2015 – 10 titres Label : Martingale / L’Autre distribution Style : Chanson, Pop Origine : France, Paris Date de sortie de l’album : 13 novembre 2015
Notre avis :
Par Mike S.
Sublime ordinaire est le premier album d’Alain Gibert après avoir sorti un EP en 2013 qui s’appelait Les Marches de l’Opéra. C’est avec une dizaine de balades qui tanguent entre Pop et Chanson qu’Alain Gibert entend nous inviter à découvrir son univers personnel, forgé autour de belles mélodies et d’arrangements sobres et arrondis, un peu à la manière d’Alain Chamfort, avec qui il ne partage pas que le prénom, donc…
C’est vrai qu’on ne peut s’empêcher de penser au chanteur des années 70′-80′ quand on écoute les balades sucrées-salées de ce premier album d’Alain Gibert, dont la voix chaude est assez proche aussi. Les rythmes sont discrets, les arrangements faussement sobres, agrémentés de quatuor à cordes, de choeurs (Laurie Mammoliti des Plasticines). A commencer par le single Miroir, qui est la plus belle ? qu’on peut écouter et voir dans le clip réalisé par Bastien Bron, et où l’on retrouve Laurie : un titre ordinaire au premier abord, et sublime si l’on s’y penche un peu plus longtemps, en décortiquant les pistes, la composition, les nuances légères, et qu’on écoute l’histoire acide qui se cache dans cette litanie doucereuse…
Le clip réalisé comme un petit court-métrage, révèle aussi un peu de la personnalité d’Alain Gibert et son goût pour le cinéma, comme le confirment plusieurs titres dans l’album, de Vertigo à Comme Chaplin, de Comme au cinéma à Hollywood is not for you. Jusqu’à la pochette, véritable mise en scène d’actor studio dans un appartement témoin, décoré façon Ikéa. Et dans les textes des chansons, Alain Gibert s’efforce à y raconter des histoires courtes, mini scénarii ou invitations au voyage.
En 10 titres, Alain Gibert nous balade, nous transporte, nous raconte, nous émeut aussi parfois. En résumé, il nous fait découvrir son monde, son univers singulier, qui dormait jusqu’ici au fond de son cerveau et qu’il dévoile au grand jour, cette fois, en long format, façon Cinémascope ! Laissez vous tenter et prenez votre billet pour la prochaine séance.
Alain Gibert – Sublime ordinaire
2015 – 10 titres
Label : Martingale / L’Autre distribution
Style : Chanson, Pop
Origine : France, Paris
Date de sortie de l’album : 13 novembre 2015
Notre avis :
Par Mike S.
Sublime ordinaire est le premier album d’Alain Gibert après avoir sorti un EP en 2013 qui s’appelait Les Marches de l’Opéra. C’est avec une dizaine de balades qui tanguent entre Pop et Chanson qu’Alain Gibert entend nous inviter à découvrir son univers personnel, forgé autour de belles mélodies et d’arrangements sobres et arrondis, un peu à la manière d’Alain Chamfort, avec qui il ne partage pas que le prénom, donc…
C’est vrai qu’on ne peut s’empêcher de penser au chanteur des années 70′-80′ quand on écoute les balades sucrées-salées de ce premier album d’Alain Gibert, dont la voix chaude est assez proche aussi. Les rythmes sont discrets, les arrangements faussement sobres, agrémentés de quatuor à cordes, de choeurs (Laurie Mammoliti des Plasticines). A commencer par le single Miroir, qui est la plus belle ? qu’on peut écouter et voir dans le clip réalisé par Bastien Bron, et où l’on retrouve Laurie : un titre ordinaire au premier abord, et sublime si l’on s’y penche un peu plus longtemps, en décortiquant les pistes, la composition, les nuances légères, et qu’on écoute l’histoire acide qui se cache dans cette litanie doucereuse…
Le clip réalisé comme un petit court-métrage, révèle aussi un peu de la personnalité d’Alain Gibert et son goût pour le cinéma, comme le confirment plusieurs titres dans l’album, de Vertigo à Comme Chaplin, de Comme au cinéma à Hollywood is not for you. Jusqu’à la pochette, véritable mise en scène d’actor studio dans un appartement témoin, décoré façon Ikéa. Et dans les textes des chansons, Alain Gibert s’efforce à y raconter des histoires courtes, mini scénarii ou invitations au voyage.
En 10 titres, Alain Gibert nous balade, nous transporte, nous raconte, nous émeut aussi parfois. En résumé, il nous fait découvrir son monde, son univers singulier, qui dormait jusqu’ici au fond de son cerveau et qu’il dévoile au grand jour, cette fois, en long format, façon Cinémascope ! Laissez vous tenter et prenez votre billet pour la prochaine séance.
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A voir, en 2’23 », le making of de l’album :
By Mike S. • Albums francais • Tags: Alain Gibert