La 4ème édition du Rock’n’Roll Train Festival, organisée par l’association All Inclusive, nous a permis de profiter du meilleur du rock, du metal et du punk, sous le soleil et la chaleur. Du gros son nous était proposé lors de cette belle journée.
SNAP BORDER
Snap Border prend possession de la scène aux alentours de midi. N’hésitez pas à vous approcher ! Les premières déflagrations retentissent et le set est lancé avec « On The Road ». Bonjour à tous ! On s’appelle Snap Border, et on vient de Nancy ! « Unusual Gifts » est enchaîné. Merci ! La prochaine chanson est sur l’album intitulé « Alternative Current Box » sorti le 29 février. C’est « Mary Sells ». « Ghost » vient poursuivre le show, suivi de « Draw Me The Borders ». Après les traditionnels remerciements, « Sparkles On The Ground » vient clôturer le set. Merci à vous ! On s’appelle Snap Border ! Formé en 2012, le groupe nous a proposé un mélange de rock et de metal, avec des rythmiques puissantes.
Le temps de changer le plateau, et c’est au tour de Seyminhol de débarquer sur scène. « The Oath On The Sword » lance le show. Le groupe nous propose essentiellement des morceaux extraits du nouvel opus intitulé « The Wayward Son ». L’album est une adaptation de la tragédie d’Hamlet de William Shakespeare. Condensé en 19 pistes, l’enregistrement est divisé en actes et entractes, où l’on retrouve les grands moments de la tragédie. Seyminhol nous propose ainsi : « Mantle Of Madness » (ACT II Scene 1), To Die To Sleep (ACT III Scene 1), Into The Black Chamber (ACT III Scene 4), The Conspiracy (ACT IV Scene 5), The Great Hall Of The Castle (Interlude), The Duellist (ACT V Scene 2) et The Last March Of A Prince (Last Interlude). Originaire d’Algrange (57), le groupe qui s’autoproduit, évolue dans le power metal depuis 1990.
The Last Wanted est un groupe qui nous vient de Belgique. Le set est lancé à la batterie avec « A Lost Of Pain », suivi de « United ». On vient d’Athus, en Belgique ! Nous étions auparavant plus dans le punk rock, et maintenant on évolue plutôt dans le hardcore. « HXC » est envoyé, suivi de « Born Dead ». Merci Longwy ! « Go Away » vient poursuivre le show, et nous avons droit à une chanson écrite pour tous les gens qui n’arrivent pas à se regarder dans le miroir : « Mirror ». « Self Made » et « Come Back » nous amènent tout doucement au dernier morceau. Et c’est « Home Coming » qui clôture le set. Belle découverte !
Burning Heads a eu l’occasion de nous proposer un set un petit peu plus long que celui prévu initialement, dans la mesure où Oil Carter, qui devait passer juste avant, a annulé sa venue. Le show est lancé avec « Party », avant d’enchaîner avec « True Life ». Une chanson sur la désobéissance, qui sera sur le nouvel album, nous est présentée : « Disobey ». « Voice Of The Voiceless » vient poursuivre le show. On espère que vous passez du bon temps. Celle là s’appelle « Fine ». Nous continuons avec une petite teinte de reggae avec « All About Love », et un retour dans le passé nous est proposé avec « Little Bird ». Une reprise de The Jam nous est offerte avec « In The City ». Les titres s’enchaînent jusque « No Way » qui vient clôturer le set. Fondé en 1988, et originaire d’Orléans, Burning Heads excelle toujours dans le punk rock, flirtant avec le hardcore mélodique californien.
Nitrogods est une formation allemande qui évolue dans le hard rock’n’roll. Composé de Henny Wolter à la guitare, de Klaus Sperling à la batterie, et de Claus « Oimel » Larcher à la basse et au chant, le groupe compte à son actif 2 albums : « Nitrogods » (2012) et « Rats & Rumours » (2014). Ils communiquent d’emblée avec le public dans un français approximatif. Vous avez envie d’écouter un peu du rock’n’roll ? Nitrogods va ainsi nous jouer ses morceaux qui sonnent comme du Motörhead. Une reprise de Thunderhead est également proposée avec « Take It To The Highway ». Le set se clôturera avec « Ace Of Spades », rendant ainsi hommage à Lemmy Kilmister. Du rock pêchu et abrasif !
Un enregistrement de fanfare annonce le début du show. Le public est invité à s’approcher, et le set est lancé avec « Rockfarmers », suivi de « Fishermen ». Bonsoir à tous ! Nous sommes The Inspector Cluzo ! On est content d’être dans un festival de metal ! Il n’y a pas de setlist, on improvise en fonction de vous !La prochaine chanson s’appelle « Quit The Rat Race ». Pour les anciens qui avaient tout compris, c’est « The Run »… Laurent est alors seul sur scène avec sa guitare. Mathieu revient pour une danse sensuelle, debout sur la batterie. « Two Days » est proposé, avant une reprise de Curtis Mayfield : « It’s Alright ». Nous continuons avec une chanson sur le bassiste, qui comme le Président de la République, ne sert absolument à rien ! « Fuck The Bass Player » vient poursuivre le show qui se termine avec « Put Your Hands Up » et un balancé de batterie.
Puis c’est au tour de Dagoba de prendre possession de la scène. Les pieds de micro en forme de chaînes métalliques sont remarquables. Les premières déflagrations sont envoyées avec « Eclipsed » et « The Man You’re Not ». Merci les amis ! Merci pour votre accueil ! Le pogo est lancé, et un circle pit est organisé sur « Black Smokers (752° Farenheit) ». « Born Twice » est annoncé comme une chanson d’amour extraite du dernier album.Faites un maximum de bruit pour ce putain de festival et pour les groupes avec qui on a partagé la scène ! Le public est séparé en 2, et c’est le pogo général ! Des fumigènes jaillissent du sol et sont du plus bel effet pour ce superbe show de Dagoba !
Les protagonistes débarquent sur scène en combinaisons blanches et les visages peints. Le set débute avec « Nothing Stands In Our Way ». Les hostilités sont lancées avec « Die & Rise » et « Kill The Light ». Le public est invité à lever les bras en l’air et à claquer des mains sur « Victims ». « Spellbound » nous amène ensuite à « The House Of Shame », extrait du nouvel album intitulé « Delirium ». Percutant ! Le public claque des mains sur « Heaven’s A Lie ». « Ghost In The Mist », extrait du nouvel album, est également joué. Une reprise de Depeche Mode nous est offerte avec « Enjoy The Silence ». Sur « Zombies », Andrea Ferro, qui est au chant aux côtés de Cristina Scabbia, porte un masque représentant une tête de mort. « Our Truth » vient clôturer le set. Lacuna Coil a fait sauter le public qui finit les bras en l’air.
La formation américaine qui évolue dans le New York Hardcore (NYHC) depuis la fin des années 1980 nous faisait l’honneur de sa présence au Rock’n’Roll Train Festival ! Le set plutôt énervé a été lancé avec « Smell The Bacon », enchaînant avec « Hardcore Lives », « Get Out » et « Set It Off ». Une reprise d’Agnostic Front est également présentée avec « It’s My Life ». De l’énergie à l’état brut, avec un show plutôt musclé, donnant l’occasion de revenir sur l’album « Empire » sorti en 2010 et le « Hardcore Lives » de 2014 !
Rock’N’Roll Train Festival
Les Remparts de Longwy (54)
Le 09 Juillet 2016
Notre avis :
La 4ème édition du Rock’n’Roll Train Festival, organisée par l’association All Inclusive, nous a permis de profiter du meilleur du rock, du metal et du punk, sous le soleil et la chaleur. Du gros son nous était proposé lors de cette belle journée.
SNAP BORDER
Snap Border prend possession de la scène aux alentours de midi. N’hésitez pas à vous approcher ! Les premières déflagrations retentissent et le set est lancé avec « On The Road ». Bonjour à tous ! On s’appelle Snap Border, et on vient de Nancy ! « Unusual Gifts » est enchaîné. Merci ! La prochaine chanson est sur l’album intitulé « Alternative Current Box » sorti le 29 février. C’est « Mary Sells ». « Ghost » vient poursuivre le show, suivi de « Draw Me The Borders ». Après les traditionnels remerciements, « Sparkles On The Ground » vient clôturer le set. Merci à vous ! On s’appelle Snap Border ! Formé en 2012, le groupe nous a proposé un mélange de rock et de metal, avec des rythmiques puissantes.
Les photos : ici.
SEYMINHOL
Le temps de changer le plateau, et c’est au tour de Seyminhol de débarquer sur scène. « The Oath On The Sword » lance le show. Le groupe nous propose essentiellement des morceaux extraits du nouvel opus intitulé « The Wayward Son ». L’album est une adaptation de la tragédie d’Hamlet de William Shakespeare. Condensé en 19 pistes, l’enregistrement est divisé en actes et entractes, où l’on retrouve les grands moments de la tragédie. Seyminhol nous propose ainsi : « Mantle Of Madness » (ACT II Scene 1), To Die To Sleep (ACT III Scene 1), Into The Black Chamber (ACT III Scene 4), The Conspiracy (ACT IV Scene 5), The Great Hall Of The Castle (Interlude), The Duellist (ACT V Scene 2) et The Last March Of A Prince (Last Interlude). Originaire d’Algrange (57), le groupe qui s’autoproduit, évolue dans le power metal depuis 1990.
Les photos : ici.
THE LAST WANTED
The Last Wanted est un groupe qui nous vient de Belgique. Le set est lancé à la batterie avec « A Lost Of Pain », suivi de « United ». On vient d’Athus, en Belgique ! Nous étions auparavant plus dans le punk rock, et maintenant on évolue plutôt dans le hardcore. « HXC » est envoyé, suivi de « Born Dead ». Merci Longwy ! « Go Away » vient poursuivre le show, et nous avons droit à une chanson écrite pour tous les gens qui n’arrivent pas à se regarder dans le miroir : « Mirror ». « Self Made » et « Come Back » nous amènent tout doucement au dernier morceau. Et c’est « Home Coming » qui clôture le set. Belle découverte !
Les photos : ici.
BURNING HEADS
Burning Heads a eu l’occasion de nous proposer un set un petit peu plus long que celui prévu initialement, dans la mesure où Oil Carter, qui devait passer juste avant, a annulé sa venue. Le show est lancé avec « Party », avant d’enchaîner avec « True Life ». Une chanson sur la désobéissance, qui sera sur le nouvel album, nous est présentée : « Disobey ». « Voice Of The Voiceless » vient poursuivre le show. On espère que vous passez du bon temps. Celle là s’appelle « Fine ». Nous continuons avec une petite teinte de reggae avec « All About Love », et un retour dans le passé nous est proposé avec « Little Bird ». Une reprise de The Jam nous est offerte avec « In The City ». Les titres s’enchaînent jusque « No Way » qui vient clôturer le set. Fondé en 1988, et originaire d’Orléans, Burning Heads excelle toujours dans le punk rock, flirtant avec le hardcore mélodique californien.
Les photos : ici.
NITROGODS
Nitrogods est une formation allemande qui évolue dans le hard rock’n’roll. Composé de Henny Wolter à la guitare, de Klaus Sperling à la batterie, et de Claus « Oimel » Larcher à la basse et au chant, le groupe compte à son actif 2 albums : « Nitrogods » (2012) et « Rats & Rumours » (2014). Ils communiquent d’emblée avec le public dans un français approximatif. Vous avez envie d’écouter un peu du rock’n’roll ? Nitrogods va ainsi nous jouer ses morceaux qui sonnent comme du Motörhead. Une reprise de Thunderhead est également proposée avec « Take It To The Highway ». Le set se clôturera avec « Ace Of Spades », rendant ainsi hommage à Lemmy Kilmister. Du rock pêchu et abrasif !
Les photos : ici.
THE INSPECTOR CLUZO
Un enregistrement de fanfare annonce le début du show. Le public est invité à s’approcher, et le set est lancé avec « Rockfarmers », suivi de « Fishermen ». Bonsoir à tous ! Nous sommes The Inspector Cluzo ! On est content d’être dans un festival de metal ! Il n’y a pas de setlist, on improvise en fonction de vous ! La prochaine chanson s’appelle « Quit The Rat Race ». Pour les anciens qui avaient tout compris, c’est « The Run »… Laurent est alors seul sur scène avec sa guitare. Mathieu revient pour une danse sensuelle, debout sur la batterie. « Two Days » est proposé, avant une reprise de Curtis Mayfield : « It’s Alright ». Nous continuons avec une chanson sur le bassiste, qui comme le Président de la République, ne sert absolument à rien ! « Fuck The Bass Player » vient poursuivre le show qui se termine avec « Put Your Hands Up » et un balancé de batterie.
Les photos : ici.
DAGOBA
Puis c’est au tour de Dagoba de prendre possession de la scène. Les pieds de micro en forme de chaînes métalliques sont remarquables. Les premières déflagrations sont envoyées avec « Eclipsed » et « The Man You’re Not ». Merci les amis ! Merci pour votre accueil ! Le pogo est lancé, et un circle pit est organisé sur « Black Smokers (752° Farenheit) ». « Born Twice » est annoncé comme une chanson d’amour extraite du dernier album. Faites un maximum de bruit pour ce putain de festival et pour les groupes avec qui on a partagé la scène ! Le public est séparé en 2, et c’est le pogo général ! Des fumigènes jaillissent du sol et sont du plus bel effet pour ce superbe show de Dagoba !
Les photos : ici.
LACUNA COIL
Les protagonistes débarquent sur scène en combinaisons blanches et les visages peints. Le set débute avec « Nothing Stands In Our Way ». Les hostilités sont lancées avec « Die & Rise » et « Kill The Light ». Le public est invité à lever les bras en l’air et à claquer des mains sur « Victims ». « Spellbound » nous amène ensuite à « The House Of Shame », extrait du nouvel album intitulé « Delirium ». Percutant ! Le public claque des mains sur « Heaven’s A Lie ». « Ghost In The Mist », extrait du nouvel album, est également joué. Une reprise de Depeche Mode nous est offerte avec « Enjoy The Silence ». Sur « Zombies », Andrea Ferro, qui est au chant aux côtés de Cristina Scabbia, porte un masque représentant une tête de mort. « Our Truth » vient clôturer le set. Lacuna Coil a fait sauter le public qui finit les bras en l’air.
Les photos : ici.
MADBALL
La formation américaine qui évolue dans le New York Hardcore (NYHC) depuis la fin des années 1980 nous faisait l’honneur de sa présence au Rock’n’Roll Train Festival ! Le set plutôt énervé a été lancé avec « Smell The Bacon », enchaînant avec « Hardcore Lives », « Get Out » et « Set It Off ». Une reprise d’Agnostic Front est également présentée avec « It’s My Life ». De l’énergie à l’état brut, avec un show plutôt musclé, donnant l’occasion de revenir sur l’album « Empire » sorti en 2010 et le « Hardcore Lives » de 2014 !
Les photos : ici.
Le Rock’n’Roll Train Festival : Site Officiel / Facebook
Photos : Dimitri D.
By Fabrice A. • Reportage Festival, Reportages • Tags: Burning Heads, Dagoba, Lacuna Coil, Longwy, Madball, Nitrogods, Rock'n'Roll Train Festival, Seyminhol, Snap Border, The Inspector Cluzo, The Last Wanted