de qualité, d’investir dans de nouveaux instruments, nous recrutons actuellement des personnes pour incorporer des cuivres à notre musique.
Nous débordons d’idées, de créativité, et voulons vraiment montrer toutes ces trouvailles à notre public et en conquérir de nouveau, leur montrer que notre travail est intéressant, et cela sera valorisant pour nous aussi dans le futur. Nous voulons mettre la barre plus haute !
Nous aimerions aussi investir dans un attaché de presse, pour que nous puissions nous concentrer sur ce que nous savons faire : la musique. Chacun sera alors à sa place et pourra favoriser notre réussite !
Lien du financement participatif : HELLOASSO
Foncez les écouter, retrouvez les en Jam acoustique privé sur la page facebook du Fanzine Deadalus.
Ou sur leur page facebook pour les prochains concerts et leur actualité ainsi que leur site internet.
Rencontre avec FAYGO
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Par Manon B.
Rencontre avec quelques membres du groupe FAYGO, des Rennais qui ont eu l’immense honneur d’ouvrir le festival No Logo BZH vendredi 10 Août ! Un gros coup de cœur de la part de toute l’équipe pour leur live, et ils nous l’ont confirmés lors de cette rencontre.
Faygo, d’où vous vient ce nom de scène ?
Ce nom vient d’un dialecte Sranan tongo, du Suriname qui est une ancienne colonie néerlandaise, qui veut dire « Salut, comment vas-tu ? ». Donc là-bas tous les papiers officiels sont dans la langue de l’ancienne colonie, qui est la langue officielle, mais il y a aussi ce dialecte. Et quand j’étais sur place j’ai écrit une chanson qui s’appelait Faygo. Quelques années plus tard c’est devenu le nom du groupe. J’ai trouvé ça cool !
Comment vous êtes vous rencontrés ?
Nous sommes 7 actuellement, le groupe a commencé à 5 et petit à petit on ajoute des musiciens et du corps à notre musique. François vient tout juste de nous rejoindre depuis 1 semaine, en tant qu’ingé’ son, il a eu un jour pour répéter et apprendre les musiques que nous avons joués ce soir.
See G guitare, chanteur lead et chœur, Marcello à la batterie et chœur, Mister Roots voix leads chœur et guitare, y’a aussi Twan au clavier, Cody Jahrett à la basse. Pour les derniers arrivés ce n’est que des rencontres par du bouche à oreille, grâce aux réseaux sociaux.
Le reggae, c’était votre style de musique ?
J’écoute du reggae depuis tout petit, pour moi c’était naturel de jouer de cette musique. C’est dans celle-ci que je me sent le mieux. J’ai vécu en Afrique et quand je suis rentré en France, l’état d’esprit si différent de ces deux pays m’ont choqués et je me devais de véhiculer les valeurs de cette musique. J’ai eu besoin d’extérioriser cette sensation bizarre.
On écoute de tout et on s’inspire de différents styles musicaux comme le jazz, le folk, le blues, la musique classique et d’autres artistes reggae comme The Abyssinians, The Congos, Groundation, The Banyans, Bob Marley…..
Le métissage des musiques est important. Pour nous c’est la musique qu’on adore jouer sur scène !
Quel est votre ressenti quant à cet ouverture de festival ?
C’est une sensation inimaginable, nous sommes honorés d’être programmés ici, avec des artistes que l’on connaît et qu’on écoute depuis longtemps. C’est une continuité pour nous, ça fais 5 ans que nous existons, nous vons fait du chemin, et on a beaucoup travaillé, c’est notre récompense.
En plus nous étions festivaliers ou bénévoles de plusieurs festival, dont No Logo BZH et beaucoup de nos potes nous ont dit : « chiche de jouer au No Logo BZH la prochaine fois ? » Nous ne les avons pas cru et finalement, nous sommes là ! C’est un rêve de gamin qui s’est réalisé !
Nous sommes dans des conditions optimum, le son est super, on mange bien, le staff est super cool, nous avons été reçus comme des rois ici, alors que demander de plus ?
Vous préparez un second album, vous pouvez nous en dire plus ?
On ne sait pas encore combien de titres il y aura sur ce deuxième album mais pour le moment on en a 14, nous avons joués 5 nouveaux morceaux sur scène. Peut-être nous en mettrons plus, ou moins, on verra cet hiver quand on passera à l’enregistrement, et au mixage.
On ne peux pas non plus avancer de date car nous sommes en pleine phase de financement, d’ailleurs nous avons lancer un financement participatif en ligne, car il y a toujours une étape importante dans la vie de chaque groupe : le financement d’un album, autoproduit, sans argent extérieur.
Le premier (Harvest-2015) à été financé par nos soins, par notre travail, nos concerts. Nous avons envie de travailler plus, sur un son de qualité, d’investir dans de nouveaux instruments, nous recrutons actuellement des personnes pour incorporer des cuivres à notre musique.
Nous débordons d’idées, de créativité, et voulons vraiment montrer toutes ces trouvailles à notre public et en conquérir de nouveau, leur montrer que notre travail est intéressant, et cela sera valorisant pour nous aussi dans le futur. Nous voulons mettre la barre plus haute !
Nous aimerions aussi investir dans un attaché de presse, pour que nous puissions nous concentrer sur ce que nous savons faire : la musique. Chacun sera alors à sa place et pourra favoriser notre réussite !
Lien du financement participatif : HELLOASSO
Foncez les écouter, retrouvez les en Jam acoustique privé sur la page facebook du Fanzine Deadalus.
Ou sur leur page facebook pour les prochains concerts et leur actualité ainsi que leur site internet.