2017 – 7 titres – 41′ Label : Crescendo by Fo Feo Productions Style : Instrumental / Ambiant / Jazz
Origine : France Date de sortie de l’album : 6 octobre 2017
Notre avis :
Par Mike S.
Guitariste mais aussi compositeur et arrangeur, Samuel Strouk opère autant dans la musique classique que dans le Jazz. C’est sans doute ce qui lui permet de franchir aussi facilement les frontières de la musique, n’hésitant pas à mêler le temps d’un concerto, les cordes d’un violoncelle et le clavier d’un accordéon, ou bien encore guitare et quatuor à cordes. Avec « Silent Walk », l’artiste s’oriente vers un nouveau terrain de jeu, qu’il n’avait encore jamais exploré.
C’est sous la forme d’un quintette qu’il enregistre les 7 pièces que contient ce premier album sous son propre patronyme. Un accordéoniste (Vincent Peirani), un violoncelliste (François Salque), qu’il connait bien déjà, mais aussi un contrebassiste (Diego Imbert) et un clarinettiste (Florent Pujuila) viennent croiser leurs talents avec la guitare de Samuel Strouk.
Pas de textes, pas de voix, juste des notes et des sons qui vous renvoient des images et des ambiances. Chacun pourra alors créer son propre décor, avec ses montagnes et ses vallées, ses grands espaces de liberté, ses souvenirs d’enfance, un peu à la manière d’un Yann Tiersen ou d’un Maurice Jarre.
Car la musique de Strouk a quelque chose de cinématographique. Mais aussi de littéraire, les instruments remplaçant aisément les voix dans des dialogues, qu’on est, une fois encore, libre d’écrire soi-même, selon son humeur ou ses envies, juste guidé par le tempo et les pistes d’instruments qui s’entremêlent dans des dialogues empreints de poésie. A peine orienté par les titres des compositions : Lands, Remember in, Grey Street, Sister, Dawn of Silence, etc.
Samuel Strouk – Silent walk
2017 – 7 titres – 41′
Label : Crescendo by Fo Feo Productions
Style : Instrumental / Ambiant / Jazz
Origine : France
Date de sortie de l’album : 6 octobre 2017
Notre avis :
Par Mike S.
Guitariste mais aussi compositeur et arrangeur, Samuel Strouk opère autant dans la musique classique que dans le Jazz. C’est sans doute ce qui lui permet de franchir aussi facilement les frontières de la musique, n’hésitant pas à mêler le temps d’un concerto, les cordes d’un violoncelle et le clavier d’un accordéon, ou bien encore guitare et quatuor à cordes. Avec « Silent Walk », l’artiste s’oriente vers un nouveau terrain de jeu, qu’il n’avait encore jamais exploré.
C’est sous la forme d’un quintette qu’il enregistre les 7 pièces que contient ce premier album sous son propre patronyme. Un accordéoniste (Vincent Peirani), un violoncelliste (François Salque), qu’il connait bien déjà, mais aussi un contrebassiste (Diego Imbert) et un clarinettiste (Florent Pujuila) viennent croiser leurs talents avec la guitare de Samuel Strouk.
Pas de textes, pas de voix, juste des notes et des sons qui vous renvoient des images et des ambiances. Chacun pourra alors créer son propre décor, avec ses montagnes et ses vallées, ses grands espaces de liberté, ses souvenirs d’enfance, un peu à la manière d’un Yann Tiersen ou d’un Maurice Jarre.
Car la musique de Strouk a quelque chose de cinématographique. Mais aussi de littéraire, les instruments remplaçant aisément les voix dans des dialogues, qu’on est, une fois encore, libre d’écrire soi-même, selon son humeur ou ses envies, juste guidé par le tempo et les pistes d’instruments qui s’entremêlent dans des dialogues empreints de poésie. A peine orienté par les titres des compositions : Lands, Remember in, Grey Street, Sister, Dawn of Silence, etc.
Laissez-vous bercer.
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Line-up :
SAMUEL STROUK – Guitare
FRANÇOIS SALQUE – Violoncelle
VINCENT PEIRANI – Accordéon
FLORENT PUJUILA – Clarinettes
DIEGO IMBERT – Contrebasse
Tracklist :
1. Lands,
2. Remember in,
3. Grey Street,
4. Green B,
5. Zone out
6. Sister,
7. Dawn of Silence