La Cartonnerie
Peter Hook & The Light
Le 27 Janvier 2017 – Reims (51)
Notre avis :
Pour notre premier concert de l’année, nous avions le plaisir d’assister à la prestation de Peter Hook & The Light. Un set en 2 parties nous était proposé : dans un premier temps, des reprises de New Order, et une seconde partie avec des morceaux de Joy Division. Une belle soirée placée sous les auspices de la cold wave avec l’ancien bassiste de ces 2 formations mythiques.
PETER HOOK & THE LIGHT
La première partie du set était donc totalement consacrée au répertoire de New Order. Avec un son plutôt costaud et des sonorités des années 80, le groupe a fait danser le public venu très nombreux. Le show est lancé avec une intro faisant apparaître un cor de chasse et une musique rappelant un peu les Walt Disney. Les protagonistes débarquent sur scène et lancent le set avec « In A Lonely Place », morceau plutôt tranquille, présentant de beaux roulements de batterie. Après des applaudissements nourris, « Procession » est enchaîné et amène quelque chose de plus rythmé. Nous continuons alors avec « Cries And Whispers », et Hooky fait balancer sa basse à grands coups de hanche, offrant également un joli face à face avec Jack Bates, son fils bassiste.
Le public reconnaît d’emblée « Ceremony », et le show se poursuit avec « Everything’s Gone Green ». Une ovation suit, et « Temptation » est alors balancé. Le public est aux anges et reprend le ouh ouh, ouh ouh, ouh ouh ! Le tour de chant continue avec « Blue Monday » dans une ambiance lumineuse tamisée. Après une nouvelle salve d’applaudissements, « Confusion » est alors proposé. Depuis quelques morceaux déjà, le batteur a quitté le plateau, laissant ainsi plus de place aux claviers. La batterie fait son retour pour « Thieves Like Us » et « The Perfect Kiss ». Les applaudissements accompagnent le lancement de « Subculture », avant de continuer avec « Shellshock ». « State Of The Nation » nous amène petit à petit à la fin de cette première partie. « Bizarre Love Triangle » est repris par le public, et le groupe reçoit une ovation avant de clôturer avec « True Faith » et « 1963 ». Les protagonistes quittent la scène sous les applaudissements.
Un petit entracte, et voici la partie la plus marquante de la soirée avec les morceaux de Joy Division. La compilation s’avère très riche, et c’est avec « No Love Lost » que le groupe effectue son retour. Nous avons droit alors à « Novelty » et « From Safety To Where… ? ». Les claquements de mains accompagnent « Komakino », avant de poursuivre avec « These Days ». Les titres vont ainsi s’enchaîner : « Warsaw », « Leaders Of Men » et « Digital ». Une ovation suit et nous amène à « Autosuggestion ». Dès les premières notes, le public reconnaît « Transmission ». Les bras sont en l’air, et la salle chante dance to the radio… Après une nouvelle salve d’applaudissements, « She’s Lost Control » nous est proposé, puis Hooky quitte la scène. Les musiciens poursuivent seul avec « Incubation », et Peter Hook revient pour « Dead Souls ». Les applaudissements accompagnent « Atmosphere », et le show se termine avec « Love Will Tear Us Apart ». La salle chante à nouveau, les bras levés, et Hook termine avec la guitare au dessus de la tête, torse nu.
Peter Hook & The Light :
Peter Hook au chant et à la basse.
David Potts à la guitare.
Jack Bates à la basse.
Andy Poole aux claviers.
Paul Kehoe à la batterie.
Peter Hook & The Light : Facebook / Twitter
Les photos de la soirée : ici.
Photos : Dimitri D.
La Cartonnerie
Peter Hook & The Light
Le 27 Janvier 2017 – Reims (51)
Notre avis :
Pour notre premier concert de l’année, nous avions le plaisir d’assister à la prestation de Peter Hook & The Light. Un set en 2 parties nous était proposé : dans un premier temps, des reprises de New Order, et une seconde partie avec des morceaux de Joy Division. Une belle soirée placée sous les auspices de la cold wave avec l’ancien bassiste de ces 2 formations mythiques.
PETER HOOK & THE LIGHT
La première partie du set était donc totalement consacrée au répertoire de New Order. Avec un son plutôt costaud et des sonorités des années 80, le groupe a fait danser le public venu très nombreux. Le show est lancé avec une intro faisant apparaître un cor de chasse et une musique rappelant un peu les Walt Disney. Les protagonistes débarquent sur scène et lancent le set avec « In A Lonely Place », morceau plutôt tranquille, présentant de beaux roulements de batterie. Après des applaudissements nourris, « Procession » est enchaîné et amène quelque chose de plus rythmé. Nous continuons alors avec « Cries And Whispers », et Hooky fait balancer sa basse à grands coups de hanche, offrant également un joli face à face avec Jack Bates, son fils bassiste.
Le public reconnaît d’emblée « Ceremony », et le show se poursuit avec « Everything’s Gone Green ». Une ovation suit, et « Temptation » est alors balancé. Le public est aux anges et reprend le ouh ouh, ouh ouh, ouh ouh ! Le tour de chant continue avec « Blue Monday » dans une ambiance lumineuse tamisée. Après une nouvelle salve d’applaudissements, « Confusion » est alors proposé. Depuis quelques morceaux déjà, le batteur a quitté le plateau, laissant ainsi plus de place aux claviers. La batterie fait son retour pour « Thieves Like Us » et « The Perfect Kiss ». Les applaudissements accompagnent le lancement de « Subculture », avant de continuer avec « Shellshock ». « State Of The Nation » nous amène petit à petit à la fin de cette première partie. « Bizarre Love Triangle » est repris par le public, et le groupe reçoit une ovation avant de clôturer avec « True Faith » et « 1963 ». Les protagonistes quittent la scène sous les applaudissements.
Un petit entracte, et voici la partie la plus marquante de la soirée avec les morceaux de Joy Division. La compilation s’avère très riche, et c’est avec « No Love Lost » que le groupe effectue son retour. Nous avons droit alors à « Novelty » et « From Safety To Where… ? ». Les claquements de mains accompagnent « Komakino », avant de poursuivre avec « These Days ». Les titres vont ainsi s’enchaîner : « Warsaw », « Leaders Of Men » et « Digital ». Une ovation suit et nous amène à « Autosuggestion ». Dès les premières notes, le public reconnaît « Transmission ». Les bras sont en l’air, et la salle chante dance to the radio… Après une nouvelle salve d’applaudissements, « She’s Lost Control » nous est proposé, puis Hooky quitte la scène. Les musiciens poursuivent seul avec « Incubation », et Peter Hook revient pour « Dead Souls ». Les applaudissements accompagnent « Atmosphere », et le show se termine avec « Love Will Tear Us Apart ». La salle chante à nouveau, les bras levés, et Hook termine avec la guitare au dessus de la tête, torse nu.
Peter Hook & The Light :
Peter Hook au chant et à la basse.
David Potts à la guitare.
Jack Bates à la basse.
Andy Poole aux claviers.
Paul Kehoe à la batterie.
Peter Hook & The Light : Facebook / Twitter
Les photos de la soirée : ici.
Photos : Dimitri D.
By Fabrice A. • Reportage Concert, Reportages • Tags: La Cartonnerie, Peter Hook & The Light, Reims